Un tiers des femmes en âge de procréer ne veulent pas avoir d’enfants. C’est ce que révèle un sondage réalisé par le magazine Elle en partenariat avec l’Ifop et publié ce mercredi. L’enquête a été menée auprès d’un échantillon représentatif de 2005 femmes âgées de 15 ans et plus. Concernant les femmes «en âge de procréer», il s’agit de femmes âgées de 18 à 49 ans sans enfants et en capacité physique de procréer. La crise environnementale et climatique est notamment évoquée pour justifier le non-désir d’enfants, selon un sondage réalisé par le magazine Elle et l’institut Ifop.
Parmi les sondées qui ne ressentent pas de désir de maternité, 50% estiment qu’un enfant n’est pas indispensable à leur épanouissement personnel quand 48% ne souhaitent pas assumer de responsabilité parentale. La crise environnementale et climatique motive aussi le non-désir d’enfant de 39% des femmes interrogées, suivies des crises politiques et sociales (37%) et de la crainte de la surpopulation (35%), détaille Elle.
L’institut Ifop a également interrogé les sondées sur leurs idées politiques. 48% de sympathisantes EELV ont affirmé souhaiter rester sans enfant contrairement à celles des Républicains, de Reconquête ou du RN qui manifestent encore majoritairement un désir de maternité. 50% des femmes se jugeant «très féministes» et 54% se disant «très écologistes» ont également affirmé leur non-désir d’enfants.
La catégorie socioprofessionnelle des sondées est également un critère puisque 36% des dirigeantes d’entreprises préfèrent ne pas avoir d’enfants quand la majorité des femmes issues des catégories populaires expriment majoritairement leur désir de devenir mères. Le sondage relève également que plus de la moitié des mères d’un enfant de moins trois ans avouent parfois regretter leur choix de maternité. En outre, près d’une femme sur deux se dit prête à recourir à la procréation médicalement assistée (PMA) en tant que célibataire.
Extrait de: Source et auteur
Il est rassurant d’apprendre que 35% des femmes françaises interrogées, qui ne ressentent pas de désir de maternité, soient préoccupées par la crainte de la surpopulation. Pour autant, la crise environnementale et climatique ainsi que les crises politiques et sociales – qui constituent les autres thèmes de préocuppation, ne sont-elles pas les effets secondaires de la surpopulation ?.. À la fin, le fait d’être conscient-es que nous sommes majoritairement huit milliards de procréteurs encore enthousiastes, ne nous laisse cependant bien peu d’espoir face aux complications qui guettent l’humanité sur notre petite Planète. Aujourd’hui 29 septembre, j’ai écouté l’émission de France Info, qui se référait à un article du New York Times sur les pratiques de pêche chinoises qui donnent le vertige… car “aucune autre flotte au monde ne pêche aussi longtemps et aussi loin de ses bases et n’est aussi massive tant en nombre de navires qu’en quantité de prise”. Celles et ceux qui entendent se faire un peu peur en découvrant les chiffres relatifs à l’appétit des seuls 1.5 milliards d’habitants de la Chine, trouveront le lien hypertexte suivant :
https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-chronique-d-anthony-bellanger/histoires-du-monde-du-jeudi-29-septembre-2022-2419873
L’idéologie woke insufflée par une gauche écologiste devenue tragi-comique est devenue dévastatrice. Il faut y ajouter à cela le climat apocalyptique savamment entretenu par ceux qui nous gouvernent. Les malheureuses victimes (ils et elles) ont plus envie de se suicider que de procréer.