Zürich: Mère de famille de 30 ans poignardée à mort par son mari turc de 46 ans

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(Plusieurs médias cherchent à camoufler l'origine du mari)

20minutes.ch: Lynn Sachs/ofu

«Elle venait régulièrement me voir avec ses deux enfants. » [...] La trentenaire a été tuée mercredi soir. Son époux, un Turc de 46 ans, est l’auteur présumé des faits. «Il était violent et la battait souvent. C’est pourquoi elle l’a quitté», raconte la Zurichoise à nos confrères de «20 Minuten». [...] Elle a dû appeler plusieurs fois la police.»

[...] une interdiction géographique et de contact a été prononcée contre lui mercredi, soit quelques heures avant qu’il ne passe à l’acte. [...]

Le Turc s’est lui-même rendu à la police [...]

article complet: https://www.20min.ch/fr/story/son-mari-navait-plus-le-droit-de-sapprocher-delle-627006779802

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Cenator: Nous nous souvenons d'une affaire similaire qui s'est passée à Onex au début des années 90.
Les Genevois ont lu un lundi matin sur les affichettes:
Onex: Femme découpée en plus de 500 morceaux.

Nous lisions: Une mère de famille turque a été assassinée et découpée en plus de 500 morceaux par son mari durant le week-end. Celui-ci venait de sortir de prison.

Son épouse avait demandé la séparation durant son incarcération, parce que son époux la violait sans jamais tenir compte de son refus, et la tabassait en cas de résistance.
Le Turc ne comprenait pas son problème: une épouse, ça ne se refuse pas, sinon, pourquoi se marier?

Madame savait qu'elle risquait sa vie en demandant la séparation, mais les autorités avaient interprété ses mots, qu'elle risquait au plus de se faire tabasser.

La jeune femme avait demandé une protection policière avant la sortie de prison de son mari, puis le placement de ses enfants en colonie, et un déménagement dans un appartement à l'étage, car l'appartement de la famille, qui était au rez, était facilement accessible depuis l'extérieur.

Comme dans l'histoire de Barbe-Bleue, Madame y est retournée pour un objet oublié, ce qui a causé sa perte. Son mari l'y attendait déjà.
Massacre, puis au découpage, avec un acharnement inouï.

Durant les dix années que la famille réfugiée a vécu en Suisse, le mari  en a passé huit en prison. Arrêté à répétition pour trafic de drogue, et en grande quantité, il était finalement plus lourdement condamné. Entre deux condamnations, il a quand même réussi à agrandir sa famille.

A la base, leur demande d'asile avait été refusée, le recours également. L'Office fédéral des réfugiés avait avisé les autorités genevoises que le gars était recherché en Turquie, car il y avait tué un policier, mais aussi qu'il était impliqué dans le banditisme et avait fait de la prison pour des crimes de droit commun.

Mais à Genève, les puissants lobbys pro-asile et leurs avocats militants ont si bien manœuvré que la famille a obtenu malgré tout un permis "B" humanitaire.

Madame avait fait beaucoup de progrès pendant que son mari purgeait ses années de prison. Elle parlait couramment le français, s'occupait bien de ses enfants, c’était une jeune femme pleine de vie et qui venait juste de trouver son premier travail.

Après cet assassinat horrible, les compatriotes du criminel l'ont aidé à fuir au Canada; soupçonnés, ils ont été questionnés.

Ils ont tous expliqué qu'une femme qui veut quitter son mari, chez eux, on a le droit de la tuer.
Les personnes qui les ont interrogés avaient tous suivi des cours sur le multiculturalisme, mais ces aspects culturels ne leur avait jamais été enseigné. La sidération!
Ses jeunes compatriotes ont expliqué avec une bouille innocente, comme s'ils parlaient de recettes de cuisine:
Elle se refusait à son mari, puis allait se plaindre lorsqu'il la battait: "ça, pas juste." "Tuer, si femme veut quitter, c'est normal, mais couper, pas normal."

Le scalp avait été retrouvé derrière le canapé, les 500 morceaux éparpillés dans des containers.

Des années plus tard, l’homme a été retrouvé grâce à Interpol et extradé du Canada.

Et les contribuables ont passé à la caisse, à hauteur de millions (minimum 15 ans de prison, enfants placés durant des années, frais judiciaires, etc.).

Tout cela à cause de ces lobbys de gauchistes pro-asile, et de la toute-puissance médiatique, qui lessive le cerveau et l’âme des Romands du matin au soir.

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Voir aussi:

Liste non exhaustive de nos victimes blanches, tuées par des immigrés (1984-2020) – sans parler des blessés qui resteront handicapés à vie

 

3 commentaires

  1. Posté par Anubis de la vallée le

    C’est quoi déjà leurs cheval de bataille  »mâles blancs hors de ma vue »
    Je me rappelle bien de ce crime à Onex, chauffagiste je passais devant les containers dans les caves à cette époque….pour la petite histoire, Mme venait de se faire opérer du  »bas-ventre » et ne pouvait avoir de rapports le temps de la cicatrisation, il l’a quand même violée…c’est ce qui avait été dit dans la tribune de G. à l’époque.

  2. Posté par Sonny Walker le

    Comment ne pas etre pour l ouverture de bagnes ou l on pourrait envoyer tout ce lisier , accompagnes de leurs sponsors de gauche ? Que de frais epargnes , vive l ecologie !

  3. Posté par Sergio le

    Ces tarés préhistoriques ne comprennent que les rapports de force. Tout autre concept leur paraît absurde. Que veut-on faire avec de tels énergumènes ? Les enfermer ou les renvoyer chez eux ? Certaines nations ont une autre solution, définitive et peu coûteuse.

Et vous, qu'en pensez vous ?

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