28. juillet 2022, Jean-Pierre Grin, conseiller national UDC, Pomy
L’agriculture suisse se caractérise déjà par un niveau très élevé de bien-être animal. Celui-ci est garanti par de nombreuses prescriptions, comme une loi sur la protection des animaux d’une sévérité unique au monde, des effectifs limités par la loi pour les poules, les porcs et les veaux. Avec en plus des programmes d’incitation très efficaces pour des étables respectueuses des animaux et des sorties régulières en plein air, ainsi que de nombreux labels allant encore plus loin et un système de contrôle efficace. Chacun peut faire ses achats en conséquence et promouvoir ainsi le bien-être animal.
Ne pas renforcer le tourisme d’achat
Le consommateur a déjà le choix aujourd’hui, et avec cette initiative, on désire le lui enlever. Les aliments d’origine animale renchériraient de 20 à 40%, soit une charge supplémentaire d’environ 1’800 francs par an pour le portemonnaie des consommateurs. Tout le monde ne peut et ne veut pas acheter exclusivement des produits conformes aux normes bio. Dans l’urgence, encore plus de personnes se rendraient dans les pays voisins pour s’approvisionner. Ce tourisme d’achat affaiblirait davantage notre système économique et ne servirait ni l’écologie ni le bien-être animal.
En cas d’acceptation de l’initiative, la production indigène diminuerait d’environ 50% pour ce qui est des porcs, et même jusqu’à 80% pour ce qui est des volailles. Des milliers d’emplois sur les 300’000 que compte le secteur agricole et alimentaire seraient alors mis en péril.
L’initiative affaiblit notre auto-approvisionnement.
D’autre part, moins nous produisons chez nous et plus nous importons, plus nous impactons la planète. Une production alimentaire indigène forte est donc importante non seulement pour la sécurité alimentaire, mais aussi pour des raisons environnementales globales.
En outre, les crises mondiales comme la pandémie de coronavirus et la guerre en Ukraine montrent que chaque pays se doit de subvenir d’abord à ses propres besoins. Tout secteur économique a intérêt à axer son activité sur les besoins du marché. L’initiative sur l’élevage intensif va à l’encontre de ce principe, car elle conduit à une réglementation de l’offre par l’État.
En matière d’importations, une telle réglementation constituerait en outre une violation de nos engagements envers l’OMC. Les consommateurs qui souhaitent promouvoir des formes d’élevage particulièrement respectueuses des animaux peuvent déjà le faire en achetant des denrées alimentaires produites en conséquence.
Avec cette initiative, l’ensemble de la production indigène risque d’être affaiblie, la liberté de choix des consommateurs menacée et les importations encouragées. Donc comme l’UDC s’engage pour une agriculture productrice et apte à nourrir la population, un NON s’impose le 25 septembre prochain.
MANGER LOCAL, un vrai combat aujourd’hui face à la puissance des multinationales de l’agrochimie.
C’est pour cela que combattent les agriculteurs néerlandais. Ils savent bien que les multinationales de l’agrochimie convoitent leurs espaces agraires et souhaitent en les déposséder. Cela pourra très bien se passer en Suisse, en France et dans d’autres pays d’Europe.
Et nous, nous devrions nous méfier des futures productions de ces multinationales qui risquent d’arriver nos assiettes surtout quand on sait que parmi leurs actionnaires figure un certain Bill Gates.
Est-ce que la vaccination était conçue pour notre bonne santé?
Est-ce que cette nourriture produite sur des terres spoliées, nous sera fournie pour notre bonne santé ?
On peut être très inquiets quand Bill Gates fait la promotion d’une “viande” dite synthétique.
Extrait de texte :
Les manifestations d’agriculteurs aux Pays-Bas ne s’arrêtent pas. Depuis des semaines, des milliers d’agriculteurs néerlandais sont descendus dans la rue. Ils bloquent les routes, paralysent les accès et les centres de distribution. En bref : ils luttent pour leur survie – contre une expropriation. La raison de ces protestations est le projet du gouvernement néerlandais de réduire massivement l’azote, jusqu’à 95 %. Cela signifierait la fin de près de 30 % des agriculteurs.
Ce sont des protestations de paysans d’une ampleur insoupçonnée. L’année dernière déjà, Christianne van der Wal avait été chargée, en tant que ministre de la nature et de l’azote, de réduire les émissions d’azote de 50 % d’ici la fin 2030. Avec ses plans, elle veut apparemment assurer la fin de nombreux agriculteurs néerlandais. Les plans prévoient que les agriculteurs abandonnent volontairement leurs exploitations en échange d’une compensation, à condition qu’ils garantissent qu’ils ne reprendront plus jamais d’activité agricole. S’ils ne sont pas d’accord, l’État veut leur reprendre leur exploitation. La grande expropriation a donc commencé.
Aux Pays-Bas, le gouvernement semble s’être donné pour mission de ruiner les agriculteurs. Avec ses plans de réduction des émissions d’azote présentés le 10 juin, environ 30 % des agriculteurs devront fermer leurs exploitations. D’ici l’année magique 2030, les Pays-Bas veulent réduire les émissions d’azote nationales de 50 %, en de nombreux endroits jusqu’à 70 % et dans les réserves naturelles même jusqu’à 95 %.
Cela signifie la fin de l’élevage pour de nombreux paysans. La folie climatique hollandaise visant à satisfaire aux prescriptions de l’UE signifie la mort pour de nombreux animaux. Car c’est la seule manière d’atteindre les prescriptions climatiques. Le fait que la réduction du nombre d’agriculteurs et de leurs élevages entraînera une situation d’urgence en matière d’approvisionnement semble indifférent aux gouvernants, voire même qu’ils s’en accommodent sciemment. Aux Pays-Bas, on a commencé à exproprier les agriculteurs et ce n’est plus qu’une question de temps avant que ces plans ne soient également mis en œuvre chez nous. ( L.Glauzy)
Une branche de notre famille est agriculteur dans le Gros de Vaud et nous voyons les difficultés de produire suffisamment de blé, de la betterave sucrière ou autres, de qualité et de pouvoir boucler les comptes avec un bénéfices.
Les contraintes sont multiples et les prix toujours revus à la baisse et avec des retenues (humidité, grosseur des grains, etc …)
Si nous voulons réellement développer et maintenir notre agriculture, il faut que cela soit clairement énoncé politiquement et économiquement !
Il ne faut pas prendre nos paysans pour des jardiniers bénévoles !
Ils ont des familles qu’il faut entretenir. Les machines coûtent cher et le carburant a pris l’ascenseur.
Sachons favoriser par nos achats l’agriculture locale !
Ce qu’on peut constater c’est que TOUTES LES ACTIONS DES “SELISBOLFA” (Socialo-écolo+lgbtx-islamo-bolchévo-fascistes) VISENT A AFFAIBLIR LA SUISSE PAR ABÂTARDISSEMENT DE SON INDÉPENDANCE ÉCONOMIQUE, LINGUISTIQUE, CULTURELLE ET AGRICOLE. Avec eux on va finir par parler le petit-nègre, future langue nationale. Il n’y a qu’à voir le nombre de traine-savate qui déambulent dans tout le “Grand… Genève”, les poussettes à raz bord, pour se faire un sérieuse idée de notre futur d’esclave fiscal au service de nos envahisseurs pillards d’aides sociales, ces meilleurs clients des Selisbolfa pour des naturalisation de complaisance, dans le but d’avoir finalement tous les pouvoirs, tout en se targuant d’utiliser des moyens démocratique, ces fourbes !
Avec l’Ukraine et ses profiteurs expédiés par Zelinsky, c’est une grave conspirations de déstabilisation de la Suisse qui se fait au détriment de nos retraites et de notre sécurité sanitaire et de notre avenir économique. Va-t’on finir d’autorité par devenir dépendants du blé ukrainien tout en refusant d’être dépendants du pétrole et du gaz russe ? Voilà une xème future entorse à notre neutralité qui va faire exploser un cortège constant de faillites, comme lors du crash de 1929.
D’autant plus que Zelinsky est un parfait manipulateur pour avoir été choisi par les Américains et l’OTAN comme fouteur de merde internationaliste et non le pseudo nationaliste qu’il fait semblant d’être. Tout ça dans le but d’obtenir toutes les armes qu’ils souhaite, ayant déjà réclamé des armes nucléaires, tout en préparant notre libanisation en sourdine avec l’aide des bonnes conscience des ONG de Soros, qui se précipitent pour le plébisciter, ce qui démontre fortement l’influence de ces sectes aussi à travers nos médias traditionnellement traîtres.
Pour contrarier son image de pédé conspirateur tripoté par les sectes des Mormons, scientologues etc. suite aux compliments sur sa beauté par TOM CRUISE, il n’a rien trouvé de mieux que de se mettre en vedette avec “sa femme” dans le magazine américain Vogue. Mais nous connaissons de nombreux PD précautionneux qui couvrent leurs sales manières en exposant publiquement leur famille nombreuse. Un mormon fidèle ça se saurait, non ? Alors que comme par hasard ils ont de très nombreux atomes crochus avec la religiosité islamique, tels les harems au point d’être de parfait instigateur de notre décadence. Et si un jour on entend parler de “chrétiens” qui coupent des têtes ce sera tout naturellement dû à ces imposteurs qui doivent aussi plaire à Bergolio, ce lèche-pieds de l’islam triomphant avant de devenir lèche-cul.
D’autant plus que dans certaines grandes surfaces, que je ne nommerai pas, le bio nous est imposé, sans autre choix. Et l’on nous fournit l’argument que le bio est en augmentation.