29. juillet 2021, Jean-Luc Addor, conseiller national, Savièse
Le mariage est aujourd’hui conçu comme l’union d’un homme et d’une femme. Derrière cette institution humaine, il y a une réalité naturelle : un homme et une femme sont seuls à même de procréer ensemble naturellement. Remettre en cause ce principe fondateur de la famille, cellule de base de notre société, c’est une véritable révolution ; c’est toucher aux fondements chrétiens de notre civilisation, mais aussi et surtout à l’ordre naturel.
Le mariage pour tous priverait les enfants de tout contact avec leur père, sur la seule décision de leur mère. Le droit d’avoir un enfant prime-t-il sur le droit d’avoir un père ? Personne ne peut interdire à son enfant de connaître son père.
Réaffirmer ce principe n’a rien de discriminatoire. En effet, en droit suisse, depuis l’introduction du partenariat enregistré, les couples de même sexe bénéficient d’un statut qui, de fait, est presque identique au mariage et qui leur permet de vivre leur différence dans un cadre reconnu, y compris (depuis 2018) dans un domaine auquel on avait toujours dit qu’on ne toucherait jamais : celui de l’adoption (en l’état, certes « uniquement » de l’enfant du partenaire enregistré).
Au-delà des slogans de campagne, la question n’est pas de savoir si, à l’avenir, des couples qui ne sont pas formés d’un homme et d’une femme auront le droit de vivre ensemble. Ce droit, cette liberté, ils l’ont déjà. La question porte donc uniquement sur le cadre juridique que nous devons apporter – ou non – aux diverses formes d’unions.
Alors pourquoi le changement proposé (ou plutôt cette révolution) ?
Le combat du lobby LGBT a une portée avant tout idéologique. C’est une guerre de vocabulaire qui a pour objectif l’appropriation, au-delà d’un statut juridique dont les couples concernés bénéficient déjà, du terme même de « mariage ». Il y a toutefois dans cette revendication une contradiction insoluble : depuis toujours, les couples homosexuels (et les personnes qu’on désigne avec de plus en plus de lettres suivies d’un « + ») revendiquent leur droit à la différence ; celles et ceux qui ont toujours combattu pour la reconnaissance de leur différence, voici qu’aujourd’hui, ils revendiquent leur identité…
L’autre contradiction, c’est également l’idée de traiter de manière identique des formes de vie dont chacun peut constater objectivement la différence.
Le Parlement a franchi la ligne rouge
Autre chose encore : l’accès des couples homosexuels à la procréation médicalement assistée (mais seulement des couples lesbiens / retour par la fenêtre de cette nature qu’on veut faire sortir par la porte ?). On a souvent entendu que c’était quand même une ligne rouge qu’on ne devait pas franchir. Eh bien, cette ligne rouge, le Parlement l’a franchie : deux femmes mariées l’une à l’autre pourraient être les parents exclusifs d’enfants conçus au moyen d’un don de sperme. Au prix d’un bouleversement complet des règles et des présomptions liées au mariage comme il est aujourd’hui, la filiation sera établie par le mariage de l’autre parent avec la mère. De plus, l’enfant conçu au moyen d’un don de sperme n’aura pas le droit de contester le lien de filiation avec la femme de sa mère. En clair, il n’aura plus de père, juste des parents interchangeables.
Ça aussi, c’est une révolution. Car l’homme peut bien changer les lois. Mais la nature, il ne la changera jamais. Jamais un Parlement ni même une votation populaire ne pourra enlever aux enfants de ces « mariages » l’idée que quelque part, il y a ou il y a eu leur père.
Nous dirons donc NON, le 26 septembre, au mariage pour tous.
Nous sommes dans un voyage planétaire en absurdie. L’avenir va nous contraindre à chercher pourquoi CERTAINS DECIDEURS du 21ème siècle sont producteurs de tous ces scénarios contre l’ordre naturel. Nous serons bien obligés de nous questionner sur l’émergence d’une telle psychopathie et d’un tel degré., chez certains d’entre eux.
Le projet qui semble les occuper de façon majeure est celui d’extirper déjà la mère de son rôle procréateur, et d’entraver les garçons dans leur devenir d’homme.
Il n’y a pas de meilleur programme pour mener l’humain à sa disparition. Car cette manipulation exercée dès la petite enfance laissera des traces indélébiles dans l’esprit de l’enfant.
Les psychanalystes feraient bien de se questionner sur le pourquoi de cette OBSESSION DESTRUCTRICE chez certains décideurs. Si cette problématique n’est pas étudiée, nous nous retrouverons dans ce type de scénario jusqu’à la nuit des temps. Mais hélas comme d’habitude ce scénario mettra des millions et des millions d’individus en souffrance. Allons nous accepter cela comme quelque chose d’inéluctable et pour l’éternité?
Une chose est certaine : nous ne pourrons plus accepter que l’état soit géré par des personnes psychopathes. Cela doit être “débusqué”. Il y a suffisamment de tests très affinés qui peuvent le permettre.
Quelle mauvaise foi. Il n’y a pas de mariage pour tous, il n’y a qu’une volonté d’exploiter un vide juridique, comme si “pour tous” était acceptable lorsqu’on pèse ce que cela signifie réellement. Ils pourraient tout autant soutenir une loi,”LA FORTUNE POUR TOUS” dans cette enfer démagogique, bien spécifique aux actions des crypto-communistes.
Le faux “combat” LGBTx à z comme zoophile, c’est une récupération politique de crypto-communistes ici francophones, https://is.gd/8pHeTA , pour meubler leurs rangs avec l’exploitation des ignobles perversions des tarés pourris d’argent et réunis en un véritable syndicat médiatique du crime, tout en s’étant infiltrés dans les arcanes du pouvoir pour s’alimenter financièrement, qui veulent nous imposer la fiction d’être comme tout le monde, au lieu de se faire soigner chez un psychiatre.
Imaginez les années de psychiatre et leurs coûts sociaux, qu’il faudra imposer après ces expérimentation odieuses, à leurs descendances artificielles marquées à vie, CES OGM, LES ENFANTS “BONZAÏ”, VÉRITABLES JOUETS DÉSHUMANISÉS par la chimie, les amputations et les chirurgies, POUR SATISFAIRE LES FANTASME D’ADULTES PERVERS.
Imaginez ce que c’est de vivre avec des obsédés comme Bergé, capitaliste-crypto-communiste, financier du journal éphémère Globe, alors véritable dépotoir de pédophiles mixés avec des “bonnes consciences”. Et plus grave encore de SOS Racisme, qui a mis la feu à la planète des inégalités artificielles, pour mieux exploiter les idiots utiles, totalement ignorants grâce aux censures de la presse déjà aux ordres. C’est certainement pas de tout repos et tout simplement pas vivable pour DES ENFANTS D’ÉVOLUER DANS DE TELS UNIVERS DE DROGUÉS EN CRISES PERPÉTUELLES. C’EST UN CRIME CONTRE L’HUMANITÉ ! https://is.gd/rvTb7s https://is.gd/kTSgXd
Le mariage est aujourd’hui conçu comme l’union d’un homme et d’une femme. Derrière cette institution archaïque, il y a une réalité biologique: un homme et une femme sont, certes, seuls à même de procréer ensemble naturellement. Remettre en cause ce principe fondateur de la famille, cellule de base de notre société, c’est une véritable évolution ; c’est mettre un coup de pied aux fondements conservateurs de notre civilisation, mais aussi et surtout à la doctrine chrétienne.
Le mariage pour tous priverait les enfants de tout contact avec leur don de sperme, sur la seule décision de leur mère, comme le font ces inconscientes de mères célibataires. Le droit d’avoir un enfant prime-t-il sur le droit d’avoir un père ? Personne ne peut interdire à son enfant de connaître son père, sauf, bien entendu, s‘il est déjà marié à une autre femme, s’il est décédé ou parti pour toujours après être allé chercher un paquet de clopes, s’il est allé aux putes sans se protéger, s’il est un violeur et emprisonné, marin ou hôtesse de l’air transexuelle ou s’il
a éjaculé dans une éprouvette moyennant rémunération, etc, etc, etc)
Réaffirmer ce principe a rien de discriminatoire. En effet, en droit suisse, depuis l’introduction du partenariat enregistré, les couples de même sexe bénéficient d’un statut qui, de fait, est presque identique au mariage et qui leur permet de vivre leur normalité dans un cadre reconnu, y compris (depuis 2018) dans un domaine auquel on avait toujours dit qu’on ne toucherait jamais : celui de l’adoption (en l’état, certes « uniquement » de l’enfant du partenaire enregistré).
Au-delà des slogans de campagne, la question n’est pas de savoir si, à l’avenir, des couples qui sont formés d’un homme et d’une femme n’auront plus le droit de vivre ensemble. Ce droit, cette liberté, ils l’ont déjà. La question porte donc uniquement sur le cadre juridique que nous devons apporter aux diverses formes d’unions.
Alors pourquoi le changement proposé (ou plutôt cette évolution) ?
Le combat du lobby LGBT a une portée avant tout progressiste. C’est une guerre de vocabulaire qui a pour objectif l’appropriation, au-delà d’un statut juridique dont les couples concernés bénéficient presque déjà, des mêmes droits du dit « mariage ». Il y a toutefois dans cette revendication une conviction insoluble : depuis toujours, les couples homosexuels (et les personnes qu’on désigne avec de plus en plus de lettres suivies d’un « + ») revendiquent leur droit à l’indifférence ; celles et ceux qui ont toujours combattu pour la reconnaissance de leur normalité, aujourd’hui, ils revendiquent leurs bons droits!
L’autre revendication, c’est également l’idée de traiter de manière identique des formes d’union dont chacun peut constater objectivement la proximité.
Le Parlement n’a pas franchi la ligne rouge!
Autre chose encore : l’accès des couples homosexuels à la procréation médicalement assistée (mais seulement des couples lesbiens / retour par la fenêtre de cette avancée scientifique dont les
couples hétérosexuels bénéficient déjà). On a souvent entendu des opposants que c’était quand même une ligne rouge qu’on ne devait pas franchir. Eh bien, cette ligne rouge, le Parlement l’a dépassée: deux femmes mariées l’une à l’autre pourraient être les parents exclusifs d’enfants conçus au moyen d’un don de sperme. Au prix d’une normalisation complète des règles et des présomptions liées au mariage comme il est aujourd’hui, la filiation sera établie par le mariage de l’autre parent avec la mère. De plus, l’enfant conçu au moyen d’un don de sperme n’aura pas le droit de contester le lien de filiation avec la femme de sa mère. En clair, il n’aura plus de père, juste des parents légaux, aimants et responsables.
Ça aussi, c’est une évolution. Car l’homme peut bien changer les lois. Mais l’Amour, ne changera jamais. Jamais un Parlement ni même une votation populaire ne pourra enlever aux enfants de ces « mariages » l’idée que quelque part, il y a ou il y a eu de l’Amour.
Nous dirons donc OUI, le 26 septembre, au mariage pour tous.
Voir aussi https://lesobservateurs.ch/2021/08/03/des-lecons-sur-la-chirurgie-de-changement-de-sexe-pour-des-ecoliers-americains/#comment-335209
Complètement retrograde.
A quand le retour des femmes en cuisine et à l’éducation pendant que papa travaille et drague la secrétaire ?n’importe quoi
Voir le rapport avec ce qui se passe en Hongrie : https://lesobservateurs.ch/2021/08/01/la-hongrie-doit-enfin-faire-un-choix/
Bravo !