Journaliste militante de la justice sociale : vider les prisons, trop déshumanisantes, mais y enfermer les mal-pensants

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Résumons: Pour la journaliste woke américaine Kali Holloway, nous devrions ouvrir toutes les prisons et ne plus incarcérer personne, même pas les criminels les plus immondes, car les prisons sont "déshumanisantes".

Néanmoins, la journaliste est sans pitié pour les supporteurs de Trump.
Normal: elle est la directrice d'une ONG justicière, comme il en pullule tant en Suisse également.
Kali Holloway encourage gaiement la déshumanisation de tous ceux qui se sont opposés aux fraudes électorales qui ont amené la gauche au pouvoir, cette gauche qui va la subventionner.

Voilà le sens moral des "justice warriors" du monde occidental.


Voilà la mise en œuvre de la destruction du sens commun de la justice, du renversement du bon sens.

Quant à nos gauchistes, aucune contradiction, aucune hypocrisie, aucun mensonge, aucune folie ne les ébranle: ils s’empressent d’importer toute la créativité de cette gauche américaine cinglée et de l’implanter sur notre sol!

Le crime impardonnable: l’assaut du Capitole

Grève des femmes, 14 juin 2019, Lausanne

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Kali Holloway est une journaliste importante aux États-Unis. Ses articles sont publiés dans The Nation, The Daily Beast, The Guardian, Salon, Time, Huffington Post, The National Memo et de nombreux autres médias.

Kali Holloway est la directrice du projet Make it Right, une initiative nationale consacrée à la destruction des monuments confédérés et à la vérité sur l’histoire.

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Je suis pour l’abolition des prisons. Et pourtant, j’ai envie que les émeutiers du Capitole soient emprisonnés.

Par Kali Holloway:

Personne ne mérite le traitement déshumanisant qui est endémique dans notre système carcéral. Mais je veux que tous les insurgés du Capitole, ces suprémacistes blancs sans loi, soient arrêtés et jugés avec toute la sévérité de la loi.

[…]

Oui, je continue de croire que nous devons œuvrer à une société sans prisons. Les incarcérations de masse ont détruit d'innombrables familles et communautés, créant les conditions mêmes qui produisent la criminalité.

Je suis persuadée qu'il existe des alternatives humaines à l'emprisonnement, qui, au lieu de perpétuer la violence et les traumatismes, cherchent à guérir les torts causés et à s'attaquer aux problèmes structurels qui conduisent les gens à commettre des crimes.

Personne, quel que soit son crime, n'est irrécupérable. De même, personne ne mérite le traitement brutal et déshumanisant qui est endémique dans notre système carcéral.

Néanmoins, je souhaite que tous les insurgés blancs sans loi du Capitole soient arrêtés et jugés avec toute la sévérité de la loi.

Intellectuellement et moralement, je sais que cela n'aboutira à rien de bon que le pays continue à compter sur son complexe pénitentiaire industriel à but lucratif, raciste et corrompu.

Mais viscéralement, mes tripes sont séduites par le mythe étatiste dont j'ai été imprégnée, le mythe de la prison comme voie d'accès à la justice.

Non pas parce la vengeance serait une fin satisfaisante, mais parce que je veux que la violence des suprémacistes blancs soit traitée, peut-être pour la première fois dans l'histoire de ce pays, comme un crime grave qui exige que l’on rende des comptes.

Et je veux que la violence blanche soit traitée comme le danger qu'elle représente. Les Noirs mettent en garde contre la menace croissante du terrorisme blanc depuis l'élection de Barack Obama et les craintes concomitantes que ce dernier soit assassiné par des racistes blancs . Les services de renseignement américains savent depuis au moins 2015 que les terroristes blancs constituent la plus grande menace pour la sécurité nationale, et cela n'a fait que s'accentuer lorsqu'un blanc ouvertement suprémaciste est devenu président. Mais il n'y a toujours pas eu de véritable réponse. Lorsque l'État considère que les manifestations pacifiques des Noirs constituent une menace plus grave que le terrorisme blanc armé, il est clair que le but est la suprématie blanche.

[…]

Article complet avec liens : I’m for Abolition. And Yet I Want the Capitol Rioters in Prison.

Extraits traduits, commentaire : Cenator

Traduction automatique de l’article complet ici

https://independentmediainstitute.org/make-it-right/

2 commentaires

  1. Posté par poulbot le

    Encore une féministe suprémaciste noir qui met tout ce qui ce passe actuellement aux USA sur le dos des blancs alors que les images montres le plus souvent des agressions et autres destructions faites soit par des noirs soit par l’extrême gauche trotskistes de ce pays.
    Ce pays est mal barrer avec ces personnes qui veulent imposer leurs lois , les 6 coups risque de parler de nouveau et la potence s’ériger de nouveau sur les places..

  2. Posté par antoine le

    ”Voilà la mise en œuvre de la destruction du sens commun de la justice, du renversement du bon sens.”
    A-t-elle été un jour volée, agressée, violée, etc … par ce genre de racaille qu’elle veut libérer ?
    Ou est-ce qu’un membre de sa famille ou de ses amis l’a été ?
    Sa prise de position ressemble à ce qui s’est passé en URSS ! Le délit d’opinion était sanctionné par des années de goulag !
    La Démocratie, la vraie, pas celle représentée par les démon-rats est en train d’être malmenée et risque de vaciller sous le règne de M. Bidon !

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