Albert Coroz: Nous avons vu l'année passée les vidéos de migrants fraîchement débarqués à Ceuta, qui avaient jeté de l'acide sur les agents de la garde civile, il y avait eu 16 agents brûlés. Nous les avons vus crier après les débarquements en masse: "On est des militaires!"
La conquête de l'Europe est en cours.
Ces armées d'envahisseurs – rebaptisés demandeurs d'asile par les marxistes de tout poil – ont tout de combattants, et de combattants qui obéissent aux lois de l'islam: leur âge, leur comportement, leur physique, leur religion nous le rappellent.
Comment se fait-il que depuis la grande invasion de 2015, l'Europe continue à criminaliser non pas les envahisseurs, mais ceux qui dénoncent cette catastrophe?
Que faudrait-il de plus pour que la Suisse et d'autres pays envahis se réveillent?
Est-ce que l'Europe, la Suisse ont la volonté de survivre à cette invasion ou est-ce que le désir de plaire aux Droits de l'Homme prime sur le destin de peuples millénaires et de leur civilisation?
Notre identité, notre pays sont en péril, que faire pour les sauver?
Ce sont des questions que nos politicards et nos journaleux devraient se poser chaque jour, au lieu de parler d'un accueil jamais assez amélioré des envahisseurs.
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Ceuta, Grèce, Mayotte : l’immigration extra-européenne comme arme géopolitique
Par Paul Tormenen, juriste et spécialiste des questions migratoires
Lundi 17 mai, près de 6 000 clandestins venus du Maroc ont gagné l’enclave espagnole de Ceuta, située au nord de l’Afrique. Cet afflux massif, qui présente toutes les caractéristiques d’une invasion, est une nouvelle illustration de l’utilisation par certains gouvernements de l’immigration clandestine comme moyen de pression géopolitique. Dans le cas présent, les autorités marocaines ont, en laissant des milliers de migrants passer la frontière, souhaité protester contre l’accueil par l’Espagne d’un leader du Front Polisario pour s’y voir prodiguer des soins médicaux.
L’immigration clandestine, outil de déstabilisation
Les exemples de tentatives de déstabilisation par l’arme migratoire ne manquent pas dans les dernières années. De la simple menace à la mise à exécution, ces opérations laissent les pays européens très souvent désemparés.
L’État islamique menace d’envoyer 500 000 migrants à partir de la Libye
En 2015, l’État islamique menaçait d’envoyer en Europe 500 000 migrants à partir des côtes africaines en cas d’intervention des pays européens en Libye. Selon des écoutes téléphoniques, l’instrumentalisation des migrants envisagée par Daech comme « arme psychologique » vis-à-vis des populations et de gouvernements européens ne faisait aucun doute. L’État islamique entendait ainsi empêcher l’envoi de militaires de pays européens, notamment italiens, dans ce pays pour y endiguer sa politique d’annexion de territoires.
Si la menace de l’État islamique n’a pas été mise à exécution, la prédiction de Mouammar Kadhafi, que, sans son contrôle des départs des côtes libyennes, la mer Méditerranée se transforme en « mer de chaos », s’est en partie réalisée : certaines îles (Lampedusa, etc.) et villes européennes apparaissent totalement dépassées par l’ampleur et les effets de l’immigration clandestine arrivée par la voie maritime.
À Mayotte, l’immigration clandestine bien utile à l’Union des Comores
Dans l’archipel des Comores, l’immigration clandestine est un élément clef dans les tensions entre Mayotte et les îles voisines de l’Union des Comores. Les différences de niveau de vie entre les territoires poussent de nombreux habitants des Comores à affluer sur l’île française de Mayotte. L’accord conclu en 2019 entre l’Union des Comores et la France pour organiser le retour des clandestins arrivés à Mayotte ne parvient que faiblement à juguler cette immigration incontrôlée.
Un député mahorais n’hésite pas à affirmer que les Comores utilisent « l’immigration clandestine comme une arme de destruction massive de tout développement » de Mayotte. On peut en effet se demander si, en laissant le chaos s’installer dans l’île française sous l’effet d’une immigration clandestine massive, les autorités comoriennes ne parient pas sur un « lâchage » par les autorités françaises de ce territoire d’outre-mer.
Erdogan lance les migrants à l’assaut des frontières grecques
Dès le mois de mars 2017, à peine un an après avoir corédigé un communiqué commun engageant son pays à surveiller la frontière avec la Grèce, le président turc T. Erdogan a commencé à menacer les pays européens de laisser passer massivement vers l’Europe les migrants présents sur son territoire. Le début de l’année 2020 a été marqué par la mise à exécution de cette menace.
Alors que, depuis quelques années, les flux de clandestins à destination de la Grèce ne faisaient qu’augmenter, les vannes ont été franchement ouvertes à partir de la fin du mois de février 2020 et l’annonce « officielle » par le gouvernement turc de l’ouverture de la frontière gréco-turque.
Le 7 mars 2020, c’est par milliers que des « migrants », en fait des clandestins, des hommes jeunes, exceptionnellement syriens, se sont massés à la frontière et, pour certains d’entre eux, ont affronté les forces de l’ordre grecques. La mobilisation de plusieurs pays européens en renfort des forces de sécurité grecques à la frontière gréco-turque a été nécessaire pour éviter le chaos migratoire souhaité par le néo-sultan Erdogan. Il s’agissait dans le cas présent d’engager avec l’Union européenne une partie de bras de fer concernant le financement du maintien de millions de migrants en Turquie.
Les autorités marocaines laissent passer des milliers de clandestins
Dernier épisode en date qui concerne au premier chef les Européens, le 17 mai 2021, plusieurs milliers de Marocains ont, parfois en agressant des douaniers espagnols, forcé la frontière pour accéder au territoire de Ceuta. Ces franchissements n’ont été possibles qu’avec le consentement tacite des autorités marocaines. Bien que non revendiquées officiellement, il s’agissait sans nul doute de représailles organisées par le gouvernement marocain, après que le gouvernement espagnol a autorisé un leader du Front Polisario, militant pour l’autonomie du Sahara occidental, à se faire soigner en Espagne. Gageons que cet avertissement sera à l’avenir médité par les autorités espagnoles avant de prendre une mesure favorable au mouvement indépendantiste.
Que retenir de ces différents événements ?
Plusieurs points communs peuvent être soulignés dans l’instrumentalisation de l’immigration clandestine à des fins géopolitiques.
- Un motif de contentieux (diplomatique, économique, etc.) existe entre les pays de départ des migrants et les pays de destination.
- L’Union européenne a confié aux pays d’origine des migrants (Turquie, Libye, Maroc, Tunisie) un rôle de surveillance et d’empêchement des départs clandestins par la voie maritime ou terrestre.
- Les différences de niveau de vie entre les pays d’origine des migrants et ceux de destination créent un appel d’air considérable que seule une action résolue des gardes-frontières et garde-côtes des pays de destination peut empêcher.
- Les autorités des pays de départ des migrants ont adressé à ces derniers un signal que les frontières étaient momentanément ouvertes. L’ouverture des vannes provoque un afflux massif de clandestins et le franchissement (ou la tentative) immédiat de la frontière.
- Les pays d’origine des migrants attendent un bénéfice de la déstabilisation des pays de destination des migrants.
- L’Union européenne, toujours si prompte à autoriser l’immigration clandestine en mer Méditerranée, ferme pendant ce type de séquence les yeux sur les refoulements et les renvois collectifs de clandestins organisés par les États assaillis par les migrants. Cela s’est vérifié à la frontière gréco-turque où des refoulements ont été organisés en mars 2020 pour faire face aux véritables assauts téléguidés par le gouvernement turc. Très récemment, les autorités espagnoles ont immédiatement organisé des éloignements collectifs de nombreux clandestins arrivés à Ceuta. Ces pratiques de refoulements et de renvois collectifs sont pourtant prohibées par les traités internationaux ratifiés par les pays membres de l’UE et par le droit communautaire.
En confiant à des pays tiers une partie de la mission primordiale des États, le respect des frontières, l’Union européenne a amené les pays européens à baisser la garde. Ces derniers se trouvent désormais totalement démunis quand ils font face à un afflux massif et téléguidé de clandestins, comme cela a été le cas dernièrement à Ceuta. Cette sous-traitance comporte en outre le risque que les États bénéficiaires de l’aide de l’Union européenne pour empêcher les départs de leurs pays fassent monter les enchères.
Dans ce type de contexte, comme plus généralement en matière de lutte contre l’immigration clandestine, c’est non seulement le droit de l’immigration, excessivement favorable aux clandestins, qu’il faut changer. C’est aussi la reprise en main pleine et entière du contrôle du respect des frontières qui s’impose aux pays européens, plutôt que de s’en remettre à des pays tiers qui ont des intérêts radicalement divergents et qui peuvent en outre utiliser cette mission déléguée comme moyen de pression. Nos dirigeants sont-ils prêts à cette révolution copernicienne, qui a pourtant prévalu pendant des siècles ?
Paul Tormenen
20/05/2021
https://www.polemia.com/ceuta-grece-mayotte-limmigration-extra-europeenne-comme-arme-geopolitique/
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Euronews et Reuters pleurent sur le sort des migrants
22 mai 2021
A Ceuta, les migrants qui ont réussi à pénétrer dans l'enclave espagnole sont livrés à eux-mêmes
Résumé et commentaire: Craignant d'être expulsés vers le Maroc ou fuyant des centres d'accueil surpeuplés, des centaines de migrants dorment dans les rues de la ville espagnole de Ceuta.
Mohamed, venant de la Guinée, orphelin de ses deux parents depuis l'âge de 14 ans, tente depuis 5 ans d'entrer en Europe, qui serait censée prendre soin de lui et lui offrir un meilleur avenir.
Les mêmes grévistes du «climat», de «l'avenir», qui dénoncent une croissance capitaliste illimitée qui devrait cesser (si seulement nous avions une croissance économique...), réclament l'accueil illimité des migrants.
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Déportations massives après l'afflux de migrants en Espagne
19 mai 2021- Reuters
L'Espagne a procédé à des expulsions massives de migrants de son enclave nord-africaine de Ceuta après que des milliers d'entre eux aient traversé depuis le Maroc.
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Une vidéo montre des soldats espagnols jetant des migrants à la mer
Des milliers de migrants ont franchi la frontière espagnole après que le Maroc ait délibérément autorisé l'afflux à titre de représailles.
https://twitter.com/josepgoded/status/1394679651654586372?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1394679651654586372%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_c10&ref_url=https%3A%2F%2Fdg7c3i3gtxkrnso5ihsx6mccsm-ac4c6men2g7xr2a-summit-news.translate.goog%2F2021%2F05%2F19%2Fvideo-shows-spanish-soldiers-throwing-migrants-into-the-sea%2F
Des images vidéo montrent des soldats espagnols battant des migrants et les jetant à la mer après que des milliers de personnes aient atteint le sol européen, le Maroc ayant délibérément desserré les contrôles aux frontières pour punir l'Espagne.
«Images de soldats espagnols battant des migrants/réfugiés et les jetant à la mer à la frontière marocaine», a tweeté le journaliste Josep Goded.
Selon l'Associated Press, de nombreux migrants étaient des Africains subsahariens. Ils faisaient partie d'un flot de personnes qui sont arrivées à Ceuta, la ville espagnole de 85 000 habitants située en Afrique du Nord qui est séparée du Maroc par une clôture de 10 mètres de haut.
La moitié des migrants qui ont envahi la frontière ont été expulsés, mais beaucoup sont maintenant entrés en Europe.
Une Marocaine de 31 ans a décrit comment la police marocaine a délibérément autorisé les migrants à affluer vers la frontière.
«Ils laissent les gens passer et restent là sans rien dire», a-t-elle affirmé à l'Associated Press . «Les gens passent, passent et passent.»
La crise s'est aggravée après l'arrivée d'environ 8000 migrants par voie maritime à la suite d'une décision du Maroc de punir l'Espagne parce qu'elle offrait un traitement médical au leader militant Brahim Ghali, chef du Front Polisario, ce à quoi le Maroc s'oppose.
Comme dans le cas du président turc Erdogan, toute la question souligne une fois de plus comment les migrants ont été exploités comme «armes» par des pays du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord pour mettre au pas les nations européennes et leur faire accepter leurs exigences.
Les passeurs criminels profitent également de cette escroquerie, qui est facilitée par les mouvements de protestation de gauche à travers l'Occident, qui se lancent dans des campagnes pour «l'accueil des réfugiés».
L'afflux de migrants, qui s'est accéléré en 2015, a exacerbé les problèmes de criminalité et de sécurité dans les pays européens, avec de nombreux attentats terroristes perpétrés par des djihadistes qui se sont infiltrés dans la vague des «réfugiés».
Les crimes violents et les agressions sexuelles ont également augmenté en raison de l'échec total de l'intégration dans les populations d'accueil des migrants venus de pays dangereux.
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Des milliers de migrants prennent d'assaut le port espagnol de Ceuta après avoir contourné la frontière en bateau
Les Espagnols effrayés se sont enfermés chez eux et les vaccinations contre le Covid ont été suspendues alors que l'armée rassemble les migrants qui fuient désespérément le Maroc.
À Bruxelles, des responsables inquiets ont demandé au Maroc d'arrêter le flux de migrants vers l'enclave espagnole de Ceuta après que 6 000 d'entre eux y aient pénétré.
Des milliers de Marocains ont profité du relâchement des contrôles à la frontière de leur pays pour gagner le sol européen à la nage ou à la rame dans des bateaux gonflables.
Environ 5 000 d'entre eux ont atteint Ceuta après avoir contourné à la nage une barrière frontalière - dont un a été retrouvé mort. Beaucoup avaient utilisé des bouées de sauvetage ou des canots pneumatiques, rapportent les autorités.
C'est le plus grand nombre de migrants jamais arrivés en une seule journée. Cela s'est produit après que le Maroc ait ouvert sa frontière à la suite d'un conflit diplomatique.
Mardi matin, quelque 6 000 personnes au total avaient franchi la frontière de Ceuta depuis le début des premières arrivées lundi, a indiqué le gouvernement espagnol, dont 1 500 seraient des adolescents.
Cette ville de 85 000 habitants se trouve en Afrique du Nord, au bord de la Méditerranée, et est séparée du Maroc par une double barrière de 10 mètres de haut.
Le journal La Vanguardia a rapporté que les habitants de Ceuta s'étaient enfermés à l'intérieur tandis que l'armée rassemblait les migrants fuyant le Maroc.
Le président de Ceuta, Juan Vivas, a annoncé la suspension de la campagne de vaccination contre le Covid dans le territoire, invoquant "un état d'exception".
Les gens se sentent "effrayés" et les enfants ne vont plus à l'école, a-t-il ajouté.
"Ce qui est en jeu, ce n'est pas seulement la tranquillité de Ceuta, c'est la capacité de l'État à préserver l'intégrité territoriale de l'Espagne", a-t-il également déclaré.
Une vidéo montre des personnes escaladant la paroi rocheuse des brise-lames et traversant en courant la plage de Tarajal, à l'extrémité sud-est de la ville.
Un jeune homme s'est noyé en tentant la traversée et plusieurs autres, dont des enfants en bas âge, ont été secourus souffrant d'hypothermie.
"Ils sont arrivés à Ceuta en nageant et comprenaient environ 1 000 mineurs", a déclaré un porte-parole du gouvernement local.
Source (avec photos et carte) : Ceuta residents locked indoors & Covid vaccination suspended as army rounds up migrants desperately fleeing Morocco
Traduction automatique ici.
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Espagne : près de 6 000 migrants atteignent Ceuta depuis le Maroc en une journée
18 mai 2021
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Espagne-Maroc: une marée de 5.000 migrants atteint Ceuta en une journée, un record
18 mai 2021
https://www.youtube.com/watch?v=cZyifhyVYp8
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Un bateau de migrants arrive en Espagne le jour de l'Aïd el-Fitr
13 mai 2021
https://www.youtube.com/watch?v=7ErH1m6w-Qk
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L'armée est appelée à la rescousse
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Vidéo de propagande, FRANCE 24 du23 mai 2021
À Ceuta, des habitants viennent en aide aux migrants menacés d'expulsion vers le Maroc
Il y a tout de même un infime brin de lueur à l’horizon ; puisque de tout premiers refoulements et renvois collectifs de voyageurs-envahisseurs ont enfin été entrepris. Il reste à espérer que petit à petit, se transmettra et se diffusera la réalité statistique (taboue et vertigineuse), qui met en lumière ce taux de fécondité inconcevable pour les occidentaux – selon lequel 1,3 milliards de jeunes habitants du continent africain à lui seul, donnent actuellement naissance à plus de cinq enfants par femme… Cette réalité-là dépasse tellement toute perspective de raisonnement rationnel, qu’il ne sera bientôt plus envisageable de répondre à une totale absence du contrôle des naissances – autrement que par une fermeture sticte et définitive des frontières européennes. Qui sait, rêvons à une providentielle et humanitaire très grande ouverture des frontières de la part des pays de l’Est ainsi que de l’Asie…
Apparemment, tout le monde politique actuel désire cette immigration.
Si ce n’était pas le cas, la défense de la frontière ne serait pas aussi facilement franchie par des famille entière …
Lorsqu’on défend son bien ou sa vie, il est possible d’utiliser des moyens légaux à disposition. Des barrières de 10 mètres de haut ne peuvent pas être franchies !
En plus de l’électrification des barrières, il y a certainement des chiens et les gardes sont armés ! Devront-ils utiliser leurs armes ? Telle est la question … ??!!
A moins d’accueillir un milliard d’Africains … ??!! ou alors seulement les Maghébins muzz … ??!!