Titre original: Sous les yeux de ses enfants: un homme de 49 ans tue sa femme (32 ans) de 30 coups de couteau
Un homme de 49 ans a été condamné par le tribunal de grande instance de Kassel à une peine de treize ans de prison pour avoir tué sa femme.
Le tribunal a considéré qu'il était prouvé que l'homme avait tué la femme de 32 ans d'au moins 30 coups de couteau après une dispute, sous les yeux de leurs cinq enfants âgés de un à onze ans.
Avec cette décision, le tribunal est resté en deçà des exigences du parquet et de la partie civile qui avaient plaidé pour un meurtre aggravé ou éventuellement un assassinat. Les juges ont considéré que les caractéristiques de l’assassinat n'étaient pas remplies. Il s'agit d'un acte impulsif commis sous le coup de l'émotion, a expliqué le juge pour justifier sa décision.
La relation du couple était problématique, a expliqué le juge. Déjà avant les faits, l'accusé était devenu agressif envers sa femme. "Mais c'est surtout pour les enfants qu'elle ne s'était pas séparée". Néanmoins, au cours de la procédure, il s'est avéré que le tableau n'était pas aussi noir que celui dépeint par l'accusation.
Le parquet avait reproché à l'accusé d'avoir agi pour de basses motivations. Selon les informations reçues, l'Irakien aurait vécu strictement selon les principes musulmans.
Selon le parquet, sa femme avait en revanche un style de vie moderne et souhaitait la séparation.
Il aurait compris cela comme une "atteinte à l'honneur". Selon le juge, l'image du musulman vivant selon des règles religieuses strictes ne s'est pas confirmée.
Motif possible du meurtre? L'épouse rejetait les principes musulmans de son mari
Le caractère de l'homme serait néanmoins particulier. "L'accusé est une personne impulsive et encline à l'agressivité", a déclaré le juge. Il a le mérite de ne pas avoir d'antécédents judiciaires, de ne pas avoir tenté de fuir et de ne pas avoir dissimulé ou nié les faits. Lors de l'ouverture du procès, l'accusé avait déclaré qu'il se souvenait des disputes avec sa femme, mais pas de l'acte lui-même.
L'Irakien a également été condamné à verser une indemnité de 2000 euros à chacun de ses cinq enfants. Le jugement n'est pas définitif, un appel est possible.
Les populations super naives de notre continent n ont toujours pas compris que les metastases de ce cancer ne peuvent etre soignees que par la maniere tres severe et sans aucune concession !Des petites sectes bien moins criminelles ont ete interdites par un proche passe . Cherchons toujours de bons medecins capables de faire un bon diagnostic pour cette gangrene …
Boualem Sansal, Algérien, réfugié en France : “l’islam est le mal absolu de notre temps “. Patrick Lévy.
Un mouvement citoyen soutenu par la CEDH et toutes les ONG vont obtenir la libération immédiate de cette chance. Cet homme d’honneur n’a même pas été psychiatrisé. Si la justice avait fait son devoir, il serait en liberté et en passe d’être décoré.