Attention! La génération climatiste arrive avec ses projets de médecine durable où la planète et les clandestins passeront en priorité

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RTS Vacarme, vendredi 24.2.23 -  Chaque semaine, une thématique de société en cinq épisodes immersifs, pour prendre le pouls du réel et écouter la Suisse au-delà des clichés.
Tous les dimanches, «Les Echos de Vacarme» prolongent la série de reportages. Raphaële Bouchet et Laurence Difélix reçoivent deux spécialistes pour approfondir la thématique de la semaine.

Médecins 5/5 - Je rêvais d’un autre monde

Présentation RTS: En Suisse, comme dans beaucoup d’autres pays, espérance de vie et progrès de la médecine vont de pair. Mais les progrès impliquent des coûts supplémentaires, mettant ainsi sous pression notre modèle sanitaire, très performant, mais aussi très cher… Un nombre croissant de praticien.nes, en particulier dans les jeunes générations, aspirent à une pratique plus raisonnable et économique de leur métier.
La smart médecine, qui prône une médecine plus rationnelle et plus durable, vient des USA. Il s'agirait d'une médecine "plus intelligente", qui mettrait en garde contre les excès des services médicaux. L'idée de base était de définir pour chaque branche de la médecine les 5 actes les plus inutiles. Le projet prévoit de créer davantage de dialogue avec les patients avant une prescription ou une intervention. Et si une autre médecine était possible, moins gourmande en argent et en énergie?
Un nombre croissant de médecins en Suisse aspirent à pratiquer cette "smart médecine".

L'équipe de la RTS arrive dans l’appartement de la Dresse Charlotte Krämer, qui se veut minimaliste; pas de table, pas de chaise.

Charlotte Krämer, Neuchâtel, effectue sa formation d'urgentiste à mi-temps. Elle veut une médecine plus durable, et des consultations gratuites pour les personnes dans le besoin.

Charlotte Krämer est encore au début de sa formation FMH pour devenir spécialiste en médecine interne. La Dresse a fini son diplôme de médecine en 2019, puis elle a fait un an de recherche, puis 6 mois en médecine interne comme assistante à plein temps, ce qu'elle a trouvé être une charge de travail insupportable. Ensuite, depuis un an, elle travaille à l'Hôpital de La Chaux-de-Fonds à mi-temps. Charlotte se sent mieux ainsi et ajoute: "un soignant qui n'est pas au bord du burn-out, ça soigne mieux qu'un soignant qui n'en peut plus." "C'est aussi un choix politique, de refuser de se sacrifier entre guillemets à ça" (ainsi, elle va passer le double de temps pour sa formation FMH).

Charlotte Krämer ne veut pas baser sa vie sur la productivité. Elle explique: Il y a des jours de ma vie où juste je ne prévois rien, et mes collègues soit ne me comprennent pas, parce que ça ne rentre pas dans la culture médicale, soit ils m'envient parce qu'eux sont épuisés.

RTS - Laurence Difélix: Vous trouvez que la médecine d'aujourd'hui est trop consumériste? 

Charlotte Krämer : La première et plus grande chose qui me dérange, c'est que l'accès à la santé c'est un droit fondamental, et dans les faits, ce n'est pas du tout le cas. "Le premier truc, c'est que tout le monde n'est pas assuré. Il y a énormément de personnes en Suisse sans papiers mais on ne sait pas le nombre."

Charlotte réclame l'accès aux soins pour tout le monde, même aux sans-papiers, même aux non-assurés. Que tous les invisibilisés aient accès aux soins! Et de toute façon, les primes d'assurance ne sont pas adaptées au revenu, la franchise de 1500 francs est trop haute, l’argent et le système ont trop d'influence sur les soins.

 

Albert Coroz (AC): Tout d'abord, l'assurance maladie est obligatoire en Suisse et le subside est distribué en Suisse romande à tout-va, car la Gauche veut pousser le système de santé à bout afin d'arriver à faire passer son dada, la caisse unique, et de la diriger au niveau communal, cantonal et fédéral. Et la santé a un tel poids, que le parti qui la dirige possède également le pays. Nous y sommes presque déjà mais peu de gens le comprennent!

Oui, avec l'invasion migratoire, notre système de santé est surchargé, les contribuables qui doivent entretenir toute cette masse importée croulent sous les impôts et les frais des subsides.

Toutes ces personnes issues de la migration subie, qui n'arrivent pas à financer leur assurance maladie, sont absolument inadaptées à notre système de sécurité sociale; ils encombrent nos infrastructures médicales, scolaires, notre territoire, et avant tout la plupart sont incompatibles avec notre mode de vie.

Ce qui n'est pas durable, c'est ce multiculturalisme forcené. Il faut que la bienpensance cesse de se gargariser avec les limites de la planète: le problème de durabilité, il est là devant notre nez!

Les mots "invisibilisé", "durabilité" font d'ailleurs partie du vocabulaire de chaque petit gauchiste décervelé de la génération climatiste. Charlotte est restée une enfant gâtée et sans personnalité. Et si toute une génération est si gravement touchée par ce phénomène, c'est parce que l'enseignement en Suisse est imbibé partout d'idéologie gauchiste, pratiquement toutes les facultés sont touchées par ce problème. Les étudiants n'apprennent plus comment penser, se faire une opinion, mais apprennent ce qu'il faut penser, c'est-à-dire à suivre toutes les imbécillités idéologique que la gauche américaine nous refile.

NYC parents place anti-'woke' ads outside NYC schools

Les génération de parents d'après-guerre de la classe supérieure voulaient que leurs enfants soient avant tout épanouis, qu'ils grandissent sans autre contrainte que de ramener de bonnes notes, en vue d'arriver à un métier ambitieux. Le Dr Krämer considérait certainement le fait que sa fille fasse les mêmes études que lui comme un accomplissement de sa vie. Il ne pipe pas un mot sur sa déception; il restera probablement pour sa fille un papa gâteau jusqu'au bout.

 

Charlotte Krämer explique ce qu'est la médecine durable (ou smart médecine, le terme utilisé aux USA). Elle déplore qu'on ait pris l'habitude de travailler avec une abondance de machines, des prises de sang, des ultrasons, des IRM, des scanners, des algorithmes (sic!), on a accès à trop!  Un jour peut-être qu'il n'y aura plus toutes ces machines, et peut-être qu'on ne devrait pas en avoir autant. Mais Charlotte a des idées : il faudra alors faire autrement !

 

Et voici son "autrement": "Et si la santé engendre des problèmes de santé en détruisant l'environnement, en augmentant la pollution, etc., comment on le place sur la balance?"

 

AC: Selon ces apôtres de la décroissance et des soins durables, la Suisse doit accueillir et soigner tous ceux qui ont envie de vivre en Suisse. Puis la collectivité doit travailler et subvenir à leurs besoins, sinon, nos médias vont rapidement relayer les cris à l'injustice des jeunes Charlottes qui existent à profusion. Des Charlottes qui ne veulent donner des prestations que gratuitement et à mi-temps, le reste viendra également des contribuables.
Aux yeux de cette génération "pour le climat", cent mille migrants par année en plus ne posent pas de problème, mais les moyens pour soigner la population doivent diminuer, car ça pollue !

La question se pose alors: si la médecine durable dicte qu'on doit se passer de ces méchantes machines médicales pollueuses, qui va trier les patients pour le droit à un scanner, à une IRM, et selon quels critères? 

Dans cette émission, il y a un amalgame constant et délibéré entre les personnes en fin de vie, maintenues par un acharnement médical, et le droit des assurés à des investigations et au suivi médical appropriés compte tenu de leurs besoins et des progrès de la médecine. Faudra-t-il retourner vers les soins d'antan pour devenir durable?
Pour une personne âgée, qui va décider, et selon quels critères, qui aura droit à quel type de soins remboursables pour prolonger sa vie, et qui sera condamné à mourir avec des soins limités/palliatifs?
Ce qui n'est pas dit, mais qu'on peut lire entre les lignes, c’est que ce sera un choix politique, selon
lequel certaines vies auront plus de valeur que d'autres et qu'il y a déjà une médecine à deux vitesses en émergence.

 

Charlotte expose le problème de sa médecine durable:
Comment diminuer le recours aux machines sans que ça diminue drastiquement  la qualité de nos soins, et si ça la diminue, comment faire?
Deux smart médecins vont expliquer ce qu'est la médecine rationnelle et durable.

Direction Genève, Hôpital de la Tour, Omar Kherad, MPH, médecin chef, service de médecine interne générale, membre FMH.
Le Pr Omar Kherad enseigne la médecine durable depuis huit ans. La RTS enregistre une bribe du colloque sur le concept de médecine durable, cours donné aux médecins en formation.

Omar Kherad:
Il ne faut plus continuer comme avant, car les ressources ne sont pas illimitées. Il faut une médecine plus rationnelle, car il n'y a plus assez pour tout le monde et pour tous les soins.
Les actes inappropriés ne sont pas économiquement durables. Comment les éviter? Le concept de smart médecine ou de médecine rationnelle rejoint celui de durabilité.
On ne peut pas utiliser les ressources d'une manière illimitée comme on le fait en ce moment, sans qu'il y ait une répercussion sur les coûts de la santé et sur le concept de la durabilité. Parce qu'on risque d'avoir des générations futures qui n'auront plus les mêmes accès aux soins dont nous avons pu profiter.

On touche beaucoup cette jeune génération avec cette médecine la plus intelligente possible, parce que toute cette jeune génération est très ouverte à cette notion de durabilité.

On parle beaucoup de durabilité écologique. Avec la smart médecine on est davantage dans une logique de durabilité financière. Mais comme on essaie de vendre l'argumentaire, c'est d'essayer d'améliorer la qualité des soins et pas seulement l'aspect économique, et que l'aspect économique soit un dommage collatéral bénéfique, uniquement dans l'intérêt du patient.

Durant le cours, le Dr Kherad rappelle que la médecine doit être basée sur des preuves scientifiques confirmant que tout ce qu'on applique aux patients est utile, mais il explique aussi que pour garantir l’accès aux soins il faut une médecine plus rationnelle, car on ne pourra pas continuer inexorablement à faire tout pour tout le monde sans intégrer la notion de durabilité.

Selon des chiffres qui nous viennent des USA, 20-30% de tous nos actes médicaux sont potentiellement inappropriés. Ceci représente aux USA 200 milliards de dollars.
Et ceci signifie 15 milliards qu'on pourrait économiser en Suisse si on pouvait identifier ces interventions inappropriées.

Lorsque Omar Kherad était interne, il y a 8 ans, on était prêt à tout pour trouver le bon diagnostic. A présent, on doit arriver à un diagnostic avec l'usage rationnel des ressources. Ça complexifie la prise en charge. On souffre tous de biais cognitif, et pour le médecin, c'est essentiellement le biais d'action. On veut trop faire. Il est plus facile pour le médecin de prescrire rapidement que de rien faire et d'expliquer aux patients.

AC: Que signifie ceci dans le pratique? Entre deux diagnostics différenciés, faute de pouvoir faire suffisamment d'investigations pour satisfaire les critères de "durabilité" et "d'usage rationnel des ressources", le médecin va jouer pile ou face, ou envoyer son patient chez le psy? Avant que nous disposions d'examens sophistiqués, bien des personnes ont été faussement classées "psychiatriques" comme par exemple pour une sclérose en plaques ou un lupus ou un cancer. Faut-il alors faire dix ans d'études, pour offrir aux patients cette médecine de la décroissance?

En réponse à cette question, un autre "changement intelligent" arrive des USA, ce sont les mi-infirmiers, mi-médecins. Le but initial annoncé était également d’alléger les coûts, tout en résolvant la pénurie de soignants. L'enjeu réel, c'est davantage la revalorisation du statut et du salaire du métier d'infirmier, et une formation au rabais pour des médecins. Nous ne sommes pas convaincus par les résultats sur les deux plans.

En 2020, les coûts par étudiant pour les études de médecine se sont élevés en moyenne à 106’880 francs par an. Le cursus complet de six ans d’études coûtait ainsi environ 642’000. Et ceci, sans tenir compte de la formation prograde!

 

Omar Kherad a lancé en 2014 une campagne "Choosing Wisely", un concept qui vient des USA, tout comme la Smart médecine. Tous deux se complètent. Choosing Wisely a listé les interventions que les médecins estiment potentiellement inutiles. La médecine maximaliste dépense inutilement les ressources médicales, avec pour conséquence que les primes augmentent et qu'une partie des patients renoncent aux soins pour des raisons financières.

Omar Kherad  explique qu'il y a un impact écologique si l'on prescrit moins.
Entre 4 et 6% des émissions de CO₂ sont directement liées aux soins médicaux. Toute la technologie cumulée a un coût énergétique énorme. Une IRM consomme autant d'énergie que 70 foyers. (La journaliste fait rajouter au médecin "sur une année", ce qui n'a pas de sens, car le médecin parle de la consommation d’un appareil et non de celle d'un examen.)

 

AC: Arrêtons-nous ici un instant. Cette problématique n'a rien à voir avec la durabilité, elle a à voir avec le mépris du médecin envers son patient. En principe, les gens vont chez le médecin, soit parce qu'ils ont un problème de santé, et non pas pour s'amuser. Le médecin qui prescrit un médicament superflu ou des examens pour se débarrasser de son patient, c'est simplement immoral, dangereux et méprisant. Oui, nous savons que cela existe, des médecins ans scrupules - par exemple, le petit vieux qui se plaint de troubles du sommeil et repart avec un antipsychotique, ou le médecin qui pratique l'amortissement de ses appareils sans raison, les interventions chirurgicales évitables, ou même superflues. Plus tard, les effets secondaires de ces abus donneront lieu à d'autres soins correcteurs. Gagner un procès contre un médecin en Suisse est pratiquement impossible, c'est une espèce protégée. Les indemnités sont par ailleurs ridicules même en cas d'abus flagrant.

Et s'il y a réellement trop d'examens, trop de médicaments, des examens répétés inutilement, c'est que le système d'assurance obligatoire et la LAMAL le permettent. Les patients sont les dindons de cette farce, non pas juste les victimes de mauvaises habitudes des médecins.

 

Charlotte Krämer n'a pas fini sa formation FMH, elle a juste envie de soigner les gens et de sortir de toute cette structure, de toute cette culture, de tous les problèmes que cela engendre. Elle veut soigner ceux qui n'ont pas d'assurance, qui ne peuvent pas payer la franchise, les sans-papiers. Pour sortir du système, elle s'est dit qu’il faut donner des consultations gratuites.

Elle a présenté à la Santé publique de Neuchâtel un travail en "Powerpoint",  une demande d'autorisation comme bénévole, "un mot pourri", précise-t-elle, car il s'agit de soins gratuits.

Charlotte veut faire de la prévention, donner des  explications, sans les machines à côté. Les deux femmes (de Gauche) qui ont réceptionné Charlotte au ministère de la Santé de Neuchâtel sont très intéressées par le projet, mais les conditions pour une autorisation de pratiquer gratuitement sans diplôme FMH sont compliquées et pour cette raison le projet n'a pas encore abouti.
Charlotte voit grand, avec toute une équipe acceptant de donner des consultations gratuites, des représentants de plein de métiers de la santé, pour ce projet totalement aligné sur ses idées et valeurs.


Interview de Sébastien Amstutz, cabinet aux Eaux-Vives, Genève. 43 ans, généraliste, installé ici depuis 4 ans; a fait beaucoup de médecine communautaire et de la médecine palliative.

La médecine intelligente ou durable, c'est d'accorder les ressources le mieux possible pour un objectif qui est surtout la qualité de vie des patients. Les patients âgés sont moins demandeurs d'investigations, veulent surtout rester à la maison, "tout sauf l'hôpital". La médecine durable est aussi une réflexion sur la prévention (hygiène, diététique). La santé ne dépend qu'à 15% des soins médicaux, et le reste est l'environnement. Mais le médecin est poussé à faire des consultations en 20 minutes car c’est plus rentable.
le Dr Sébastien Amstutz a des enfants et se fait beaucoup de souci pour eux, à cause de la planète et de la biodiversité.
La société est vieillissante, l’assurance maladie est trop chère. Le temps de l'abondance et du gâchis médical arrive à sa fin. Il y a des prises en charge qui ne prolongent pratiquement pas la vie et qui ont un coût exorbitant.

 

Charlotte ne veut pas seulement soigner par l'écoute mais aussi donner des conseils.
Interview du papa de Charlotte, le Dr Pierre Krämer, spécialiste en médecine interne, un médecin de campagne à l'ancienne, qui a fait l'objet d'un reportage RTS sur la difficulté de trouver un successeur dans une région où il y a une pénurie médicale.
Le père de Charlotte aime la rébellion de sa fille contre le système, où on ne lui offre pas toutes les conditions pour faire bien son métier de médecin. Son cabinet est équipé, il a 70 ans, il ne travaille plus que 3 jours par semaine; il peut donc laisser le cabinet à sa fille les deux autres jours. Il apprécie aussi qu'il y ait une visée politique dans son projet, et que les soins gratuits amènent un questionnement pour trouver de nouvelles solutions.
Mais il a aussi des doutes sur la viabilité à long terme: qui va payer les prises de sang, les radios et le loyer, si tout est gratuit?

Charlotte répond qu'elle ne veut pas se substituer aux généralistes mais juste offrir "mieux que rien aux gens qui n’ont rien".

 

AC: Charlotte est incapable de voir que sa vraie place serait auprès de son vieux père. Pour commencer, l'accompagner durant ses journées de congé où "elle n'a rien de prévu", puis se préparer à reprendre les patients à qui plus personne ne pourrait fournir de soins à domicile.

Seulement voilà, une fois que Charlotte est entrée dans la vie active, elle a choisi de faire de la recherche médicale, puis elle a été dégoûtée après six mois de soins, ce qui ne laisse pas croire qu'elle aurait un amour débordant pour les gens. Elle a soif de la diversité fantasmée, "ceux qui n'ont rien", mais les vieux Blancs assurés de sa campagne natale n'ont rien de valorisant ou attrayant à ses yeux.

Le projet de la Dresse Krämer pour les plus démunis se trouve sur le bureau du ministère de la santé neuchâtelois, car l'argent ne tombe pas du ciel, et son tout-gratuit devra quand même être financé en grande partie par les contribuables.

En Suisse, tout le monde est soigné: c'est une obligation inscrite dans des accords internationaux que la Suisse suit à la lettre. Au CHUV, et ailleurs aussi, il existe depuis bientôt vingt ans des unités pour "populations vulnérables", où toute personne est soignée gratuitement de A à Z, c'est-à-dire, aux frais des contribuables. En moyenne, plus d'un tiers des assurés sont subsidiés. Il existe également dans les villes romandes (les clandestins vivent majoritairement en ville) des "points d'eau", où des services de pédicure, coiffure, et toutes sortes de soins sont offerts gratuitement. Puis les milliers de repas chauds distribués 360 jours par année, les lieux d'hébergement, avec tout le staff ad hoc. Les infrastructures d'accueil et thérapeutiques à n'en plus finir à la disposition des marginaux, des toxicos, puis de ceux qui leur vendent la drogue. Les ONG, associations, services juridiques aux petits soins des demandeurs d'asile arrivants ou déboutés, mais aussi des "sans papiers".

Ici encore, nos médias diffusent leur propagande culpabilisante: la Suisse ne fait encore pas assez pour les pauvres.
Nous devons nous habituer à leur arrivée sans limite et devenir plus pauvres durables.
Et nous devons en plus nous sacrifier pour sauver le dollar et le deep state américain pour sauver la planète !

Charlotte est victime de cette propagande faisandée; immature, elle n'a jamais appris à penser par elle-même, c'est pourquoi elle se croit vertueuse avec sa médecine "sans machines, plus durable".

lien vers l'émission: https://www.rts.ch/audio-podcast/2023/audio/medecins-5-5-je-revais-d-un-autre-monde-25900776.html

5 commentaires

  1. Posté par aldo le

    Tout ce bazar révèle la présence d’une permanence d’organisations criminelles conspirationnistes rattachée à des sectes et directement pilotée par les universités anglo-américaines elles-mêmes non seulement déjà noyautées par ces milieux, mais servant de vivier à des formations totalement imbéciles inspirées par leurs objectifs de destructions sociales à des fins totalitaires. Exemple: https://www.rts.ch/play/tv/les-beaux-parleurs/video/sur-les-roses?urn=urn:rts:video:13778119 …voir à la fin le cirque de la Dreifuss dont le fils caché devrait être un drogué ayant un autre nom, ce qui expliquerait tout. On a déjà payé avec la Brunner (ces deux porteuses des soleils sectaires !) et la destruction des bibliothèques par la Puro confirme ces conspirations !

    Et là les mor mons sont à l’origine de ce bordel planétaire dans tous les sens du terme. Comme toujours tout ceci ne peut se faire qu’après avoir procédé aussi au noyautage de toute la presse. Ainsi il est inconcevable que les médias largement subventionnés censurent leur lecture, et notamment des publication qui datent de plusieurs années, alors que les contribuables ont été sollicités pour payer leurs enregistrements mis à disposition du public et des chercheurs. Ces travaux ont été faits sur la base de la constatation suivante:

    L’INFORMATION EST UN DROIT SOCIAL IMPÉRATIF A L’ EXISTENCE ET A LA PÉRENNITÉ DE LA SOCIÉTÉ. ELLE EST LIÉ A LA SOCIÉTÉ TOUTE ENTIÈRE ET ELLE DÉCOULE D’UN DROIT D’AUTEUR QUI LUI APPARTIENT PRIORITAIREMENT ! EN AUCUN CAS IL NE DEVRAIT ÊTRE SQUATTÉ PAR DES SECTES QUI S’ARROGENT LE DROIT DE DIFFUSER OU NON ! (voir noyautages de la RTS, de TX Group-Tamedia-Pravda… etc.)

    On ne peut pas d’un côté subventionner et de l’autre censurer l’usage de ces subventions. Rien que cette censure des avis mortuaires est un viol des droits humains, tout comme la disparition de nombreux annuaires téléphoniques, voir de l’annuaire suisse des administrateurs d’Orell Fussli disparu tout comme les annuaires genevois. Toutes ces censures visent essentiellement la protection des criminels LIÉS AUX PROFITS DES INDUSTRIELS DE L’IMMIGRATION DE MASSE VENUS DE L’ÉTRANGER, qui ont l’objectif de nous gouverner et POUR S’APPROPRIER LE PAYS POUR LEURS OBJECTIFS PERSONNELS, sans devoir rendre des comptes et en politique ils sont beaucoup trop nombreux dans ce cas. Le corolaire logique devrait être l’obligation de publier un enregistrement de toutes les publications à l’intention du public, vidéo comprises. Ainsi nos conspirateurs devraient pouvoir être combattus. Comment peut-il être acceptable que les TPG fasse passer les pubs d’infectes conspirationnistes avec deux sales types qui se léchaient le museau, sans qu’on puisse en apporter les preuves et faire foutre à la porte les instigateurs de telles violences sociales ?

  2. Posté par Sergio le

    Si vous habitez ce canton (Neuchâtel) ce que vous devriez faire, c’est voté pour le parti qui défend la population suisse et non pas la racaille qui s’en vient. Quand à cette “doctoresse”qui n’a pu avoir son pseudo papier qu’en apprenant par cœur ses cours, sont cursus est déjà tout tracé. Vivre aux crochets de l’état (hôpital) être médiocre, voté vert-écolo-gauche, et travaillé à la Chaux de Fonds ou Neuchâtel.

  3. Posté par Vitt le

    Quand Charlotte sera malade on lui fera une saignée…comme au 18eme siècle ou 1 soupe de venin de serpent comme au Moyen Age !!

  4. Posté par antoine le

    Est-ce que les ouvriers sur les chantiers, en été ou en hiver, trouvent leur charge de travail insupportable ?
    ” … puis 6 mois en médecine interne comme assistante à plein temps, ce qu’elle a trouvé être une charge de travail insupportable. Ensuite, depuis un an, elle travaille à l’Hôpital de La Chaux-de-Fonds à mi-temps.”
    Cette dame devrait tout de suite se mettre à l’AI !

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