Extrait du film Transhood et commentaires de Michael Knowles, Matt Walsh et Tucker Carlson.

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1. Extrait du film américain Transhood (1 mn)

https://www.youtube.com/watch?v=xWRRfv28CZY

(N.B. Notre pays aussi est menacé par ces dérives : Suisse: Tous les mineurs devraient pouvoir changer de sexe sans le consentement de leur représentant légal.)

Traduction :

Pasteure : Bonjour. Aujourd’hui, nous choisissons de reconnaître, honorer, aimer et célébrer toute personneici qui voudrait affirmer publiquement son identité de lesbienne, gay, bisexuel, altersexuel ou questionnant, intersexuel, pansexuel, asexuel ou toute autre catégorie que j’ai oubliée.

(Un petit garçon s’avance, sa mère pose la main sur sa tête, la pasteure prend une fleur.)

Pasteure : Voici Phoenix.
(L’enfant hésite.)

[Michal Knowles (dans sa vidéo ci-dessous) : Il a l’air d’avoir 4 ans, il a l’air d’un petit garçon.]

Mère : Tu es timide ? Tu veux dire à tout le monde si tu es un garçon ou une fille ?

Garçon à sa maman : (inaudible…) une fille.

Pasteure : OK, tu peux leur dire ça.

Garçon (hésite, ne veut pas le micro, le donne à sa mère).

Mère (avec assurance, semble réciter une formule consacrée) : OK, Phoenix veut que vous sachiez qu’elle est une fille et qu’elle préfère le pronom « elle ».

Pasteure : Nous te souhaitons bien-être, sécurité et intégrité (May you be well, safe and whole).

L’assistance en chœur : Nous t’honorons exactement telle que tu es (sic).

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2. Commentaire de Michael Knowles (9 mn) :
Choquant : transgenre à 4 ans dans le nouveau film de HBO

La chaîne de télévision payante américaine HBO vient de sortir un film appelé Transhood (Être trans). En voici la description :

« Filmé sur une durée de 5 ans à Kansas City, Transhood suit au jour le jour la vie de 4 jeunes de 15, 12, 7 et 4 (!) ans, pendant qu’ils naviguent et grandissent en tant que transgenres au cœur de l’Amérique. »

4 ans ! Transgenre ! J’ai hésité à faire cette vidéo, tant elle est perturbante, et parce que les dégénérés qui ont filmé ça et les adultes qui ont participé devraient être en prison.

Mais c’est sorti sur HBO et cet extrait est déjà devenu viral.

De même qu’il est utile de montrer les images d’un crime pour pincer les criminels, je pense qu’il est bon de mettre ça en avant pour que l’on fasse des lois contre ça.

(ici l’extrait ci-dessus)

Michael Knowles : C’est tellement faux, à tous les niveaux ! Chaque adulte dans cette salle devrait…

Tout d’abord, il faudrait faire une loi contre ça, si les lois existantes contre les mauvais traitements à l’égard des enfants (child abuse laws) ne suffisent pas.

Il faudrait poursuivre en justice chaque personne adulte dans cette salle, les mettre en prison et jeter la clé.

Ce petit River n’a manifestement pas envie de dire qu’il est une petite fille, il veut s’en aller, et là sa sociopathe de mère prend le microphone et dit que son petit garçon est une petite fille. Puis ces pervers, dans ce qui est clairement une cérémonie religieuse, gauchiste, disent au petit garçon qu’il est une petite fille.

Cette religion s’appelle en fait le dualisme gnostique et c’est une hérésie dont je croyais qu’elle avait été éliminée en Occident depuis mille ans, mais apparemment ce n’est pas le cas, c’est l’idée que notre corps physique n’a rien à voir avec notre vraie identité, qui est purement métaphysique. C’est aberrant, mais c’est une conception religieuse.

Ces malades imposent cette conception religieuse à ces enfants, les convainquent, les embrouillent pour leur faire croire que les petits garçons sont des petites filles et inversement. Cela leur cause de graves dommages psychologiques.

Et il y a des gens dans ce pays, [même] parmi les « conservateurs », qui voient ça et disent que c’est un bienfait de la liberté d’expression. Je ne suis pas en train de vous faire marcher. Des gens qui se disent libertariens – mais je ne les appellerais pas ainsi, ce serait faire injure aux vrais libertariens. Je ne suis pas libertarien moi-même (…).

C’est un vrai problème de la droite : la croyance erronée que nous n’avons pas le droit d’avoir des opinions sur les questions morales, encore moins de les imposer aux autres, car on ne peut pas « légiférer sur la morale », autre slogan stupide. Non seulement on peut, mais toutes les lois portent déjà sur la morale, depuis celles qui impliquent la peine de mort jusqu’aux amendes de parcage. Ces lois ont des conséquences morales, qu’elles imposent au pays, aux gens.

En un sens, la situation actuelle est la faute de la droite. La gauche est l’agresseur (les victimes, ce sont les enfants), mais la droite est fautive en ce sens que, face à ce gauchisme extrémiste appelé « politiquement correct », face à cette nouvelle norme, morale, religieuse, cette norme de parole, de comportement, cette norme qui dit : on veut avoir des drag queens à l’école, et se travestir et twerker devant des enfants de 4 ans, et les convaincre que les petits garçons sont des petites filles – quand nous avons été confrontés à ça, au lieu de le repousser en disant : c’est faux, c’est moralement faux, c’est physiquement, factuellement faux et nous n’allons pas le tolérer, au lieu de cela nous avons dit : eh bien, vous avez votre norme et nous avons nos normes, et il nous est impossible de discerner entre les deux, de discerner entre le bien et le mal, entre ce qui conduit à l’épanouissement de la personne et ce qui conduit à sa dégradation. Donc nous avons dit : faites ce que vous voulez – au nom de la liberté d’expression (freedom of speech).

Beaucoup défendent cette forme de maltraitance d’enfants au nom de la liberté d’expression. Mais la maltraitance, ce n’est pas la liberté d’expression.

En un sens, c’est de notre faute, parce que depuis longtemps, peut-être deux décennies, les conservateurs, la droite, ont adopté cette interprétation très superficielle et inexacte de ce que signifie la liberté d’expression dans la tradition américaine, laissant entendre qu’on a le droit de dire n’importe quoi.

Cela n’a jamais été le cas. Il y a des tas de formes d’expression qui ont toujours été illégales en Amérique : la sédition, les menaces, les appels à la haine ou à la violence (fighting words), l’escroquerie, et bien sûr l’obscénité (même si on n’applique plus beaucoup l’interdiction dans ce cas).

Mais ça, c’est pire qu’obscène, c’est de la maltraitance. Et il n’y a rien d’hypocrite à ce que les conservateurs le dénoncent.

Nous laissons faire, lâchement, en disant « Je ne peux pas critiquer ce que vous faites à ces enfants, car si je vous critique parce que vous faites changer de genre vos enfants, vous pourrez me critiquer parce que j’emmène les miens à l’église. »

Sauf qu’une de ces choses est bonne et l’autre mauvaise. Nous pouvons faire la différence, nous avons des facultés rationnelles, il existe une vérité objective (même si ce n’est pas à la mode de le dire, ni de parler de facultés rationnelles), nous pouvons discerner (pas toujours à la perfection, mais assez bien) ce qui est bien et ce qui et mal, et nous pouvons faire appliquer ces convictions dans la sphère politique.  La politique, c’est fait pour ça.

Il est incroyable que nous permettions ça aujourd’hui. Il faut boycotter HBO, retirer ce film de la circulation, et (oublions les producteurs pour l’instant) poursuivre ces parents en justice.

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3. Commentaire de Matt Walsh (13 mn) :
Choquant : un nouveau documentaire sur les enfants transgenres révèle accidentellement une vérité inquiétante

(avec deux autres extraits du film Tranahood; sous-titres disponibles)

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4. Commentaire de Tucker Carlson (2 mn 40)
à propos du documentaire dégénéré de HBO sur les enfants transgenres

https://www.youtube.com/watch?v=nAGf-YrV2sM

(sous-titres disponibles)

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5. La vidéo de Carlson résumée par UN SITE PRO-TRANS :
Pour Tucker Carlson, les enfants trans sont «grotesques» et sont «une épidémie nationale»

https://www.lgbtqnation.com/2020/12/tucker-carlson-says-trans-children-grotesque-nationwide-epidemic/

Il a dit qu’une enfant transgenre de quatre ans avait été forcée par ses parents à s’identifier comme une fille et à prendre des médicaments. Tucker a menti. Une fois de plus.

Tucker Carlson, de Fox News, a dit qu’il y avait une «épidémie nationale» d’enfants contraints par leurs parents à une transition, ce qu’il a appelé «maltraitance d’enfants».

Carlson a diffusé un extrait du documentaire Transhood de HBO – qu’il a qualifié de «très inquiétant» – parlant d’une fillette de quatre ans nommée Phoenix. Dans le clip, Phoenix et sa mère disent à son église qu’elle est une fille.
Article en relation (en anglais) : Tucker Carlson et son invitée affirment que l’égalité des transgenres est un problème de «riches»

«Maintenant, si vous êtes un parent – si vous avez réellement élevé des enfants – vous savez que ce que vous voyez lé, c’est de la ventriloquie», a dit Carlson, sans expliquer pourquoi la mère de Phoenix mettrait ces mots dans la bouche de sa fille.

«Des enfants de quatre ans ne prennent pas de ce genre de décisions, ils ne peuvent pas», a-t-il ajouté, sous-entendant qu’être transsexuel est un choix.

«Dans tout le pays, de nombreux jeunes enfants reçoivent des bloqueurs de puberté et endommagent leur corps de manière irréversible», a-t-il affirmé.

Il n’a présenté aucune preuve que Phoenix utilise des bloqueurs de puberté des années avant l’âge de la puberté. De plus, les bloqueurs de puberté sont réversibles – la personne arrête simplement d’en prendre et subit ensuite la puberté en fonction du sexe qui lui a été attribué (sic) à la naissance.

«C’est grotesque. Si vous dites cela tout haut, vous êtes puni : Target va interdire votre livre, vous aurez du mal à trouver un emploi.»

«Il ne s’agit pas simplement d’un parent qui abuse d’un enfant à la télévision. C’est une épidémie nationale – nous n’allons pas éviter ce mot d’épidémie – et tout le monde est trop gêné pour le dire.»

Il s’est ensuite plaint que l’on ne puisse même pas demander quelle est «la procédure» à suivre pour être reconnu comme son identité de genre. «On n’a même pas le droit de savoir de quoi ils parlent», a-t-il prétendu, comme si Google n’existait pas.

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Traductions libres Cenator