Il semble qu'il s'agisse d'un crime d'honneur.
Dans le Coran, une figure mystérieuse, connue sous le nom de Khidr dans la tradition islamique, tue un garçon de façon apparemment aléatoire et gratuite. Il explique ensuite : « Et quant au garçon, ses parents étaient croyants, et nous craignions qu'il ne les surcharge de transgression et d'incrédulité. Nous avons donc voulu que leur Seigneur leur en substituât un meilleur que lui en pureté et plus proche de la miséricorde. » (18:80-81)
Selon la loi islamique, « les représailles sont obligatoires contre quiconque tue un être humain purement intentionnellement et sans droit ». Cependant, « non soumis à représailles » est « un père ou une mère (ou leurs pères ou mères) pour avoir tué leur progéniture, ou la progéniture de la progéniture. » (Dépendance du voyageur o1.1-2).
Les musulmans commettent 91 % des crimes d'honneur dans le monde .
L'Autorité palestinienne accorde des grâces ou des condamnations avec sursis pour les crimes d'honneur.
Les femmes irakiennes ont demandé des peines plus sévères pour les meurtriers d'honneur islamiques, qui s'en tirent actuellement à bon compte.
La Syrie a supprimé en 2009 une loi limitant la durée des peines pour les crimes d'honneur, mais « la nouvelle loi dit qu'un homme peut toujours bénéficier de circonstances atténuantes dans les crimes passionnels ou d'honneur 'pour autant qu'il fasse au moins deux ans de prison dans le cas de meurtre'. »
Et en 2003, le Parlement jordanien a rejeté pour des motifs islamiques une disposition visant à durcir les peines pour les crimes d'honneur.
Al-Jazeera a rapporté que « les islamistes et les conservateurs ont déclaré que les lois violaient les traditions religieuses et détruiraient les familles et les valeurs ».
En Iran, selon le New York Times , le système judiciaire « traite les parents qui assassinent leurs enfants avec une relative clémence, la peine maximale pour ce crime n'étant que de dix ans. »
« Un père a tué sa fille pour s'être mariée », par Emily Woods, Australian Associated Press , 22 décembre 2021 (merci à The Religion of Peace ) :
Un père de Melbourne a tué sa fille et son gendre alors qu'ils célébraient leur premier anniversaire de mariage parce qu'il était fâché qu'ils ne leur aient jamais demandé sa permission pour le mariage.
Lindita Musai, 25 ans, a été abattue devant sa porte le 31 décembre 2019 et son mari Veton, 29 ans, est décédé à l'hôpital le lendemain.
Le père de Mme Musai, Osman Shaptafaj, 57 ans, a plaidé coupable du double meurtre en février et a comparu mercredi devant la Cour suprême pour une audience de détermination de la peine.
Dans les heures qui ont précédé le meurtre, le couple avait quitté l'hôtel où il avait célébré son premier anniversaire de mariage en prenant un Uber jusqu'à la maison de Yarraville qu'il partageait avec les parents de M. Musai, a expliqué la procureure de la Couronne Catherine Parkes au tribunal.
Le même matin, Shaptafaj circulait dans sa voiture, transportant une arme de poing chargée non enregistrée et des munitions.
Il s'est rendu au domicile de la famille Musai vers 8 h 30, mais est ensuite reparti puis est revenu attendre le couple.
Lorsque l'Uber est arrivé devant la maison, juste avant 10h30, le couple s'est dirigé vers la porte d'entrée et a sonné à la porte.
Alors que les conjoints attendaient à la porte, Shaptafaj est sorti de sa voiture et a marché derrière eux, puis a tiré sur le couple dans la nuque à bout portant.
Il s'est ensuite éloigné de la maison pour se rendre dans un parc voisin et a retourné l'arme contre lui, et les voisins ont appelé les secours.
Shaptafaj a été arrêté et emmené à l'hôpital où des balles ont été extraites de sa tête, et son œil droit a été retiré. Il vit maintenant avec une lésion cérébrale.
Le juge Andrew Tinney a dit que Shaptafaj avait indiqué à « d'autres sources » qu'il était « fâché par le fait que sa permission n'ait pas été demandée pour épouser sa fille »….
Shaptafaj avait des antécédents de violence familiale, notamment de violence physique envers son ex-femme et sa fille.
La dernière fois qu'il a vu sa fille, huit ans plus tôt, Shaptafaj l'avait jetée contre un mur lors d'une dispute sur la raison pour laquelle la jeune fille de 17 ans vivait avec sa mère et non avec lui….
C'était peut-être aussi pour ça qu'elle devait mourir?
traduction: Carla Montet
Dès mentalités impossible à changer ! C’est dommage que l on ne sache pas depuis combien d’année ils sont en Australie ? J avais un collègue de travail (un bon gars) aussi musulmant qui avait fait en partie ces école chez nous .Un beau jour il a voulu se marier avec une fille d’ici .Refus catégorique du père qui c’était déjà arrangé avec une famille de leur village d’origine Au retour des vacances d’été mon collègue était bien marié avec une fille qu’il ne connaissait pratiquement pas …C’est le père qui gérait son salaire et gars avait droit à 5 fr par jours, l’autre fils déjà marié et un enfant c’était aussi le patriarche qui gérait aussi le salaire du couple…Pour finir la belle fille et sa fille sont parties se cacher dans un autre pays… même après 15 à 20 cher nous les traditions sont bien tenaces . Ça sera surement à nous à changer nos lois , pour ne pas passer pour des racistes !
Que pensez je pense que la situation est malheureusement clair et net ,impossible de cohabiter avec des fanatiques ,il en va de notre sécurité à tous.
Aucun rapport Yves, il s’agit de pratiques cultures propres au sous-continent indien surtout.
Ce crime est la preuve que l’islam n’est pas miscible dans les moeurs les usages les coutumes et les lois des pays qui n’ont pas ce dogme misogyne pour guide
Ces charmantes coutumes sont les bienvenues chez nous et promues par les juges et des médias. Quant aux féministes, elles idolâtrent les barbus à sandales. Si vous avez un avis différent, vous n’êtes qu’un ignare d’islamophobe. Votre suprématie d’extrême droite vous égare jusqu’à nier les droits humains.