Les 21 et 22 avril, « Beaubreuil » et « Bastide », deux quartiers de Limoges historiquement réputés pour abriter d’intenses trafics de stupéfiants, ont été le théâtre d’émeutes urbaines que la pudeur médiatique a qualifié de « faits divers ».
Dans cette droite ligne, on s’étonnera à peine des précautions de langage euphémiques et néologiques employées par la presse :
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- « incidents » pour faire référence aux destructions de biens publics et privés (dont l’annexe de la Mairie !),
- « jeunes » pour parler de délinquants,
- « quartiers sensibles » pour mentionner des zones de non-droit,
- « Échauffourées » pour décrire d’une scène de guérilla urbaine,
- « partie de cache-cache » pour définir le travail de maintien de l’ordre des policiers,
- « perturbateurs » pour désigner les membres d’une faction séditieuse.
Tout comme de la sélection des témoignages qui parlent « d’un papa d’une quarantaine d’années » pour décrire un tunisien en situation irrégulière, drogué, en état d’ivresse sur la voie publique en totale violation des règles de confinement, auteur de jets de pierre et de violences contre les forces de l’ordre, outrancier à leur encontre et déjà connu des services de police.
Bref, un enfant de cœur !
Mais le paroxysme de l’inversion des valeurs réside dans le fait qu’on focalise l’attention sur les conditions dans lesquelles a eu lieu l’interpellation. [...]
article complet: https://www.breizh-info.com/2020/04/25/142215/violences-urbaines-a-limoges-halte-a-la-victimisation-de-la-racaille-lagora/
Le Sinistre de l’-inférieur ne peut que présenter benoitement sa démission et s’en aller la tête basse et le queue entre les jambes … Il retournera à la table de poker et boire tranquillement son pastis !
Les médias aux ordres font tout pour minimiser la responsabilité écrasante de nos élites dans ce qu’est devenue une guérilla urbaine. La propagande de gauche, comme à son habitude tente en vain de cacher la réalité des faits pour tenter de sauver le politiquement correct et son idéologie mortifère.