La RTS déverse sa propagande anti-russe en direct depuis la place Maïdan

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Forum du 14.04.2022 – lien vers la vidéo: https://www.rts.ch/play/tv/forum/video/forum-video-presente-par-renaud-malik-et-raphal-grand?urn=urn:rts:video:13023164

Carla Montet: Les trois invités ukrainiens de la RTS, tous triés sur le volet,  leurs sources de revenus sont liées à l'UE, s’exprimant en français avec aisance et haïssant les Russes. Ils donnent leurs avis sans nuance pour "instruire" les Romands sur la guerre en cours. Jamais un mot n'est dit sur les lois liberticides et répressions contre les minorités linguistiques, l'interdiction d'enseigner, de parler en public dans sa langue maternelle, les exactions commises par les troupes nazies contre les populations civiles, les 14'000 morts dans la Donbass laissent de marbre ces Ukrainiens. Dans leurs têtes, ils sont déjà membres de l'UE et de l'OTAN (et avec les subventions), et nous devrions en plus soutenir ce pays corrompu, jusqu'à ce que le Donbass et la Crimée reviennent coûte que coûte à l'Ukraine.
Il semble tout à fait normal à ces Ukrainiens de refuser d'accorder aux minorités la pratique de leurs langues.

Nous aurions voulu entendre ces trois invités de la RTS nous expliquer pourquoi le revenu en Russie est quatre fois supérieur à celui des Ukrainiens, pour quelles raisons la corruption et la criminalité sont plus contenues en Russie. Alors que  l'Ukraine a reçu des aides très importantes de l'Occident depuis que les USA ont décidé d'instrumentaliser ce pays pour nuire à la Russie.

Les questions niaises et orientées de Raphaël Grand mériteraient à elles seules le grand prix du journalisme militant.
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Jingle RTS: Raphaël Grand, journaliste de la RTS accueille ses invités à Kiev, à la Place de l’Indépendance, autrement dit la place Maïdan. Forum est à Kiev, la capitale ukrainienne, au centre ville. 50e jour de l’invasion russe...

Invités:

-Alina Zamarovskaya, Ukrainienne active dans la communication ; avant la guerre, elle travaillait dans une entreprise qui s’occupe de sites internet.

-Alexander Nedbaev, producteur de cinéma.

-Yulya Muzyka : interprète, elle a travaillé pour le bureau de l’UE à Kiev.
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 Interview:

Raphaël Grand : Qu’est-ce qu’elle symbolise, cette place ?

Yulya Muzyka : Pour moi, c’est la place symbole de la liberté, la liberté de la parole, et le centre de Kiev.

En réalité, la place Maïdan est pour le monde entier le symbole de l'Euromaïdan, fomenté par le Deep state. En bref, la place Maïdan, c'est tout sauf un symbole de la liberté...

Les néo-nazis, place Maïdan

Raphaël Grand à Alexander Nedbaev : Beaucoup d’Ukrainiens se sont réfugiés plus à l’Ouest lors des bombardements, à Lviv. Comment retrouvez-vous votre ville ?

Nedbaev a retrouvé son appartement intact il y a deux semaines mais dit que lui a changé à l’intérieur. "La guerre nous change."

Raphaël Grand à Alina Zamarovskaya: On s’est baladé pour comprendre…

Alina Zamarovskaya: Il y a la vie qui revient petit à petit, presque normale. Les fortifications et sacs de sables restent. Poutine ne va pas renoncer à l’idée de prendre la capitale. C’est une sorte de répit inquiétant. On croit à notre défense antiaérienne, on ne se cache pas dans les abris.

Raphaël Grand : Est-ce qu’on s’habitue à la guerre ?

Alina Zamarovskaya : Malheureusement oui. Les deux femmes s’accordent: elles n’ont plus peur, elles s’y sont habituées. Lorsque les sirènes annoncent des bombardements, plus personne ne descend à la cave.

Alexander Nedbaev: J’essaie de vivre normalement autant que possible, boire un café, etc. Si on arrête, c’est là que Poutine gagne.

Raphaël Grand : Les gens rentrent, ils sont de retour depuis 10 jours.

Raphaël Grand à Alexander Nedbaev : Cette guerre a changé l’Ukraine, nous a changés. On a l’impression que les Ukrainiens sont plus unis aujourd’hui, il y a une unité qui s’est créée à travers tout le pays depuis l’attaque de Poutine.

Alexander Nedbaev: À 100%! Avant, c’était presque folklorique de voir les Ukrainiens se bagarrer, trouver l’ennemi intérieur, le traître.
On est tous unis depuis la guerre, la guerre nous a unis comme un organisme contre l'ennemi externe, on ne cherche plus la trahison.

Raphaël Grand à Yulya Muzyka : Cette guerre a changé les Ukrainiens, on est plus uni, on a un sentiment de partage, de protection, on aide autour de soi. On devient encore plus Ukrainien qu’avant.

Raphaël Grand à Alina Zamarovskaya :  Ça veut dire quoi être Ukrainien, être uni aujourd’hui, 50e jour de guerre ?

Yulya Muzyka : Un sentiment d’entraide, la volonté de se rendre utile.

Raphaël Grand à Alina Zamarovskaya : Une partie de votre famille vit en Russie. Ça veut dire qu’une partie de votre famille, ils sont CLAIREMENT russes, et même pro-Poutine ? Je crois que vous me l’avez dit. Comment cela se passe dans les familles qui ont cette dualité, à la fois une partie en Ukraine et l’autre en Russie, quand il y a un conflit comme celui-ci ?

Yulya Muzyka : C’est une expérience assez dure. La séparation sera pour de bon. Les gens en Russie, ils ne croient que la propagande russe. Ils ne croient même pas aux bombardements.

Raphaël Grand : Votre propre famille du côté russe, n'y croit pas ?

Yulya Muzyka : Ils croient que s’il y a des bombardement c’est pour toucher des objets militaires. Mais moi et mes enfants ne sommes quand même pas des objets militaires !

Raphaël Grand à Alexander Nedbaev :  Macron a créé une polémique en parlant de peuples frères, cela vous a fait vraiment réagir ?

Alexander Nedbaev : C’est le discours de Poutine. C’était à l’époque le discours soviétique, de nous appeler un petit frère, qui est gentil mais qui est quand même de la famille russe. C’est de la propagande soviétique qui a été reprise par le discours de Poutine.

Raphaël Grand : Il y a quand même des liens, rien que la langue, beaucoup parlent russe en Ukraine ?

Alexander Nedbaev : La plupart parlent les deux, moi aussi, on a appris les deux langues à l’école, plus à l’Est un plus grand pourcentage parlent le russe et à l’Ouest, l’ukrainien, mais presque 100% parlent les deux. Vous parlez le français en Suisse mais vous n’êtes pas Français.
Nous avons notre civilisation, notre culture, notre histoire, qui est plus ancienne que celle de la Russie et ils ne nous considèrent pas comme leurs frères.
Il faut que Macron arrête de dire avec qui on est ou on n’est pas frères !

 

Ukraine - Russie - URSS {JPEG}

L'Ukraine a 40 ans d'indépendance en tant qu’État, à tout casser.
source: https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/l-ukraine-vue-autrement-3-239562

 

Raphaël Grand :  Il y a un sentiment de haine, vous m’en avez parlé ? Vous m’avez dit qu’il y a quelques semaines, la haine est née en vous ?

Alexander Nedbaev : Écoutez, moi toute ma vie j’étais plutôt centriste-gauche. Mais là, avec l’invasion, je me place plutôt à droite. C'est-à-dire, je n’ai jamais fait de mal physique à une personne d’une manière volontaire. Mais là, si vous me mettez en face d’un soldat russe, je vais l’étrangler avec mes mains propres.

Et cette idée, je l’ai découverte comme ça, il y a deux semaines peut-être, à l’intérieur de moi. Elle est née cette idée. Et je me demande qu’est-ce que cela fait de moi, quelle personne je suis maintenant. Prête sans aucun doute à le faire.

Raphaël Grand à Yulya Muzyka – les tanks étaient à quelques kilomètres de sa maison:
Vous faites la distinction entre le peuple russe, l’armée russe et Poutine ?

Yulya Muzyka : Bien sûr je le fais! Je fais la distinction aujourd’hui entre l’Ukraine et la Russie, parce que pour moi la Russie, l’armée russe, le peuple russe est mon pire ennemi aujourd’hui, et le sera toujours pour moi, pour ma famille, parce qu’ils ont détruit mon pays, mon peuple, ils ont causé beaucoup de maux, et ils ont détruit des maisons, des villes entières, alors, c’est impardonnable, c’est impardonnable !

Raphaël Grand :  Il y a eu des morts pas loin de chez vous ?

Yulya Muzyka : Beaucoup de maisons détruites, beaucoup de morts, c’est impardonnable.

Raphaël Grand :  Le front s’est déplacé au Donbass à l’Est. On va retrouver notre envoyée spéciale Maurine Mercier sur la route de Marioupol, à Zaporijia, juste au nord de Marioupol.

Reportage de Maurine Mercier, journaliste RTS envoyée en Ukraine:
C'est ici à Zaporijia qu'arrivent les très rares qui arrivent à s'extirper de Marioupol, par leurs propres moyens. Marioupol est pilonnée depuis des semaines. Le CICR a réussi à évacuer 1000 personnes il y a une semaine. Les convois humanitaires sont très difficiles à organiser parce que les trêves ne sont pas respectées. Les enfants sont traumatisés, elle a discuté avec des psychologues sur place. Plusieurs milliers de personnes sont encore coincées dans la ville. Mais Maurine Mercier est à la bonne place à Zaporijia pour recueillir les témoignages sur Marioupol qui est le symbole de la violence russe.

Note: La population civile est prise en otage par l'armée ukrainienne et ses alliés, et utilisent ces gens comme boucliers humains. Nous avons appris également que les soldats ukrainiens demanderaient l'équivalent de 1000 euros pour laisser passer les civils qui fuient la guerre, puis ils bombarderaient la route, ce qui oblige les civils à rebrousser chemin. Lorsque les civils ont compris cela, ils décident de ne pas passer par ces "couloirs sécurisés" pour fuir les villes. Le CICR est parfaitement au courant de ces pratiques.

Raphaël Grand à Alina Zamarovskaya: Cette difficulté à s’échapper de cette ville, comment vous voyez tout cela depuis Kiev ?

Alina Zamarovskaya : C’est notre douleur, on a ce sentiment d'impuissance. .

Raphaël Grand : Marioupol, c'est une ville perdue pour l’Ukraine ?

Alina Zamarovskaya : J’espère de tout mon cœur que non.

Raphaël Grand à Yulya Muzyka : Marioupol, c’est un drame qui se joue pour l'Ukraine ?

Yulya Muzyka : Je pense qu'on doit aller jusqu’à la fin. Parce que Marioupol est une ville ukrainienne. Elle doit rester ukrainienne, on doit sauver le peuple de ce macabre.

Raphaël Grand à Alexander Nedbaev : L’armée ukrainienne a surpris beaucoup de gens, elle s’est défendue, elle a infligé des dommages importants à l’armée russe, vous vous attendiez à ce que l’armée ukrainienne soit capable de faire face ?

Alexander Nedbaev : J’ai presque honte mais je n’y croyais pas tellement au début. Mais on a eu la très, très bonne défense antiaérienne, on arrive à frapper jusqu’à 80% des missiles, et notre armée s’est affichée comme une des plus fortes armées possibles, dans des conditions où l’armée russe était bien supérieure pour l’équipement et les soldats.

Raphaël Grand : C’est les civils qui sont venus et qui se sont impliqués, c’est l’armée qui est bien organisée, peut-être bien entraînée par d’autres pays, d’autres forces ? On évoque les États-Unis, très clairement, parfois.

Alexander Nedbaev : Tout cela ensemble. L’armée ukrainienne s’est entraînée dans le Donbass depuis 8 ans, puisqu’on était en guerre depuis 8 ans. Et très bien entraînée par nos partenaires européens et américains.
Et puis, c’est l’autodéfense. C’est-à-dire, la défense territoriale qui s’est installée dans la ville, dans les villes et les villages et les gens ont appris à utiliser les armes et à protéger leurs petites communautés. Tout ça, plus les volontaires, plus les services de transport. Et tout cela a fait qu’on a pu résister d’une manière incroyable. Et au 50e jour, Marioupol tient encore. La ville est rasée mais Marioupol tient encore.

Raphaël Grand: Une navire amiral russe a été touché aujourd’hui en mer Noire. C’est encore à vérifier. Un mot aussi d’Irpin et de Boutcha: les exactions qui ont choqué le monde entier, à 20 km de Maïdan. Yulya, vous qui êtes Ukrainienne, vous n'habitez pas très loin de Boutcha et d'Irpin, comment vous recevez ces images quand vous les voyez ?

Yulya Muzyka : Pour moi, ce sont des images cauchemardesques. J’étais sous le choc, je n’ai jamais pensé qu'une telle situation peut se passer dans un monde civilisé du 21e siècle, surtout en Ukraine, où on est près de l’Europe. Pour moi, c’est une catastrophe et une catastrophe mondiale. Elle était au sous-sol mais voyait sur Facebook. Très peur pour ses proches, ne savait pas quoi faire.

Raphaël Grand à Alina Zamarovskaya: Vous avez vu aussi ces images, j’imagine ? Qu’est-ce qu’on se dit quand on est à quelques kilomètres de Boutcha ?

Alina Zamarovskaya : C’est inimaginable à comprendre. Nous étions en sécurité alors que tout près, les Russes ont perpétré de telles atrocités. C’est leur manière ordinaire de faire la guerre, comme en Tchétchénie. Mais lorsqu’on voit ces images, les cadavres des enfants, qu’est-ce qu’on peut dire ?

Raphaël Grand à Alexander Nedbaev : Boutcha, Irpin, on évoquait Marioupol, vous vous attendez à d’autres drames dans cette guerre ?

Alexander Nedbaev : Malheureusement oui. Tchernihiv vient d’être libérée, on a déjà retrouvé une fosse commune avec plus de 400 civils et j’ai peur de ce qu’on va retrouver à Marioupol et à Kherson.

Jingle RTS: Marioupol au Sud de l’Ukraine, d’autres combats vont peut-être se jouer … Forum est à Kiev pour une page spéciale! Nous sommes installés au centre de la capitale ukrainienne, place Maïdan, la place de l’Indépendance.

Raphaël Grand : Je voudrais ouvrir un nouveau chapitre :  Quel doit être globalement le rôle de l’Europe et de l’OTAN? Cette Europe qui amène de l’aide humanitaire mais qui ne s’implique pas.
Est-ce que l’Europe en fait assez ?

Alexander Nedbaev : Oui et non. Vous avez fait beaucoup de sanctions, mais avec un délai, toujours avec un retard de quelques mois.
On savait depuis le mois d’octobre 2021 que les Russes programmaient quelque chose. Après, ils étaient en entraînement sur le bord de l’Ukraine et en Biélorussie. Après qu’ils ont rassemblé toutes leurs forces, tout le monde disait, toutes les reconnaissances mondiales disaient qu’il y aurait une attaque dans quelques jours. Mais il n’y avait aucune sanction.
Sauf peut-être sur un oligarque russe, son compte bancaire bloqué, un truc minuscule pour nous protéger.

Il faut leur couper le gaz ! J’en veux beaucoup aux Allemands ! Je les comprends, mais ils demandent des délais parce qu’ils ont besoin du gaz.

Alexander Nedbaev demande à chaque politicien allemand de venir passer un mois à Marioupol..

Raphaël Grand à Yulya Muzyka : Vous avez travaillé au bureau de l’UE à Kiev. L’Union européenne, vous la connaissez. Ce rêve d’Europe aujourd’hui est en train de s’éloigner pour les Ukrainiens ?

Yulya Muzyka : Au contraire ! On s’approche, on doit entrer, je suis désolée de le dire mais on DOIT entrer. Nous, un pays presque européen. Pourquoi nous laisser tomber comme ça ? Ce n’est pas possible ! On n’a plus le choix, sinon, avec la Russie, ce sera une catastrophe. Raphaël Grand suggère de rajouter : c’est une question de sécurité. Yulya répète : Oui, c’est une question de sécurité, voilà !

Raphaël Grand : On voit des drapeaux européens dans toutes les villes ukrainiennes quand on voyage, ça reste le but, l’Europe ?

Alina Zamarovskaya : Oui, bien sûr ! Poutine a dit, très clairement, lui-même et par la bouche de ses propagandistes les plus importants, que l’Ukraine n’est qu’une étape pour assurer la sécurité de la Fédération de la Russie. Donc, si par exemple l’Ukraine tombait, alors qui seraient les suivants ? Les Pays Baltes, ensuite, l’Europe occidentale. Poutine a très clairement menacé même l’Allemagne. Il y a des vidéos, des gens qui en parlent ouvertement. Il ne faut pas le cacher.

Raphael Grand : Ça veut dire qu’en Europe on ne se rend pas compte du danger ? C’est cela ?

Alina Zamarovskaya : Oui, la plupart des gens en Europe ne se rendent pas compte du danger et des ambitions de Poutine. Poutine ne s’appuie pas sur des raisons politiques normales, mais il a des ambitions d’un maniaque.

L’Europe nous apporte une aide inestimable, en armes et en technique, mais on doit comprendre que c’est aussi pour protéger l’Europe elle-même.

De nouveau, jingle: «Forum, 50e jour de guerre, ici, en Ukraine, nous sommes à Kiev, sur la place Maïdan, nous allons arriver au terme de cette page spéciale »

La seule manière dont les trois Ukrainiens interviewés par la RTS considèrent que ce sera la fin de cette guerre ne peut être que la victoire totale sur les Russes. C'est-à-dire que tous les territoires soient récupérés, tout le Donbass, la Crimée, l’Ukraine telle qu'elle était en 2014. Les trois Ukrainiens croient que c’est possible, que ce sera la seule fin de la guerre.

Tout en ajoutant : Nous avons besoin d’aide en armes, en technique, de sanctions, et il faut arrêter d’acheter du gaz. Tout dépend de l’aide européenne.

Raphaël Grand conclut : C'est ce que disent les Ukrainiens et Ukrainiennes que nous rencontrons : il faut arrêter de financer la guerre en achetant le gaz russe.

Forum (vidéo) - Présenté par Renaud Malik et Raphaël Grand

https://www.rts.ch/play/tv/forum/video/forum-video-presente-par-renaud-malik-et-raphal-grand?urn=urn:rts:video:13023164

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10 févr. 2014 - Les "opposants" à la place Maïdan, avec BHL, annoncent la guerre dans la Donbass, et la mainmise du Deep state des USA et leurs alliés sur ce pays ultra-corrompu, violent, qui ne correspond en rien aux critères de l'OTAN ou de l'UE, en dépit des promesses faites pour en devenir membre.

(1:57 min)

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Olivier Berruyer: Ukraine, un tiers du gouvernement composé de néo-nazis. Prophétique!

4 sept. 2014 (4:19 min)

7 commentaires

  1. Posté par franz1951 le

    Goebbels est fier : il a un bon élève en Suisse

  2. Posté par franz1951 le

    Ce n’est pas la RTS !
    Changement de nom : RTSS
    Cela lui si bien……..

  3. Posté par Serguei le

    M.Leutenegger,
    Je vous suggère de prendre connaissance de nouvelles qui sont autres que celles de l’occident, car j’imagine que vous seriez étonné (mais vous êtes assez intelligent pour le savoir), les différents points de vue, non seulement des Russes, mais également des Ukrainiens de souche et russophone, habitant dans l’ensemble du Donbass.
    De très bonnes informations données par des sources qui se trouvent au sein des combattants même (mais contre le gouvernement Ukrainien de Zelenski et USA), donnent la parole aux gens (habitants et combattants) qui souffrent et ont souffert de cette politique. Naturellement, il faut toujours mettre une distance avec les dires et témoignages, mais cela nous devrions tous et toutes le savoir.
    Si vous le voulez, je peux vous transmettre les liens précités afin d’en prendre connaissances.

  4. Posté par Sergio le

    La RTS n’existerait plus sans les camarades et vice versa. Pour continuer à vivre, l’un (les médias) doit compter sur l’autre (le pouvoir) qui instaurera autant des taxes (Billag & Serafe) que nécessaire.

  5. Posté par Casella le

    La ligne éditoriale de la RTS en trois mots : désinformer, rééduquer, effrayer.

  6. Posté par Frank Leutenegger le

    Permettez-moi de ne pas être d’accord. La guerre entre la Russie et ‘Ukraine a fait choisir leur camp à un tas de gens. Je remarque que les Ukrainiens sont tous pour l’Ukraine contre la Russie, alors que les Russes sont pour la Russie, pas forcément contre l’Ukraine.
    Pour avoir vu les Russes à l’oeuvre en Afghanistan j’ai développé une aversion certaine pour leurs méthodes. Alors, sans la moindre affection pour mon ancien employeur la RTS, je l’avoue, je suis pro ukrainien et anti russe. Avec quelques exceptions, les Russes que j’ai rencontrés dans des lieux touristiques étaient “nekulturny”.

Et vous, qu'en pensez vous ?

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