Depuis le tournant du millénaire, en Hongrie, le 25 février est le Jour commémoratif des victimes du communisme. Ce jour-là, en 1947, l’occupant soviétique a arrêté le député Béla Kovács pour le déporter en Union soviétique, où il a passé huit ans au Goulag. Cette déportation est devenue un symbole de la dictature communiste qui allait fouler aux pieds pendant plus de quatre décennies les principes de la démocratie et les libertés humaines.
La Hongrie a été le premier pays d’Europe centrale et orientale à décider de commémorer les victimes du communisme. Suite à la résolution de l’Assemblée nationale du 13 juin 2000, cette commémoration a eu lieu pour la première fois en 2001 au Parlement et dans les écoles secondaires du pays. Depuis lors, des commémorations ont lieu le 25 février de chaque année.
Les autorités soviétiques occupantes ont illégalement arrêté ce jour-là en 1947 puis déporté en Union soviétique Béla Kovács, le secrétaire général du Parti des petits exploitants indépendants. Malgré son immunité de député, Béla Kovács a été condamné sans procès à 25 ans de travaux forcés et a passé 8 ans dans des prisons et des camps de travail. Après sa libération, il n’a plus vécu que quelques années et il est décédé en 1959 à l’âge de 51 ans.
Symboliquement, l’arrestation illégale du politicien et petit exploitant a amorcé le processus de près de cinquante ans au cours duquel le Parti communiste a systématiquement excommunié les membres de la société qui critiquaient le système ou simplement s’y opposaient. Ce fut le début d’une dictature totale à parti unique.
Source : Pesti Srácok
Traductions Cenator
Que les gens prient pour que ce fléau (le communisme) ne revienne plus jamais au pouvoir, sous quelques formes que ce soit !
Socialisme, Vert de gris et Vert pastèque, etc …
Ce genre de dictature on n’en veut PAS !