Une femme de Boston nommée Vanessa Louis a été brutalement battue par deux inconnues qui l'avaient approchée pour lui demander un dollar. L'incident s'est produit en milieu de journée devant un restaurant jamaïcain.
Vanessa Louis ayant refusé de leur donner un dollar, les deux femmes lui ont ordonné de quitter leur "territoire" et ont commencé à l'agresser. C’'est une pratique appelée “the knockout game”, qui vise en exclusivité les Blancs.
sous-titres disponibles sur Youtube
https://www.youtube.com/watch?v=u_npnQ6nBr0
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J'ai cru que j'allais mourir : une femme raconte comment elle a été battue au hasard par deux inconnues à Boston
Justin Bourke
DORCHESTER, MASS. (WHDH) - Une femme de Boston a été violemment battue devant un restaurant de Dorchester la semaine dernière et affirme que cela a commencé parce qu'elle a refusé de donner un billet d'un dollar à deux inconnues.
Bien que ses blessures soient en train de cicatriser, Vanessa Louis revit le moment où elle a été attaquée alors qu'elle prenait son déjeuner.
"À un moment, j'ai cru que j'allais mourir. J'ai commencé à prier, genre ‘OK, je crois que je ne vais pas m'en sortir’", dit-elle.
L'agression s'est produite devant le restaurant Flames sur Blue Hill Avenue lundi dernier après qu'elle ait refusé de donner à deux femmes un billet d'un dollar.
"Elles m'ont dit que je devais quitter leur territoire, leur quartier. J'ai dit ‘non’ et elles ont commencé à m'agresser", dit-elle "J'ai reçu un coup de pied à la tête, j'ai reçu un coup de poing dans la tête. Elles m'ont arraché des cheveux. Ma tête a tapé sur le béton à de multiples reprises fois quand elles me poussaient."
La police de Boston a inculpé les deux femmes qui ont participé à cette attaque gratuite. L'une d'elles est accusée d’agression aggravée car elle a lancé une bouteille contre la victime.
"Si c'était une personne âgée, elle n'aurait pas survécu à ça. Si c'était un enfant, par exemple de 12 ans, il n'aurait pas survécu", a-t-elle affirmé.
Elle garde désormais un sachet contenant les cheveux qui lui ont été arrachés, afin de se rappeler ce qui s'est passé et pour avertir les autres, dans l'espoir que cela n'arrive plus jamais à quelconque.
"Et si c'était à votre enfant que l'on fasse ça?" demande Vanessa Louis. "Juste parce qu'on ne vous ressemble pas, qu'on ne parle pas comme vous, ou qu'on n'a pas le même passé? Et c'est pour ça qu'on n'aurait pas le droit d'aller manger quelque part? C'est dément!"
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Traduction libre Cenator
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