De notre correspondant au Québec. – Le vivre-ensemble et la nouvelle morale antiraciste souhaitent comme toute bonne révolution faire table rase du passé, jugé non conforme aux idéaux aujourd’hui professés. Dans cette lutte contre l’histoire, on a vu le déboulonnage de statues comme celles de Theodore Roosevelt, Winston Churchill et Georges Washington dans le monde anglo-saxon.
Et voilà que cette mode qui frappe les pays anglophones tente de s’imposer au Québec, promue sans surprise par les médias anglophones de la Belle Province.
La première cible des révisionnistes est la station de métro Lionel Groulx à Montréal. Une pétition, qui connaît une certaine popularité grâce aux publicités des médias anglais du Québec, exige que la station change de nom pour celui d’Oscar Peterson, un joueur de jazz noir de la métropole québécoise.
CTV News a précisé les griefs entretenus contre Groulx : c’était « un prêtre catholique » et « un nationaliste québécois ». Voilà un dossier suffisant aux yeux des censeurs anglais pour débaptiser la station.
Il faut seulement espérer que les Québécois ne se laisseront pas duper par cette nouvelle mode venue du sud.
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Les anglophones n’ont jamais aimé l’idée que certaines provinces du Canada puissent parler le Québecois , depuis des années essaient par tout les moyens de les forcé a abandonné leur culture.