Albert Coroz: L'analyse de l'AFP récemment parue sur les "féminicides" en Autriche est truffée de clichés biaisés, sans la moindre allusion à l'origine de la majorité des criminels assassins. L'article cherche les causes dans le "machisme", l'"extrême droite", ou encore dans les conditions économiques défavorables aux femmes:
"... de nombreuses mères restent à la maison ou travaillent à temps partiel dans ce pays catholique, et les femmes n'ont souvent pas les moyens de quitter un conjoint violent."
"Elles gagnent 20% de moins que les hommes, un écart de rémunération sans équivalent dans l'UE à l'exception de l'Estonie et de la Lituanie."
L’argument financier avancé dans l’article est un argument idéologique, qui date de la génération de nos aïeux, quand les épouses n’avaient pas d’indépendance financière. Ce cliché patriarcal caduc, où la femme est à la merci de l’argent de son mari, est ressorti par la journaliste sans aucun fondement. Nous avons cherché des statistiques sur la situation financière des femmes assassinées ou victimes de violences de la part de leur conjoint: aucun renseignement trouvé.
Noter qu’en Autriche, comme chez nous, il y a des foyers pour accueillir les femmes victimes de violences conjugales, des aides, des services sociaux et des mesures de protection policière lorsqu’une femme a des difficultés de cet ordre.
Et actuellement, seule une couche très supérieure de la société, ou alors les assistés, ont le luxe de pouvoir se passer des revenus d’une épouse.
Or on sait que les couches aisées assassinent rarement leur épouse désireuse de divorcer, et les assistées disposent des mêmes aides lorsqu’elles veulent quitter leur conjoint.
Par ailleurs, rien ne prouve que dans les couples où ce genre de drame survient, l'homme et la femme ne soient pas tous les deux assistés, ni que le facteur financier intervienne.
En revanche, c’est le droit de l’homme musulman, dans nombreux pays, de tuer une épouse qui veut le quitter – et donc le « déshonorer » – et ceci représente probablement une part importante de ces assassinats que la bienpensance surnomme « féminicides ».
Les exemples abondent. Ainsi, nous venons d'apprendre qu'un Afghan est actuellement jugé en Autriche pour avoir poignardé à mort sa femme, mère de quatre enfants, parce qu'il la soupçonnait d'écrire un SMS à un autre homme.
L'auteure de l'article de l'AFP partage l'étonnement d'une femme battue:
Mais encore maintenant, "quasiment personne" ne s'offusque de la maltraitance des femmes, regrette-t-elle. "Jusqu'à ce qu'il y ait un meurtre".
Bien entendu, si même mentionner le nom des criminels est censuré, les chercheurs pourront continuer à parler de patriarcat, d'écarts salariaux, ou de "l'âge du capitaine", et le monde progressiste financera certainement beaucoup d'études de chercheurs pour apporter leur point de vue sur les féminicides, hors de tout éclairage sur la réalité.
Ici, comme souvent, le problème avec les recherches infiltrées idéologiquement dans le domaine des sciences humaines, c'est que la conclusion précède l'investigation.
La recherche progressiste vise uniquement à démontrer l'hypothèse posée d'avance, quelle que soit la réalité.
C'est cette même démagogie qui mène les néo-féministes par le bout du nez, lorsqu'elles réclament la fin du patriarcat (déjà détruit depuis cinquante ans), la fin du capitalisme (elles ne savent même pas ce que c'est), et qu'elles dénoncent les violences faites aux femmes puis, dans le même "package", s'indignent du montant de la TVA sur les protections menstruelles (les 15 ct. d'injustice faite aux femmes par mois )…
Somme toute, pour les néo-féministes, tout et n'importe qui peut être accusé de les victimiser, à une exception près: il est interdit de désigner ceux qui sont majoritairement les auteurs des violences faites aux femmes, et qui ont importé chez nous une forme de machisme telle que notre civilisation n'en avait jamais connu.
Image prise en 2019: Grève des femmes, Lausanne
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Les meurtres brutaux en Autriche sont banalisés
Zoltán Kottász - Magyar Nemzet
Un pays petit mais riche où les crimes violents sont relativement rares, mais où le nombre de meurtres de femmes est encore très élevé : c'est l'Autriche: l'agence de presse française AFP a rapporté ce mardi que 31 femmes ont été tuées dans le pays alpin l'an dernier. Les auteurs sont des hommes, dans la plupart des cas des conjoints en colère, des partenaires jaloux, d'anciens amants.
2021 n'a d'ailleurs pas été une année exceptionnelle, avec un total de 319 femmes victimes de meurtres entre 2010 et 2020, selon une étude gouvernementale.
Et il a déjà été montré dans le magazine Falter qu'au cours de ces années, il y avait presque toujours plus de femmes que d'hommes parmi les victimes. En 2017, par exemple, 36 femmes ont été tuées, 26 hommes.
La situation est très dramatique. Elle est « incompréhensible », a dit à l'AFP Maria Rösselhumer, responsable d'un réseau de refuges pour femmes.
« La séparation et le divorce sont les raisons les plus fréquentes pour lesquelles une femme est tuée », avait-elle déclaré précédemment dans une interview à l'hebdomadaire allemand Die Zeit. Ana Badhofer, une militante d'une ONG, a également déploré auprès de l'AFP l'absence d'indignation publique face aux nombreux meurtres. Elle a cité comme exemple le cas d'une femme battue à mort avec une batte de baseball en novembre.
Cependant, au milieu de la grande indignation des mouvements de défense des droits des femmes, la presse autrichienne et occidentale, y compris l'article de l'AFP, rechigne à reconnaître le fait désagréable que dans de très nombreux cas, il s'agit d'auteurs étrangers, en particulier d'origine ou de nationalité moyen-orientale ou africaine.
Cela ressort principalement de la brutalité des meurtres. On évoque souvent le cas de Nadine, 35 ans, qui a été étranglée par son ancien compagnon dans un bureau de tabac à Vienne en mars dernier puis aspergée d'essence et brûlée vive. La victime a été hospitalisée mais elle est décédée de ses blessures un mois plus tard. Le coupable est un Égyptien qui avait immigré en Autriche dans les années 1990.
La presse mondiale a également rapporté en septembre que deux femmes avaient été retrouvées poignardées à mort dans un appartement à Vienne. Le meurtrier, un Somalien, était connu de la police pour des crimes antérieurs. Les victimes étaient son ex-femme et sa petite amie de l'époque.
En novembre, une Iranienne de soixante ans a également été retrouvée morte dans le sous-sol de sa maison dans la capitale. Le coupable était son partenaire, un Irano-Canadien qui s'est enfui en Iran.
Notre journal a aussi rendu compte d'un crime particulièrement cruel au cours duquel de jeunes immigrés afghans ont violé à plusieurs reprises puis tué une jeune fille de 13 ans à Vienne l'été dernier. (Ndt: notre site en a parlé ici et ici.)
Le fait que les immigrés soient surreprésentés dans des crimes aussi graves a été confirmé par les chiffres du magazine Falter: près de la moitié des 76 meurtres commis en 2018, soit 35, ont été commis par des ressortissants étrangers.
Maria Rösselhumer a néanmoins rejeté l’hypothèse d'un problème "importé" en Autriche:
"Les politiciens essaient toujours de minimiser la violence contre les femmes en parlant de tels cas comme d'un problème importé avec la migration. Mais ce n'est pas vrai", a-t-elle déclaré à Die Zeit, en ajoutant: "L'Autriche est un pays catholique et conservateur. La pensée patriarcale est encore profondément ancrée dans les têtes." Et lors d'une visite en Autriche en décembre de Dunja Mijatovic, commissaire aux droits de l'homme du Conseil de l'Europe basé à Strasbourg, on lui a parlé des inégalités salariales entre hommes et femmes en relation avec les violences faites aux femmes.
Le pire est que toutes ces féministes rejettent l’homme blanc pour allez copuler avec les hommes d’origines étrangères qui ensuite les frappent si ce n’est le pire.
L’homme blanc si elles vivent avec ,n’est la que pour subvenir financièrement aux dépenses du couple (marié ou non ) , a l’éducation des enfants qui pour certains ne sont même pas les leurs et assister pour certains aux ébats de leurs conjointe avec les hommes d’origines étrangère de gré ou de force sous des excuses fallacieuses.
Tout est dit :
” …l’article de l’AFP, rechigne à reconnaître le fait désagréable que dans de très nombreux cas, il s’agit d’auteurs étrangers, en particulier d’origine ou de nationalité moyen-orientale ou africaine.”
L’AFP comme (mauvaise) habitude veut cacher cette information pourtant essentielle pour comprendre cette situation dramatique !
Ho, malheur … ! il s’agit dans la plupart des cas d’Africains ou des personnes du Moyen-Orient.
Cela va l’encontre du dogme des islamo-gôchiste qui nous font avaler des couleuvres …