1re partie - Un projet sino-américain prévoyait de diffuser des particules de coronavirus dans des populations de chauves-souris, selon des documents fuités
Sarah Knapton, 21 septembre 2021
Des scientifiques de Wuhan et des États-Unis prévoyaient de diffuser dans l'air des particules génétiquement modifiées de coronavirus parmi des populations de chauves-souris chinoises afin de les immuniser contre des maladies qui pourraient se propager à l'homme, comme il ressort de demandes de subventions datant de 2018.
Des documents qui ont récemment fait surface montrent qu'à peine 18 mois avant l'apparition des premiers cas de Covid-19 , des chercheurs avaient soumis des plans pour libérer, parmi les populations de chauves-souris des grottes du Yunnan, en Chine, des nanoparticules et des aérosols capables de pénétrer la peau et contenant «un nouveau type de protéines de pointe chimériques» de coronavirus (la protéine de pointe étant celle qui forme les «pointes» sur la surface du coronavirus).
Ils prévoyaient également de créer des virus chimériques, génétiquement modifiés pour infecter plus facilement les humains, et demandaient 14 millions de dollars à la Defense Advanced Research Projects Agency (Darpa) pour financer les travaux.
Les documents, authentifiés par un ancien membre de l'administration Trump, montrent qu'ils espéraient introduire des «sites de clivage spécifiques à l'homme» pour les coronavirus de chauve-souris, de façon à faciliter l'entrée du virus dans les cellules humaines.
Lorsque le Covid-19 a été séquencé génétiquement pour la première fois, les scientifiques étaient perplexes quant à la manière dont le virus avait pu évoluer pour produire à une pareille adaptation spécifique à l'homme au site de clivage de la protéine de pointe, qui est la raison pour laquelle il est si contagieux.
Les documents ont été publiés par Drastic, l'équipe mise en place par des scientifiques du monde entier pour enquêter sur le web sur les origines du Covid-19.
Dans un communiqué, Drastic a déclaré: "Étant donné que nous trouvons dans cette proposition une discussion sur l'introduction prévue de sites de clivage spécifiques à l'homme, il est justifié que la communauté scientifique dans son ensemble étudie la plausibilité d'une insertion artificielle."
La proposition prévoyait également de mélanger des souches de coronavirus naturel à haut risque avec des variétés moins dangereuses mais plus contagieuses.
La demande de fonds avait été soumise par le zoologiste britannique Peter Daszak d'EcoHealth Alliance, organisation basée aux États-Unis, qui a travaillé en étroite collaboration avec le Wuhan Institute of Virology (WIV) dans les recherches sur les coronavirus de chauve-souris.
Les membres de l'équipe comprenaient le Dr Shi Zhengli – la chercheuse du WIV surnommée «Batwoman», illustrée ci-dessous – ainsi que des chercheurs américains de l'Université de Caroline du Nord et du National Wildlife Health Centre de la Commission géologique des États-Unis.
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source: https://news.yahoo.com/wuhan-scientists-planned-release-skin-145326380.html
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2e partie - Le Dr Shi Zhengli et l'Institut de virologie de Wuhan, liés à l'origine du coronavirus, ont EXPÉRIMENTÉ SUR DES ANIMAUX VIVANTS… et nous en avons la preuve !
Comme nous l'avons signalé hier , la scientifique chinoise Dr Shi Zhengli faisait partie d'une équipe qui travaillait sur un projet de coronavirus conjointement avec des médecins américains en 2014 avant que le DHS n'y mette fin car il était trop risqué. Le Dr Shi Zhengli est alors rentrée en Chine, à Wuhan.
(Ndt: L'article source dit seulement que le Dr Shi Zhengli a "déménagé" en Chine, comme si elle était une Américaine. Mais elle est née en Chine et elle a fait ses études universitaires à Wuhan, à l'exception de son doctorat fait à Montpellier. Il semble qu'elle n'ait séjourné que peu de temps aux États-Unis, juste pour ce projet.)
Aujourd'hui, nous avons la preuve que l'Institut de virologie de Wuhan, où travaillait le Dr Shi, était occupé à expérimenter sur des animaux vivants !
Nous avons localisé une photo du Dr Shi à l'Institut de virologie de Wuhan travaillant dans le laboratoire :
Via Yaacov Apelbaum
De plus, nous avons identifié des travailleurs de laboratoire expérimentant avec des animaux vivants !
Comme nous l'avons signalé hier, le docteur Shi Zhengli a travaillé avec le docteur Ralph S. Baric, et avec d'autres, ils ont publié en 2015 dans la revue Nature Medicine un article sur des coronavirus de chauve-souris présentant un potentiel d'émergence humaine:
Ce rapport a été publié peu de temps après le financement de leur projet par le ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS). Le HHS a envoyé en 2014 une lettre à l'Université de Caroline du Nord à Chapel Hill annonçant qu'il allait financer le programme.
Le Dr Ralph S. Baric a été identifié dans la lettre:
Après l'arrêt du projet aux États-Unis, les Chinois sont allés de l’avant et ont mené des activités de recherche et développement à Wuhan. D'après les articles et le curriculum vitae de Shi Zhengli, il est clair qu'ils ont réussi à isoler le virus en laboratoire et ont expérimenté activement sur la transmission inter-espèces.
Il est important de noter aussi qu'en 2017 déjà, nous disposions de renseignements solides sur une fuite de virus dans un centre chinois de recherche et développement en virologie de haute sécurité qui a causé la libération du virus du SRAS et la mort de personnes.
Cette information contredit la théorie selon laquelle le virus du Covid-19 serait un variant qui venait de muter comme par magie chez une chauve-souris à l'état sauvage, puis aurait passé sur un humain lorsqu'il a mangé un délicieux bol de soupe de chauve-souris.
D'après tous les articles de recherche publiés qui se rapportent à ce projet remontant à 2014, il est clair que le virus du Covid-19 existait déjà en laboratoire. En revanche, il est difficile de dire si la libération était intentionnelle ou accidentelle.
En 2017, les Chinois ont connu encore une autre fuite de virus, qui a infecté huit personnes et en a tué une. Cela a commencé lorsque deux travailleurs d'un laboratoire chinois du Centre de contrôle des maladies ont isolé et expérimenté de manière indépendante in vitro et in vivo un virus du SRAS. Au cours de l'une de ces expérience, ils ont pris un variant jusqu'alors inconnu du virus du SRAS et l'ont transporté d'une installation à confinement élevé BSL-4 vers un laboratoire de recherche sur la diarrhée à faible sécurité où ils travaillaient tous les deux. Apparemment, le processus d'inactivation du virus n'a pas fonctionné correctement et les deux ont été infectés au laboratoire, puis ont infecté d'autres personnes hors du laboratoire.
Il y a deux jours, nous avons noté que l'Institut de virologie de Wuhan, dans la province du Hubei en Chine, avait recruté des personnes pour une étude écologique sur la migration des chauves-souris et la transmission du virus en novembre 2019.
Nous savons maintenant d'après le curriculum vitae et les documents du Dr Shi qu'elle travaillait encore sur le coronavirus à cette époque :
Via Yaacov Apelbaum .
Selon la National Review , le 24 décembre 2019, l'Institut de virologie de Wuhan a publié une deuxième offre d'emploi.
Comme par hasard! Il n’y a bientôt plus assez d’arbres pour pendre tout ces représentants de Pfizer que sont les gouvernements de nos pays. Pas grave on se contentera de charniers…
Et pour faire le lien avec le dr. fauci, l’efficacité de 95% vantée par les petits lobbyistes Pfizer que sont berset et ruiz, l’exposé du Dr Richard Fleming, cardiologue réputé qui explique pas-à-pas la genèse de ce virus:
Partie 1.
https://www.infovf.com/video/part-richard-fleming-event-2021-tout-que-vous-devez-savoir-sur-covid–10184.html
Partie 2
https://infovf.com/video/part-richard-fleming-event-2021-tout-que-vous-devez-savoir-sur-covid–10186.html
Voilà qui se rapproche de plus en plus d’une action de terrorisme islamique lié à la création de ce Coran0virus dit Covid-19 par nos “bonnes consiences” aveuglées d’idéologies, virus dont les composants analysés au début par des Indiens laissaient supposer les mêmes méthodes que pour les bombes artisanales à cloux avec l’incorporation du virus du Sida et éventuellement d’autres saloperies. Une découverte rapidement mise sous le tapis du silence. Et le lien islamique serait bien venu de la France qui a non seulement oeuvré pour vendre ce laboratoire de Wuhan aux Chinois, équipé vraisemblablement aussi avec des virus fournis par les Français, mais encore que LA CLE DE CETTE HISTOIRE C’EST LE FAIT QUE LA CHERCHEUSE CHINOISE EN CAUSE A FAIT SON DOCTORAT A MONTPELLIER.
Il aurait alors suffit qu’elle soit embrigadée par un musulman qui l’aurait conditionnée à commettre cet attentat tout en élaborant des disséminations partout dans le mode. Simple logique, ceux qui ont fabriqué ce virus de terroristes le connaissaient suffisament à fond pour avoir créé un vaccin et peut être un antidote pour eux-même. Or c’est une société allemande et un chercheur Turc qui est à l’origine de ce vaccin BIONTEC Et vous savez bien que les Turcs sont plutôt musulmans. Vraisemblablement la perspective de s’enrichir facilement avec un vaccin était trop tentante pour des types avides de fric étant à l’origine de cette bombe virale. Et si le biontech à été le premier et vendu à l’américain PFIZER, c’est aussi probablement pour écarter ces soupçons ce qui rend cette affaire encore plus suspecte. Il reste maintenant à trouver qui était le musulman que cette chercheuse fréquentait lors de ses études et la boucle sera bouclée.
tout ça pour mourir un jour certaines expériences sont elles vraiment nécessaire ???
chez moi, que ce soit sur PC, tablette ou smart, Chrome, FF, Edge, Opéra ou Ghostery, rien à faire, quasiment rien de visible pour la seconde partie… les boules