De L’Agrif :
Depuis plusieurs jours, des bandes de barbares immigrés islamiques, s’affrontent sauvagement à Dijon (France) pour des raisons de haines ethniques et de contrôles de territoires pour la vente de la drogue.
D’un côté des maghrébins, de l’autre des tchétchènes.
Voilà que pour les séparer il faut maintenant faire appel à la gendarmerie mobile et même au Raid !
Avec bien sûr l’interdiction de toute brutalité et surtout…des clés d’étranglement.
Cependant, des manifestants s’apprêtent encore à défiler dans les rues à l’appel d’ Assa Traoré et de Houria Bouteldja les égéries de « l’antiracisme ».
L’islamo-gauchiste Houria Bouteldja, grande idéologue du racisme « antiblanc », et de la pensée « décoloniale » est une admiratrice fanatique du passé antécolonial de l’Afrique du Nord, passé caractérisé par la domination de la piraterie barbaresque et de l’esclavagisme arabo-musulman.
Quant à Assa Traoré, nouvelle coqueluche de l’antiracisme et de l’antiesclavagisme médiatique, on oublie généralement de rappeler que comme toute sa fratrie de délinquants elle est fière d’être de la grande tribu sahélienne des Soninkés spécialisée jusqu’au début du XXème dans l’exploitation des esclaves ou leur commerce.
Ainsi, les « gogos utiles » de « l’antiracisme » obéissent-ils comme des dhimmis consentants à deux orgueilleuses descendantes de proches ancêtres esclavagistes. Elles n’en manifestent aucune repentance.
Ainsi, chaque jour un peu plus éclate la vérité de l’expression que nous n’avons cessé de rappeler avec l’Agrif « l’antiracisme est un racisme à sens contraire !»
Et tant mieux si d’autres désormais, telle que l’inénarrable militante LGBT, Caroline Fourest, la reprennent à leur compte.
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