Jacques Guillemain
« Vivre et laisser mourir », chacun se souvient du célèbre roman de Ian Fleming et de son inoxydable agent James Bond 007, incarné à l’écran depuis plus de 50 ans par de multiples acteurs.
Mais ce titre pourrait être également la devise de l’odieuse classe politique française, qui n’a que mépris pour le peuple et n’hésite pas, si besoin est, à le sacrifier sans aucun état d’âme.
Car pour nos élites, la crise sanitaire n’est pas un souci. Pour elles, aucune pénurie. Il y a des tests de dépistage au moindre éternuement, de la chloroquine à profusion pour leur administrer le traitement du professeur Raoult tant décrié, et si la situation s’aggrave, il y a bien entendu des lits avec respirateurs et des produits de réanimation en quantité.
Et pour le peuple ? Rien ! Pas de tests, même avec 40° de fièvre, pas de chloroquine interdite à la vente depuis janvier. C’est le retour à la maison impératif avec du Doliprane, afin de mieux contaminer la famille et les voisins. Quant aux anciens ayant dépassé 70 ans, c’est la mort quasi assurée en cas d’infection.
C’est ainsi que le Canard enchaîné confirme ce que chez Riposte Laïque nous dénonçons depuis longtemps : le sacrifice programmé des anciens.
Une circulaire du ministère de la Santé, datée du 19 mars, « suggérait de limiter fortement l’admission en réanimation des personnes les plus fragiles. »
Nicolas Dupont-Aignan résume ce scandale d’État, un de plus, dans la vidéo ci-dessous :
Au prétexte d’éviter un acharnement thérapeutique et des souffrances inutiles, nos anciens atteints par le Covid-19 se sont vu refuser l’entrée à l’hôpital, pour retourner mourir chez eux ou dans leur Ehpad.
On se souvient que leurs souffrances étaient abrégées avec une injection de Rivotril, comme on pique son chien quand il est condamné. Une autre directive qui a scandalisé nos voisins allemands.
L’atroce vérité, bien entendu, est que la France manque de lits, de respirateurs, de produits de réanimation et de personnels. Il a donc fallu sacrifier les plus faibles.
Tout le monde sait que les médecins sont parfois amenés à faire des choix douloureux en triant les patients faute de moyens suffisants. Mais dans le cas présent, il s’agit d’une directive d’État officialisant la mort programmée de nos anciens. C’est un crime d’État.
Les chiffres sont effrayants :
Au 21 mars, pour l’AP-HP, 19 % des patients placés en réanimation avaient plus de 75 ans. Mais le 5 avril, au plus fort de l’épidémie, ils n’étaient plus que 7 %. Objectif atteint, la directive avait bien libéré des lits !
Pour les plus de 80 ans, c’est pire, puisque le taux de patients en réanimation est passé de 9 % à 2 % en quelques jours !!
Il ne faut donc pas s’étonner que les octogénaires représentent plus de la moitié du total des décès ! Non seulement ils sont fragiles, mais ils ne sont pas soignés !
Idem dans le Grand Est. Là où la situation était très tendue, la proportion de personnes âgées en réanimation était plus faible que dans les zones moins atteintes.
En 20 ans, la France a supprimé 100 000 lits pour raisons budgétaires. Des centaines d’unités hospitalières ont été fermées.
Par la faute de l’exécutif qui n’a jamais cru à la menace et n’a réagi qu’à la mi-mars, la France se retrouve démunie de tout : masques, tests, respirateurs et produits de réanimation.
Au début de la crise, les Allemands avaient 28 000 lits de réanimation occupés à 20 %, nous en avions 5 000 déjà occupés à 90 % !! Impossible de faire face.
Tout est pire qu’en 1940. La 5e puissance économique est la risée du monde. La France a le plus gros budget social de la planète, avec 30 % de son PIB, mais la pénurie est générale.
Où est passé l’argent ? Pourquoi la France est-elle l’hôpital du tiers-monde alors que nous laissons crever nos vieux ?
De l’argent, il y en a à profusion pour accueillir toute la misère du monde, mais pas pour les Gilets jaunes, pas pour nos Ehpad. Et il en est ainsi depuis 40 ans !
Selon le magazine Forbes, les deux pays qui ont le mieux géré la crise sanitaire sont Israël et l’Allemagne.
Mais de nombreux pays ont su faire preuve d’une efficacité remarquable.
Allemagne, Corée du Sud, Japon, Taïwan, Singapour, Norvège, Islande, Finlande, Nouvelle-Zélande, Israël, Vietnam et bien d’autres pays peuvent nous donner des leçons.
Leur secret ? Vigilance, anticipation, volontarisme, détermination, réactivité, transparence. Bref, tout ce qui fait défaut à Emmanuel Macron, resté les bras ballants jusqu’à la mi-mars, date où le Coronavirus avait déjà fait des ravages.
Face à cette situation gravissime, Nicolas Dupont-Aignan réclame une enquête parlementaire pour refus de soigner nos anciens et estime qu’Emmanuel Macron devra en répondre devant la justice.
Il réclame trois mesures immédiates :
Que les pensionnaires des Ehpad et autres personnes âgées puissent être dirigées sans restriction vers les sites de réanimation.
Que le nombre de lits de réanimation soit augmenté massivement.
Que le traitement du Pr Raoult soit administré dans les Ehpad dès le début d’infection des patients.
Il est évident que cette tragédie était évitable, si Emmanuel Macron avait fermé les frontières, commandé les masques et les respirateurs dès janvier comme l’ont fait d’autres pays.
Mais tout n’a été que cacophonie, mensonges criminels et virages à 180°, dans la panique la plus totale.
Refus d’écouter les industriels disposés à fournir des respirateurs, refus d’écouter les pharmaciens ayant leur propre filière d’achat de masques, refus d’entendre les vétérinaires prêts à aider les hôpitaux, refus d’écouter les laboratoires capables de fabriquer des tests etc.
Mais le pire est qu’au 11 mai, la France n’aura toujours pas assez de masques et de tests pour réussir le déconfinement en toute sécurité.
Si le port du masque n’est pas généralisé et si les tests de dépistage sont insuffisants pour isoler les personnes infectées, le scénario du pire peut revenir au grand galop.
Les deux mois de perdus par la faute de Macron, leader prétentieux aussi inconscient qu’irresponsable, nous conduisent à une hécatombe durable et à un effondrement non moins durable de notre économie.
Nous avons déjà 11 millions de chômeurs. Combien de temps va encore durer la descente aux Enfers avec tant d’incapables aux commandes ?
source: https://ripostelaique.com/la-devise-de-macron-vivre-et-laisser-mourir-le-peuple-et-les-vieux.html
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Jacques Guillemain
Ex-officier de l’armée de l’air. Pilote de ligne retraité. Un “lépreux” parmi ces millions de patriotes qui défendent leur identité et leur patrimoine culturel.
Ce sont des allégations très graves. Si elles peuvent se prouver, il y a cause pour jugement, Haute cour, etc.
Depuis l’élection de cet irresponsable pervers, narcissique, vantard et imbuvable la France,mon Pays est méconnaissable ,en ajoutant tous ceux qui contribuent à sa chute par la désinformation médiatique et aussi celle de certains “grands pontes” de la médecine qui hantent les plateaux TV pour aboyer contre le Professeur Raoult et son traitement:
Témoignage d’un médecin de campagne:
Ricardo Rey
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EST CE ASSEZ CLAIR ??
” Cinquante ans de médecine de campagne…
J’ai 76 ans passés et j’en ai vu des épidémies de grippe dès 69-70, qui tuaient 30 à 40 000 personnes sans qu’on affole une population infantilisée par l’idée de la mort et -surtout- par médias et hommes politiques qui surfent sur la vague.
J’ai de nombreuses années assumé un cabinet de 40 à 5O malades jours et nuits et dimanches en dépit de 3 associés que j’avais accueillis à mes côtés.
Encore inscrit au Conseil de l’Ordre, je viens de soigner une dizaine de personnes atteintes du covid 19 et j’y suis passé moi-même sans encombre en n’hésitant pas à prendre Nivaquine + antibiothérapie.
Oui, on n’est pas certain de l’efficacité de ce traitement… mais alors, que proposer à nos patients? Pour mes amis et parents, comme pour moi, je n’ai pas hésité.
Toxicité de l’hydrochloroquine? J’en ai prescrit comme tous les autres médecins pendant 50 ans (sans qu’on m’emmerde) contre le palu et dans certaines affections rhumatismales sans le moindre incident alors que j’ai dû hospitaliser des cirrhoses au paracétamol chez des non alcooliques, sans parler des hémorragies digestives sous aspirine…
Le confinement : certes pour les personnes fragilisées et afin de ne pas engorger les services de réanimationb qui n’existaient pas dans les années 70.
Mais on le prouvera quand nous serons en possession de tests sérologiques fiables : quoi qu’on fasse, les trois quarts de la population auront contracté le Covid 19 en ne présentant qu’une simple “grippette”ou une forte grippe.
Que dire de la cacophonie des “grands professeurs” (combien d’entre eux ont-ils réellement fait de la recherche fondamentale?) des grands professeurs qui n’ont pour la plupart jamais eu à soigner une grippe et des pneumopthies virales alors que nous en avons soigné des milliers au cours de notre carrière et que sommes, nous, médecins de famille en première ligne pour soigner les trois quarts des personnes atteintes du Covid 19.
Oui : qu’ont-ils à proposer?
Alors, qu’on laisse le médecin de famille responsable faire son boulot sans lui interdire tel ou tel produit!
Ou alors, qu’on lui interdise le droit de soigner! Seuls quelques grands spécialistes et chercheurs ont droit de nous apprendre.
Toute mon admiration va aux médecins de réanimation et à leurs assistants qui se dévouent de façon merveilleuse 24 heures sur 24 pour les cas désespérés.
Mais si on jour, il se confirme que Nivaquine et Plaquénil ont une efficacité -même relative- contre le Covid 19, alors nous serons en droit d’accuser tous ceux qui nous l’ont interdit, d’avoir mis en danger la vie de centaine de milliers de malades et -voire- de les traduire en Justice.
Car, pour avoir été maire pendant 19 ans et Conseiller Régional 12 ans, je doute de l’esprit de culpabilité de certains”grands” élus.
Docteur Jean-Louis Bellaton, né le 5 10 43, 454 chemin des Vignerons 69 830 Saint-Georges de Reneins.”
La France a le plus gros budget social de la planète, avec 30 % de son PIB, mais la pénurie est générale, donc effectivement, la question est : où va l’argent ?
Certains parlent de 135 milliards annuels que coûteraient la diversité à la France… à creuser !
Et en plus, cette diversité mord les mains qui l’entretiennent, quelle horreur !