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Une plainte en quinze mois dans le canton de Vaud.

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Albert Coroz: De nos jours, il n'y a aucun problème de banalisation des violences subies pour leur orientation sexuelle en Suisse parmi les personnes issues de notre civilisation.
Il en va autrement chez les immigrés issus de pays où l'homosexualité peut même valoir une condamnation à mort. Mais même en parler serait impensable pour les défenseurs de la cause LGBT, tant ces lobbys sont récupérés par la Gauche.

Aussi bien l’extension de la norme pénale aux délits liés à l’orientation sexuelle que l'extension du mariage aux homosexuels ne répondent pas à un besoin mais suivent un agenda de déconstruction marxiste occidental.

Ces mouvements de Gauche LGBT s'en prennent aux forces de l'ordre, simplement parce que l'agenda marxiste suisse est dicté depuis les États-Unis, où les Antifa et les BLM ont pris la police pour cible.

D'autre part, ces puissants lobbys internationaux, bien implantés en Suisse, doivent justifier leurs subventions et veulent grandir en influence en faisant sans cesse parler d'eux.

Moins il y a de problèmes, plus ils seront bruyants; moins il y a de terrain à conquérir, plus ils vont ratisser large. C'est pour cela que des drag queens vont dans les garderies pour faire des adeptes et que la promotion du changement de genre commence dès les écoles maternelles.
Les progressistes ont toujours été prêts à sacrifier l'humain pour porter à la victoire leurs chimères, mais c'est la première fois qu'ils se servent du corps et du psychisme des enfants pour faire avancer leur idéologie maléfique.

Actuellement, la propagande omniprésente pour ces minorités et l'hystérie LGBT orchestrée par la Gauche donnent un sentiment d'overdose à la majorité des gens.
Les gens en ont marre de tout ce prosélytisme, plus personne n'est offusqué car toutes les transfolies ont été surpassées par le réel.
Le matraquage LGBT à la TV, les journaux, les médias, le showbiz, le monde sportif, etc., a pris les proportions d'une nouvelle religion obligatoire.

La plupart des gens voteraient pour n'importe quelle loi pro-LGBT, le mariage avec un hamster s'il le fallait, de peur d'accusation de "phobe".

La réalité indicible, c'est qu'il n'y a pas de plainte pour homophobie parce que l'homophobie est totalement négligeable en Suisse.

Et la police romande, avec l'augmentation de la criminalité, devrait avoir d'autres ambitions que la chasse à la masculinité toxique.