Regardez et écoutez : Poutine chante l'hymne national russe avec 130'000 personnes !

https://www.youtube.com/watch?v=cMFIWBQB1kE

Et voici ceux qui ont perdu leur fierté nationale:

Carla Montet: En Suisse romande, essayez de faire l'exercice de la vidéo russe avec notre hymne national: c'est impossible!

Sans compter qu'il serait impossible de s'accorder pour rendre le texte suffisamment inclusif, avec des iels et autres fadaises.
L'enthousiasme identitaire et l'unanimité seront certainement de retour lorsque le christianisme ne sera plus la première religion.

L'islam conquérant nourrit des rêves de grandeur, plus encore que Poutine, et avec ses adeptes il cherche à nous imposer sa loi, mais pour le moment il accepte de partager la course avec la Gauche. Beaucoup d'élites de cette diversité parlent déjà "Hegel" et feignent d'être du côté de l'idéologie woke, car la cancel culture crée un vide qui fait la place aux victimes professionnels.
Mais cette alliance ne va plus durer très longtemps. Souvenons-nous de la vidéo du Conseil Central Islamique Suisse,  "Nous étions un arbre, nous sommes devenus une forêt".  Cette vidéo nous avertit: les pays qui ne défendent pas leur identité vont immanquablement disparaître sur le chemin de l'histoire.

Nous en sommes déjà au point de nous demander à quelle sauce nous allons être mangés : à la sauce d'Allah, à la sauce chinoise ou à la sauce popov ?
Beaucoup de personnes munies de passeports suisses osent se prétendre citoyens du monde, des naturalisés pour qui "la Suisse n'existe pas", les culpabilisateurs, ceux qui cherchent sans cesse les moindres failles à dénoncer pour nous nuire.
Beaucoup de ces personnes pensent que cela ira sans problème si nous améliorons notre bilan CO₂ et augmentons notre aide au développement. Que faire avec ces gens-là?

Certains des conservateurs rêvent qu'au pire, ou au mieux, Poutine viendra nous délivrer de tous les délires à la mode, les LGBT, le wokisme, les racialistes, les déconstructionnistes, au nom d'une fidélité aux valeurs chrétiennes.
Cette vision idéaliste ne tient pas compte du fait que les Russes en ont plus qu'assez de nos leçons de morale droits-de-l'hommistes, de nos sanctions mesquines avec la nourriture, de notre mépris pour nos racines chrétiennes: ils nous considèrent comme des dégénérés et ne feront jamais rien pour nous "sauver"... à moins que cela puisse leur rapporter très gros.

Sauront-ils chanter l'hymne national suisse?

Chez nous, le patriotisme est devenu fasciste et d'extrême-droite, il ne trouve aucun soutien ni dans les médias, ni dans l'enseignement. Le multiculturalisme a installé des millions d'ennemis héréditaires sur le sol européen, ennemis que la population de souche,- rendue honteuse par une propagande culpabilisante et mensongère,- entretient d'une manière suicidaire, sans oser remettre en question la religion multiculturaliste.

La Suisse, qui avait développé judicieusement durant des siècles le peu de richesses qu'elle avait reçues de la nature, s'était forgé une réputation reconnue mondialement durant des siècles, pour sa fiabilité, la qualité de ses services, sa précision, le courage de ses soldats.
Mais une Gauche toute-puissante, occupant les moyens de communication, et pire, donnant la mesure pour tout ce qui concerne le bien et le mal, le permis et l'interdit, a provoqué délibérément la destruction de notre cohésion nationale ... le nihilisme qu'elle propage ne pouvant d'ailleurs rien faire d'autre.

Nous avions une armée performante. La gauche l'a combattue, et certains parmi elle ont même réclamé une Suisse sans armée.
Nous avions un système bancaire mondialement réputé.
Les attaques de nos anticapitalistes ont réussi à le fragiliser après quarante ans de travail de sape.

A présent, la Gauche reproche aux banques suisses d'avoir accepté des fortunes russes, réclame de sanctionner les investissements et entreprises russes, de geler les avoirs russes, les exportations vers la Russie, de chasser des "oligarques" russes et ne plus les laisser venir. Tout cela ne fera que pousser davantage la Russie vers la Chine et portera un préjudice grave à la Suisse, à sa neutralité, et fera des heureux partout ailleurs dans le monde.

Des sanctions contre la Russie ? Comme l'a si bien dit Orban, ces sanctions n'ont fait du mal qu'aux peuples européens.
L'Occident en déclin n'a ni stratégie, ni force de frappe, et a perdu son statut de leader mondial.
La Chine, la Russie sont redevenues puissantes en donnant la priorité à leur renforcement moral, économique et identitaire.

Ce dont la Suisse aurait besoin, c'est d'une nation patriote, unie et remplie d'amour pour son pays, où il serait facile de réunir une foule pour chanter avec enthousiasme l'hymne national, et proclamer, sans être traité de fasciste, "Switzerland First".