Le Nomes regrette le blocage des négociations entre la Suisse et l’UE autour de l’accord institutionnel: «Les adversaires de cet accord clé, note-t-il, veulent conduire la Suisse dans une impasse en matière de politiques étrangère et économique. L’UE est un projet de paix.
Pour la Suisse, la poursuite de l’intégration européenne ne concerne pas uniquement le présent – il s’agit avant tout d’une question d’avenir.»
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Rappels :
Foraus, Operation Libero, (NOMES), la PSE appellent le Conseil fédéral à signer l’accord avec l’UE
RTS: Le Nomes repense à une adhésion de la Suisse à l’UE: Interview de François Cherix
Relations Suisse - UE: le Nomes appelle à l'intégration européenne de la Suisse
La France «espère» que la Suisse pourra valider l’accord-cadre
Il faut rappeler que Berset et Sommaruga sont membres du Nomes.
“Il s’agit avant tout d’une question d’avenir” sic. Pour une institution qui n’en a pas.
Selon NOMES – Nouveau Mouvement Européen Suisse :
”Les adversaires de cet accord clé, note-t-il, veulent conduire la Suisse dans une impasse en matière de politiques étrangère et économique”.
Avoir choisi l’UE et les négociations bilatérales est la plus grande erreur du Conseil Fédéral !
Mme Sommaruga et M. Berset, tous deux du PS et du NOMES … comme par hasard !
L’UE veux notre soumission et notre richesse !
Nous voulons rester indépendant et neutre comme cela est mentionné dans notre Constitution.
L’AELE est et reste l’association pour le libre échange !
https://www.seco.admin.ch/seco/fr/home/Aussenwirtschaftspolitik_Wirtschaftliche_Zusammenarbeit/internationale_organisationen/efta.html
Ne mettons pas le petit doigt dans l’engrenage politique de l’UE !
Il est temps de reconnaître que ces négociations avec l’UE ne nous mènent nul part !
La Grande-Bretagne (Brexit) est l’exemple typique de négociations durement acquises, nos négociateurs suisses, jusqu’à présent, se sont faits rouler dans la farine …
NON à l’accord-cadre !
L’UE est un projet de paix. Soit, mais ceux qui lui accordent, à tort, le crédit de ces 75 dernières années de paix en Europe oublient volontairement que les causes de la première guerre étaient multiples, toujours débattues par les historiens, et que le nationalisme n’était qu’un facteur parmi une dizaine d’autres, loin derrière les considérations économiques. La seconde a eu pour origine le règlement insatisfaisant de la première, motivant les visées expansionnistes des pays de l’axe. Aujourd’hui, par ses décisions aberrantes sur l’immigration massive de populations inassimilables, la Commission de l’UE devient le ferment de la prochaine, dont les prémices s’observent dans les territoires islamisés disséminés comme autant de métastases dans la plupart des pays d’Europe de l’Ouest. Que les européistes convaincus se fassent jouir avec le Nobel de la Paix accordé en 2012 à cette ploutocratie n’y changera rien. Ils pourront toujours se moucher avec quand ils auront tout perdu.
Ils faut vraiment qu’ils réfléchissent un peu et qu’ils arrêtent de mettre la tête dans le sable.
Avec ce genre d’individus on n’est pas sorti de l’auberge ou plutôt on y entre et pour ressortir ce sera bien difficile.
L’accord cadre n’est pas bon pour la Suisse et l’entrée dans l’Union Européenne encore moins.