Si vous avez un jour passé les semaines de l’Avent dans des pubs irlandais, écossais, gallois, cornouaillais, anglais, vous avez fatalement entendu chanter – et peut-être l’avez-vous reprise en chœur – la chanson Fairytale of New York (« Conte de fées new-yorkais »). Un morceau du groupe irlandais les Pogues, qui est devenu une sorte de classique de Noël (certes nettement plus musclé à la stout que Petit Papa Noël ou O Tannenbaum…).
Eh bien, figurez-vous que les tartuffes de la BBC, ces chaisières du politiquement correct, ces fourriers du racialisme, ces carpettes islamo-gauchistes en toutes circonstances, viennent de décider de censurer Fairytale of New York. En amputant la chanson de deux mots : slut et faggot. Le premier, décrit comme « insultant », sera remplacé par un… bip. Le second, dénoncé comme « homophobe », sera remplacé par le mot haggard (au sens proche de notre « hagard » français, « un peu fou », « sinistré »).
En anglais, slut signifie « garce », « salope », « souillon ». Faggot est un mot d’argot qui signifie « pédé ». Ces deux termes sont à leur place dans le thème général de la chanson. Un homme et une femme dans un drunk tank (un pub), à la veille de Noël. Leur vie n’a pas été un fairytale (un conte de fées) : des rêves brisés, des espoirs déçus, des chagrins. Le tout sur fond de cloches tintinnabulantes et le chœur du New York Police Department (NYPD) qui compte de nombreux Irlandais dans ses rangs et chante un autre classique irlandais, Galway Bay.
En l’occurrence, les mots slut et faggot, loin d’être insultants et homophobes, sont empreints d’une tendresse affective non dite parce que difficilement exprimable. Parce que ni l’homme ni la femme de ce « conte de fées » ne sont capables de se dire tout simplement « je t’aime », eux qui ont reçu de la vie plus de coups que de caresses. Au nom de quoi et de quel droit la BBC (qui n’a rien à envier aux furieux de France Inter en France) se permet-elle de piétiner les plates-bandes d’une chanson ? Pour le motif qu’elle n’y comprend rien ou simplement pour complaire à l’hystérie ambiante (alors qu’elle n’envisagerait pas de toucher un rap appelant à la haine, au meurtre ou au viol…) ?
Breizh-Info, qui, comme moi, n’aime pas que l’on touche à l’héritage celtique, écrit : « Jusqu’où va-t-on descendre en Occident dans le reniement de ce que nous sommes et dans la terreur médiatique distillée par la petite caste politico-médiatique au pouvoir ? » Et de conclure (car la culture victimaire n’est pas de règle chez nous) : « Comme on dit chez eux : Fuck You BBC ! »
Fuck You – aussi – BLM !
La BBC se couche. Les supporters du Millwall Football Club se tiennent debout. La semaine dernière, ils ont montré ce qu’ils pensaient de la propagande Black Lives Matter imposée par la Fédération anglaise de football.
Comme récemment les joueurs du PSG, larbins et marionnettes des satrapes du Qatar (ce qui ne les gêne pas, au contraire…), les joueurs du Millwall FC, qui font où on leur dit de faire, avaient mis un genou à terre avant leur match contre le Derby County. Signe de soumission absolue. Pratique insupportable qui finira par les mener à baisser leurs shorts… Ce qui est réconfortant, c’est que les supporters du club, pas ethno-masochistes, eux, ont abondamment conspué, hué et sifflé les guignols en culotte courte, les contraignant à se remettre debout plus vite que prévu par le rituel racialiste.
Nervous breakdown, faut-il le dire, de la Fédération anglaise de football qui a « douloureusement » prit acte de « l’attitude des spectateurs qui ont manifesté activement leur opposition ». Rebels Up ! Ne plus rien laisser passer de cette humiliation exigée par les racialistes et programmée par leurs eunuques.
Les instances dirigeantes du club, faut-il le dire aussi, en ont rajouté une couche, se disant « bouleversées par les événements qui ont gâché le match contre le Derby County ». Ce qui a eu le don d’exaspérer un peu plus les supporters qui préféreraient que les joueurs, au lieu de se prosterner, se concentrent sur leur jeu (le club n’est que 14e au championnat). Sinon, leurs encouragements et leurs deniers, ils les réserveront à autre chose qu’à engraisser des propagandistes invertébrés… •
Photo : Millwall FC : les joueurs se couchent. Pas les supporters…
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Extrait de: Source et auteur
Aux Etats-Unis le joueur de basket-ball LeBron James a imposé la propagande marxiste black lives matter à la NBA, résultat : – 60% d’audience TV lors des finales … cela devrait faire réfléchir les fédérations sportives.