MàJ 10.12.2020. Médias. RTS, 7.12.2020, Forum, : « Le débat : quelle aide publique ? ». Ils osent! (avec transcription intégrale du débat)

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Ndlr. Déjà le titre : comme si l’aide publique allait de soi! Non seulement on cherche à faire accepter l’idée d’une aide massive de l’Etat mais en plus on n’accepte aucune condition. L’Etat doit payer et les journalistes doivent pouvoir faire, dire, affirmer et imposer ce qu’ils veulent. Toujours au nom de la liberté, de la qualité et, comble, de la diversité, alors que le paysage médiatique suisse romand notamment figure parmi les moins pluralistes. Scandaleux, ahurissant, au point que ceux qui aimeraient vraiment s’opposer et dévoiler une réalité que les citoyens ne voient même plus sont systématiquement écartés. De plus en plus insupportable.
Une solution provisoire possible : fuir, par exemple, vers certaines chaînes d’information continue françaises comme CNEWS, etc., où les « mal-pensants » ont toute leur place et peuvent critiquer radicalement les bien-pensants en toute liberté, avec de la vraie diversité, du vrai pluralisme et avec en prime de la qualité!

Débat entre Denis Masmejean, secrétaire général de Reporters sans frontières, Tibère Adler, directeur général du Temps, Filippo Lombardi, ancien conseiller aux Etats PDC tessinois, Christine Gabella, déléguée de la direction de Tamedia pour la Suisse romande.

PS. On peut aussi rappeler ici le fait que même dans le Service dit public certains journalistes proposaient carrément et explicitement l'exclusion de leurs médias de certains intellectuels mal-pensants. Rappelons juste l' exemple du journaliste Olivier Schorderet qui a tenu les propos ci-dessous et est aujourd'hui promu au titre de présentateur officiel du Journal du matin de la Radio suisse romande. Comme quoi...!

Extraits et article complet, ici :

..."Rappel d’un exemple dont la performance est due à un autre journaliste pour le moins de gauche, Olivier Schorderet ( RSR 6 juillet 2009) qui tenait les propos qui suivent au sujet de certains penseurs médiatiques considérés comme anti-politiquement corrects( j’en faisais encore partie) les propos suivants (extraits) :

« Uli Windisch, Jean Romain, Xavier Comtesse: des Romands cultivés, issus de régions dites périphériques, adoptés par la Genève bien-pensante. Des cogitateurs ?... s’ils cogitent, n’agitent finalement pas grand chose. Ce qu’ils font, c’est occuper le terrain… L’espace démesuré que leur offrent des médias en mal de renouvellement renforce l’arrogance de ces invités permanents à la table de l’actualité…Encore faut-il pouvoir, comme le relevait Pierre Bourdieu -pardonnez-moi Uli Windisch- prendre position sur les problèmes du moment avec une conscience critique. Des compétences techniques. Une conviction éthique. Bref: en faisant son métier…, etc., etc., ».

Ce n’est là qu’un exemple de cette bien-pensance journalistique de gauche ( rappelons que son modèle intellectuel qu’il cite, P. Bourdieu, était lui d’extrême gauche). Après cela, et après tant d’autres exemples qu’il n’est pas possible de citer ici, nous, auditeurs quotidiens, obligés de les écouter pour être tout de même au courant de l’actualité nationale, devrions-nous nous gêner de critiquer cette gent formatée dans le prêt-à-porter de gauche du journalisme...."

Voilà bien  une illustration "de la pluralité, de la diversité et de la qualité des médias", ici donc des médias  du Service dit public, et qui méritent évidemment un large soutien financier de l'Etat, soutien qui devrait maintenant s'étendre aux autres médias, sauf... on verra quels médias sont exclus.

Et il ne s'agit évidemment que d'un exemple parmi tant d'autres.

Uli Windisch, 8 .12.2020

Complément ajouté le 10.12.2020 : la traduction intégrale du débat par l'équipe Cenator :

 

Le débat - Médias, quelle aide publique ?

Débat entre Denis Masmejean, secrétaire général de Reporters sans frontières, Tibère Adler, directeur général du Temps, Filippo Lombardi, ancien conseiller aux Etats PDC tessinois, Christine Gabella, déléguée de la direction de Tamedia pour la Suisse romande.

vidéo : https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/le-debat-medias-quelle-aide-publique-?id=11787220

 

audio : Le débat - Médias, quelle aide publique ? - Radio - Play RTS

 

Débat au parlement fédéral. Qui va bénéficier de l’aide de l’Etat ?

Les journaux imprimés ou les médias en ligne ou les deux ?

Bilan : La recette publicitaire en baisse, érosion des abonnés, des lecteurs, crise structurelle à cause des lecteurs qui préfèrent la toile, crise économique due au covid. Les médias à bout de souffle appellent à l’aide publique à l’agenda à la cession actuelle des Chambres fédérales.

Nombre d’abonnés, tirages, chiffre d’affaire. Aide sous quelle forme ? Aide directe ou indirecte, ou les 2 ?

Avec quelle garantie d’indépendance éditoriale ?

****

Chistine Gabella déléguée de Tamedia pour la suisse romande, le plus important éditeur suisse,

  1. Adler, directeur général du Temps et Heidi news, qui vient d’être racheté par Aventinus.

Philippo Lombardi PDC Tessin, auteur de l’initiative  parlementaire qui demande que l’aide aux médias soit inscrite dans la constitution,

 

Denis Masmejean, secrétaire général de médecins sans frontières combat cette initiative.

 

- Quelles médias la Confédération et les cantons devraient secourir ?

 

- Christine Gabella, déléguée de la direction de Tamedia

On devrait poser d’abord la question, pourquoi l’Etat se pose plus la question pour les médias privés.
1ère question se baser sur la mission du service public.  Le SSR n’a pas le monopole du service public, les médias privés y contribuent tout autant. On sait que les gens qui vont voter s’informent prioritairement par la presse.

Donc, la dimension de service public de la presse n’est plus à démontrer.

À partir du moment où l’État a la volonté de soutenir l’information, tous les citoyens suisses et toutes les personnes qui habitent en suisse disposent d’une information de qualité et qui soit fiable.

 

Quel support ?
Celui qui atteint les gens.
La logique derrière l’initiative au parlement : soutien aux journaux via la distribution, pour les abonnés et soutenir le digital, les lecteurs et auditeurs qui ont le support digital. Et ça me semble fondamental de rappeler que ce n’est pas une subvention qui vient encourager des structures, ou une vision passéiste, ou soutenir des projets un peu flous, c’est vraiment pour dire, si vous atteignez les lecteurs et lectrices de Suisse avec les offres et leurs contenus, alors nous, pouvoirs publics, Confédération et cantons, nous allons vous soutenir dans cette démarche, parce que c’est important que les citoyens soient informés.

 

Mehmet Gultas :  les médias qui n’ont pas besoin de cette aide ?

  1. Adler : ce sont surtout les journaux imprimés qui subissent un effondrement des recettes publicitaires, érosion des abonnés. C’est ceux-là qu’il faudrait soutenir en priorité ?

 

Tibère Adler, directeur général du Temps : Si on limite l’aide uniquement aux imprimés ce serait le maintien des structures déclinantes. Il pense, comme Mme Gabelle, étendre l’aide à tous les médias. Ce qui compte, c’est la diversité des opinions, qui s’exprime par les différents canaux, peu importe lequel.

 

Mehmet Gultas: Pourquoi arroser les médias en ligne puisque les annonceurs et les lecteurs migrent vers la toile. C’est le marché à conquérir.
Adler : C’est encore loin d’être acquis. Et le cofondateur de Heidinews se justifie, Heidi est une start-up en développement,  dit que c’est loin d’être acquis, ils ont besoin d’aide pour continuer à se développer. Subventionner massivement les grands éditeurs qui font des imprimés serait surprenant et que les petits acteurs n’ont qu’à se débrouiller tout seul.

 

Filippo Lombardi aider l’écrit ou l’online ?

Il y a 20 ans PL a bataillé durant 6 ans pour la loi sur la SSR le service public, la SSR pour obtenir le spliting de la redevance SSR qui permet à tous les Suisses d’accéder à des tv et radios locales, régionales. Déjà à l’époque, le contre-argument était : on ne veut pas de contrôle étatique. Il faut soutenir ce qui est essentiel à notre démocratie. Les contenus, ce que produisent les journalistes de qualité avec une éthique professionnelle et les éditeurs les assemblent et diffusent. Mais quels supports, peu importe. C’est le contenu de qualité qui aide les lecteurs à se former une opinion.

 

MSF : Défend, sans ambigüité, à fond, le principe de l’aide publique, le soutien de l’état aux médias quel que soit le support, il n’y a aucun doute là-dessus.  Ce qui compte c’est le contenu journalistique, que le journalisme joue dans le débat public, dans le débat démocratique. 7 :14

MG : Donc, tous ceux qui prétendent être des médias y auraient droit ? Nous contribuons au débat public donc donnez-moi de l’argent ?

MSF : Oui, vous avez quand même un problème de délimitation qui est assez compliqué à arbitrer. Aujourd’hui, il y a beaucoup médias, sont-ils journalistiques ?

Si nous avons défendu dès le départ le soutien aux médias, ce que nous avons toujours dit, cette aide ne devrait pas être un prétexte,  pour les pouvoirs publics, d’influencer, de se mêler, de peser sur la liberté éditoriale.

Au début on croyait que cela allait de soi, une sorte de clause de style, aujourd’hui, on s’aperçoit que c’est un tout petit peu plus problématique qu’on pouvait l’imaginer au départ.

 

MG : Le consensus qui se dégage autour de la table, il faut tout soutenir, sous quesl critères ? Tous peuvent dire : je contribue,  je suis de qualité.

 

Christine Gabella : C’est tout le débat du moment. La réponse appartient aux régulateurs. Quel système veut-on mettre en place, dans quelle société ? 9 :27 Là-dessus, on sera tous d’accord également.

L’indépendance éditoriale est fondamentale. C’est le cœur de la mission des médias mais là-dessus on sera tous très vite d’accord.  Il faut faire le nécessaire pour que les journalistes puissent faire leurs métiers dans les bonnes conditions. Et, c’est fondamental, le fait de trouver sa cible, de parvenir à transmettre de l’information à des gens qui en ont besoin, que ça intéresse et selon le crédo des médias payants, des gens qui sont prêt à payer pour cette information. Le gâteau de la publicité a été mangé par les GAFAM et le financement ne peut être le même que par le passé.

 

MG :  en 2019, le bénéfice de Tamdeia atteint près de 100 millions de francs, est-ce que vous avez besoin vraiment de l’aide publique ?

 

Christine Gabella : Chez Tamedia la réponse est oui mais. Nous pensons que c’est le rôle de l’Etat de soutenir les médias privés. Ce n’est pas parce que vous êtes un média d’une certaine taille et que vous employez trop de journalistes, que vous devriez financer avec vos propres deniers, votre mission sans l’aide des pouvoirs publics. […] Vous avez dit vous-même, nous sommes un groupe de gens, de presse qui rencontrent énormément de gens tous les jours dans toutes les régions de la Suisse, dans toutes les plateformes. Trouver les lecteurs et en plus les faire payer sur le digital, c’est un effort constant et ça nécessite des investissements colossaux.

Donc nous disons oui, il n’y a pas de raison car nous contribuons d’une manière significative  à la mission que vous soutenez à l’État que nous échappons à la subvention, mais nous croyons aussi fondamentalement à la diversification des sources de revenus.
Il faut en plus l’argent de l’État des entreprises responsables. Ceci demande une analyse extrêmement rigoureuse de la structure du coût et cela est moins porteur d’optimisme pour l’avenir.

MG parle du plan de restructuration de 73 millions sur les trois prochaines années. Il est responsable de dire que, si l’État nous aide, nous devons trouver les moyens pour nous inscrire dans la durée, dans une entreprise qui sera toujours là dans les prochaines années.

 

MG : Le mécénat comme source de revenu. On l’a vu, le Temps racheté par des mécènes, la fondation Aventinus, qui est une actionnaire. Est-ce que vous êtes encore concerné par l’aide publique pour le Temps ?

 

Adler : Oui, absolument, parce que le fait que le Temps soit racheté par une fondation d’utilité publique prouve que les médias font partie du domaine culturel au sens large. Or, dans la culture, tous les grands événements, toutes les grandes activités, ou même les petites, sont très souvent financés par trois sources de revenus, le privé, la billetterie, le sponsoring les mécènes et PARFOIS UN PEU D’ARGENT PUBLIC.

Donc, le concept Heidi news, demain pour le Temps, s’inscrit dans une mission, un contexte culturel plus large, avec les fondations reconnues. Il y aura les revenus privés et philanthropiques, les donations ou des actionnaires comme Aventinus, et s’il y a des aides publiques, ce seraient les compléments.

Ils doivent être limités pour enrichir la diversité !!!!!!! 12 :58

 

MG à Filippo Lombardi : Faut-il aider aussi les éditeurs qui gagnent de l’agent, qui font des bénéfices ?

 

PL : Si les entreprises renoncent à distribuer les dividendes oui, ils peuvent toucher leurs quote-part de la redevance. Mais c’est une petite minorité. Mais les éditeurs n’arrivent plus à distribuer des dividendes et affrontent des pertes assez souvent.

 

MG : Comment garantir l’indépendance éditoriale des médias qui reçoivent l’argent des autorités ? On dit qui paye décide. Potentiellement est-ce dangereux, l’aide directe, donc les médias en ligne, le danger de l’aide des autorités?

 

Christine Gabella : Cette question est fondamentale. C’est dans l’intérêt des pouvoirs publics de soutenir les médias qui ont une indépendance, qui peuvent en faire état et qui sont crédibles dans ce registre 14 :20.

Après, évidemment, on peut poser la question, s’il n’y a qu’une seule source de revenu, est-ce que le revenu principal est source d’avoir mal à son indépendance ?

 

Nous avons une réponse très claire : En diversifiant les sources de revenus, les supports et les contenus qu’on peut rester crédible, qu’on peut être le plus indépendant possible. C’est l’éditeur qui donne la garantie que les journalistes peuvent faire leur travail en toute indépendance. C’est le rôle de l’éditeur de garantir le financement de l’activité. Chez Tamédia les journalistes ont la garantie de travailler en tout indépendance et sont par là crédibles.

 

MG  à Adler : Comment garantir l’indépendance des médias lorsqu’on reçoit une aide directe ?

 

 Presse imprimé, aide directe par les tarifs postaux à l’ancienne est une bonne idée, n’influence en rien. Pour online, il suffit de transposer et subventionner les frais technologiques pour les médias online.

Quand on parle de subventions, de débats parlementaires, on parle de base légale, alors que les collectivités pourraient simplement acheter des abonnements, pour elles-mêmes ou pour les offrir, par exemple pour les jeunes, le canton de Vaud a développé une idée intéressante, rabais ou gratuité pour les jeunes.  Une idée qui passerait simplement par le budget achat, pas besoin de débat parlementaire, il suffit d’affecter la somme. Acheter des abonnements à des médias payants, c’est un modèle d’affaire et fait découvrir les médias à un nouveau public. Pas assez spectaculaire mais mesure simple et efficace à mettre en œuvre.

 

Filippo Lombardi a une initiative parlementaire déposée aux Chambres fédérales, qui consisterait à inscrire dans la Constitution  le principe de l’aide aux médias POUR GARANTIR L’INDÉPENDANCE éditoriale 16 :27.

 

Quatre conseillers nationaux différents ont fait cette proposition en même temps, parce que c’était le plus simple à faire.

L’initiative de Filippo Lombardi la seule qui a survécu, elle arrive au Conseil des états.

En résumé, Lombardi explique : La SSR a la compétence de la Confédération. C’est à elle de prendre donc un certain nombre de mesures.

C’est l’évolution logique multi-médias, tous se retrouvent finalement sur la toile, pourquoi maintenir ces divisions alors ?

 

Denis Masmejean : Ce n’est pas du tout une bonne idée.
Dans la proposition de Lombardi il n’est pas question d’aide aux médias, c’est une mauvaise solution. Ce qui est proposé c’est de reprendre le mandat actuel de la RTS et l’appliquer aux médias privés. La SSR touche la plus grosse part de la redevance, doit respecter un certain équilibre, comme dans la couverture des Votations. Et à côté de cela, les médias privés évoluent dans un environnement de liberté totale, traditionnellement la presse.  

 

MG : Sauf que déontologiquement, ils font la même chose.

Denis Masmejean : Oui, la déontologie n’est pas l’État, ce n’est pas la constitution, ce sont les journalistes eux-mêmes qui se prennent en charge. La solution de Lombardi est de mettre tout le monde sous l’étiquette service public audio-visuel, mais on applique aux médias privés un instrument qui était conçu dans les années 70, spécifiquement pour la SSR. C’est complètement dépassé, anachronique, ça ne sert à rien. Et vous supprimez, videz la liberté de la presse, (MG d’accord, d’accord) de sa substance. Ce n’est absolument pas dans ce sens qu’on doit aller.

 

MG : On verra l’issue de l’initiative qui est au Conseil des États.

 

 

 

 

 

4 commentaires

  1. Posté par aldo le

    Ce matin 4 janvier 2021, LA RADIO TELEVISION BOLCHEVO-SOCIALISTE CONTINUE AVEC SES PARTI-PRIS HABITUELS. Dans mon entourage, je connais des idiotes utiles qui ne font que bêler tout ce qui sort de ces médias à la botte des crypto-communistes tellement elles sont saturées de manipulations. Donc ce matin le gros baratin sur Trump après avoir censuré durant des mois toutes les dénonciations et les preuves apportées sous serment à divers tribunaux parfois refusées mais aussi acceptées sans qu’aucun auditeur ne soit au courant puisque toute la presse censure Trump suite aux injonctions et chantages des crypto-communistes. CE QUE LA PRESSE OMET DE DIRE C’EST QUE SI TRUMP TÉLÉPHONE POUR MODIFIER LES VOIX DES ÉLECTIONS C’EST QU’IL SAIT QUE SES ADVERSAIRES SAVENT COMMENT LE FAIRE, PUISQU’ILS L’ON FAIT POUR BIDEN. VOILA POURQUOI IL N’A PAS BESOIN DE LEUR EXPLIQUER COMMENT LE FAIRE ! Et de continuer contre Trump qui viole la démocratie en exigeant des voix, pour gagner l’élection de la Géorgie. Déjà un Etat de Georgie… fondé par des Géorgiens…, quand on connaît toutes les crapules mafieuses des mêmes origines soviétiques qui viennent commettre des délits sanglants et violents en Suisse, on peut présumer qu’ils ne sont pas que des enfants de cœurs. Ils ne sont pas que parasites manipulateurs comme certains balkaniques https://www.illustre.ch/magazine/expulses-suisse-vers-georgie-pitie mais aussi de grands criminels. https://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/le-parrain-georgien-qui-defie-la-justice-francaise_2063301.html

    Or Trump ne fait que donner un chiffre qui lui permettra de gagner, parce qu’il sait qu’il avait gagné l’élection avant que ses bulletins aient été où jetés ou convertis au nom de Binden par une manipulation sur les machines à voter de Dominion de l’intérieur ou de l’extérieur comme c’était possible au vu des dénonciations. Pour Trump c’est tout simple, ceux qui ont réussi à tricher doivent aussi savoir comment le faire pour rétablir la vérité du vote puisqu’ils ont aussi antidaté des votes qui ne devaient pas être comptés et qui étaient en masse exclusivement pour Biden, ce qui est statistiquement impossible à réaliser.
    https://www.leparisien.fr/international/quand-trump-demande-a-un-responsable-electoral-de-trouver-11780-bulletins-a-son-nom-03-01-2021-8417159.php

    On doit aussi savoir que les Adler ont des origines françaises… et qu’ils ont comploté pour leurs intérêts monopolistiques en participant à la révision de la Constitutionnelle genevoise. https://constitution.blog.tdg.ch/archive/2008/08/14/adler-fils-et-pere-menent-le-bal.html Mais on pourrait aussi s’interroger sur leur implication dans la débâcle d’Edipress, ce qui est compréhensible au regard de leur volonté de toujours vouloir imposer une presse monopolistique dans les faits, sous plusieurs étiquettes de journaux pour mieux leurrer les lecteurs, auditeurs et téléspectateurs.

  2. Posté par aldo le

    A quoi servent ces débats où dominent des pompiers pyromanes qui ont mis le feu aux médias en voulant imposer une idéologie totalitaire dominante de nature bolchévique juste pour nous cacher la réalité et nous imposer l’Europe UErss, exactement comme le parti radical d’apparence soi-disant libérale qui fornique avec les gauches dans le business juteux de l’immigration de masse avec des hypocrisies du style de l’opération Papyrus ? Opération Valmy … toute ces opérations sortent du même puits peuplé de conspirateurs étrangers multi-passeports sans patries autres que la mondialisation dont le moteur financier est Soros.

  3. Posté par Chris le

    Tasmerdias n’a pas besoin d’aides: c’est un groupe milliardaire. Nous payons un média d’état TV et un média d’état radio. Les deux sont sur le web. Le reste n’a pas à être subventionné, si les gens ne les lisent plus c’est qu’ils ne répondent pas à un besoin.
    Nous n’avons pas continué à financer les porteurs d’eau lors de l’installation de l’eau courante.
    Ils peuvent donc disparaitre sans problème.
    On remarquera aussi que très peu de lecteurs s’abonnent à leurs services en ligne: c’est la même daube, avec pléthore d’articles AFP et Photos Keystone. C’est partout le même contenu, la même idéologie, les même gauchistes.

  4. Posté par Socrate@LasVegas le

    « …la faute aux lecteurs… » LOL
    Un vendeur accusant ses clients au lieu de remettre en question sa marchandise: c’est un gauchiste (un incapable donc) qui n’a aucun avenir hors du fonctionnariat!
    ABE

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