Cette burqa qui leur manquera tant
Le Temps du jour nous propose les réflexions de Kaya Pawlowska. La Dame est juriste, membre de la grève féministe et de l'association pop démocratie. Avec un tel bagage, on sent tout de suite qu'on ne va pas être déçu et effectivement, on ne l'est pas. Kaya Pawlowska, comme nombre de ses consœurs, ne s'est toujours par remise de l'acceptation de l'initiative visant à interdire de se dissimuler le visage. Elle estime qu'en fait, le texte a essentiellement été refusé par 48,8% des votants. C'est vrai mais ça ne suffit pas, c'est le principe démocratique dont elle devrait avoir entendu parler au vu de son appartenance au pop démocratie. Encore que la Corée du Nord se voit également comme une démocratie. L'acception du concept est donc large.
Notre juriste démocrate déplore le fait que le résultat n'ait guère de chance d'être invalidé par la Cour Européenne des Droits de l'Homme dans la mesure où cet organe s'est déjà prononcé sur la question, estimant une telle interdiction est légitime au nom du vivre-ensemble. Selon Kaya Pawlowska, "Le «vivre-ensemble» est une notion dangereuse qui sous-entend qu’il y aurait une vision du monde commune formulée clairement par une société homogène dont les modes de socialisation resteraient invariables, ce que la pandémie actuelle remet déjà en question." Non Madame ! Le vivre-ensemble, c'est l'adhésion à certaines normes majoritaires permettant une cohabitation apaisée. Et oui, il est possible que certaines minorités en fassent les frais. Mais comme la juriste l'admet elle-même, dans le cas qui nous occupe, la minorité est très minoritaire puisqu'elle ne représente qu'une trentaine de femmes en Suisse. Mais pour elle, "dans ce contexte, une initiative comme celle votée le 7 mars joue le jeu de la tyrannie de la majorité en démocratie directe." Peut-être serait-ce plus équitable de jouer la décision aux dés ?
Ce qu'il faut retenir de cette diatribe, c'est que lorsque la gauche perd une votation, elle n'a de cesse de trouver un moyen de l'invalider afin de contrarier la volonté majoritaire. Et dans le cas présent, son irritation est d'autant plus grande qu'elle ne pourra pas compter sur la CDEH pour faire le sale boulot. La Dame conclut ainsi "en l’absence d’une Cour constitutionnelle et face à la démission de la CEDH, la Suisse reste désarmée pour protéger sa minorité musulmane contre les attaques du premier parti du pays."
Le respect de la volonté populaire vu par la gauche de la gauche.
Yvan Perrin, 17.03.2021
“en l’absence d’une Cour constitutionnelle et face à la démission de la CEDH, la Suisse reste désarmée pour protéger sa minorité musulmane contre les attaques du premier parti du pays.”
La constitution, c’est le peuple qui la fait. Il ne s’agit pas “d’attaques du premier parti du pays”mais d’une décision populaire, démocratique, votée à la double majorité contre ce qui est une attaque et un crachat à notre culture, à notre histoire et à notre civilisation.
Si cette gauchiste en souffre, elle peut toujours demander l’asile à l’un des nombreux pays musulmans obligeant les femmes à porter cette insulte contre l’humanité. Sous peine de prison, de violences et de châtiments donnés en public par une police religieuse.
77% des cantons souverains ont accepté l’initiative, et seulement 23% des cantons souverains sont pour l’islam. Regardez la réalité: le bleu domine, c’est un oui massif à l’initiative.
Si Genève, Berne et Zürich sont en voie d’islamisation, le reste de la Suisse est encore chrétien:
https://www.rts.ch/info/suisse/12025919-les-cartes-des-resultats-des-votations-federales-commune-par-commune.html
Comme vous avez raison. Mais les médias faussent la démocratie en distillant jour après jour leurs diatribes gaucho – islamo – pro migratoire. Les partis de droite devraient sans inquiéter. Je ne comprends pas pourquoi la droite a accepté l’enveloppe de 150 millions d’aide à la presse.
C’est très révélateur ! Merci M. Perrin.
En effet la gôche politique n’aime PAS la Démocratie suisse si elle perd en votation. La gôche suisse est mauvaise perdante !
Cette dame juriste Mme Kaya Pawlowska (polonaise), membre de la grève féministe et de l’association pop démocratie n’a pas bien compris les règle du jeu démocratique ou alors elle fait semblant …
La majorité du peuple ET des cantons ont accepté cette initiative de l’UDC, dont le seul nom doit lui écorcher les lèvres !!
Pour plus d’info :
”Nous ne laisserons pas l’UDC imposer sa vision d’une Suisse en conflit avec ses citoyen·nes … !!
https://sp-frauen.ch/fr/news/blog-fr/non-a-un-discours-de-la-peur-et-de-la-haine/?fbclid=IwAR2wPhtq1raptmq0JxS2SAy3gvFoOu_1C3RutUS7KXpUVKQU9RWWvZXM0zI
Tenir un tel langage de la part d’une femme activiste féministe … cela correspond à de l’anti-UDC pur et dur !