Une professeur d'économie de l'université d'Exeter est qualifiée de transphobe par des étudiants LGBT et féministes après avoir tweeté "seules les femmes ont leurs règles" en réponse à un utilisateur qui affirmait le contraire.
- Le Dr Eva Poen, professeur à l'université d'Exeter, a été accusée de transphobie
- Des étudiantes féministes et LGBT lui ont reproché le tweet "Seules les femmes ont leurs règles".
- Des étudiants en furie ont déclaré qu'elle "stigmatisait ouvertement les trans".
Une enseignante d'économie à l'université a été accusée de transphobie par des étudiantes féministes et LGBT en raison de son tweet dans lequel elle affirmait que "seules les femmes ont leurs règles".
Furieux, les étudiants de l'université d'Exeter ont condamné la Doctoresse Eva Poen, l'accusant de "distinguer ouvertement les personnes trans".
La dispute a éclaté lorsque le Dr Poen a répondu à un tweet d'une utilisatrice de Twitter qui déclarait : "Tous ceux qui ont leurs règles ne sont pas des femmes. Les femmes n'ont pas toutes leurs règles. Changeons notre langage.".
La professeur, qui nie fermement les accusations de transphobie, a répondu : "Seules les femmes ont leurs règles. Seules les femmes passent par la ménopause."
Dans un autre tweet, en réponse à la compagnie d'assurance Aviva faisant la promotion de l'inclusion des LGBT+ dans le sport, le Dr Poen a écrit : "Gardons le sport féminin pour les PERSONNES FEMININES."
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(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)
Nos remerciements à Aldo Sterone et à Victoria Valentini
” La menstruation, ou règles, désigne l’écoulement périodique d’un fluide biologique complexe composé de sang, de sécrétions vaginales, et de cellules endométriales de la paroi utérine, évacué par le >>>vagin<<>>femmes et des femelles<<< en âge de procréer de certaines espèces de mammifères. "
Wikipedia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Menstruation
Il est parfaitement normal d’être “transphobe”, c’est-à-dire de considérer que les dysphoriques du genre sont des malades qu’il faut soigner par la psychiatrie et non, à la Mengele par la chirurgie et la chimie. La perversion intellectuelle se lit sans lunettes lorsqu’un(e) abruti(e) ose écrire que ” Tous ceux qui ont leurs règles ne sont pas des femmes. Les femmes n’ont pas toutes leurs règles. Changeons notre langage.” En fait, en l’occurrence, la perversion n’est pas qu’intellectuelle, elle est pathologie de l’éthique. Preuve de la décadence irréversible des mœurs : lorsqu’une coterie d’étudiants gauchistes (c’est devenu un pléonasme !) condamne une prof parce qu’elle énonce une évidence de nature, ces oligophrènes hurlent à la “transphobie”. Eh bien, qu’ils sachent, ces débiles, que la Nature n’est jamais politiquement correcte et que la correction politique relève de la loxophrénie (= avoiresprit tordu).
Je fais le pari que les crétins d’étudiants en question ne suivent pas un cursus scientifique, mais bien un cursus en “sciences humaines”. C’est là où la densité de bons à rien est la plus élevée.