Père : ma fille de 14 ans a été détruite par des hormones de transition imposées par un tribunal

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Le père canadien Robert Hoogland de Surrey, en Colombie-Britannique, raconte comment la Cour suprême de la Colombie-Britannique a mis sa fille sous testostérone simplement parce que la jeune fille l'a demandé, sans considération pour l'avis des parents dont les souhaits n'entraient pas en ligne de compte pour le tribunal.

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3 commentaires

  1. Posté par miranda le

    Dans l’article : “Dans le passé, la majorité des enfants atteints de dysphorie de genre (ou trouble de l’identité de genre) diagnostiqués par les centres de changement de sexe ont fini par adopter leur sexe natal à l’âge adulte. Clark a fait référence à des informations récentes en provenance d’Angleterre indiquant que certaines cliniques pour personnes transgenres se pliaient aux pressions intenses exercées par les activistes trans pour inciter les enfants à adopter rapidement des traitements hormonaux”.

    Voilà, tout est dit. D’une part l’enfant échappe à la protection du parent, ensuite il subit l’influence des éducateurs, mais aussi la pression des activistes transgenre.

    Dans quel monde vivons nous pour que l’enfant ne puisse pas se développer tranquillement?. Les idées progressistes semblent surtout mener à des pratiques d’INTRUSION. En fait plus nous regardons les choses en face, plus l’INTRUSION occupe l’espace. De quelle pathologie sont atteints ceux qui à tous les niveaux la favorisent?.

    On pourrait ajouter que la pédophilie qui se propage assez bien actuellement est aussi une INTRUSION VIOLENTE dans l’intimité de l’enfant.IL semble que l’école dans ce qu’elle enseigne aujourd’hui à des enfants sur la sexualité, essaie de préparer ceux-ci à une sorte de DEDRAMATISATION des actes sexuels qu’ils pourraient être amenés à subir. Le but ne serait-il pas de les “habituer” à considérer ces pratiques comme étant banales?

    Triste constat de s’apercevoir que l’enfant d’aujourd’hui et peut-être de demain ne pourra plus donner le même sens que nous au mot ENFANCE.

    Nous souhaitons beaucoup de courage aux parents dans leur lutte. Mais il faudrait pour cela qu’un maximum de parents se mobilisent. Hélas, nombreux sont les parents qui n’ont pas encore compris.

Et vous, qu'en pensez vous ?

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