Les prénoms (Samba et Aboubakary) ainsi que le lieu (Seine-Saint-Denis) sont caractéristiques de la violence que subit la France depuis des décennies à cause de l'immigration.
Des planches en bois condamnent toujours la devanture du Transilvania à l'angle des rues Heurtault et Schaeffer à Aubervilliers. Par une vitre poussiéreuse, on distingue l'intérieur du bar entièrement calciné, ses chaises en désordre, figé comme il était le 11 juin 2017. Ce soir-là, trois individus cagoulés entrent dans le Transilvania des bidons d'essence à la main et déversent leur contenu sur les serveuses puis mettent le feu. Mihai, qui essayait de repousser les incendiaires est gazé, et brûlé lui aussi.
Une dizaine de clients voient les deux jeunes femmes se transformer en torche humaine. L'une d'elles, Doïna, 21 ans, est morte après deux mois de coma. Lidia, brûlée sur 85 % du corps conserve de graves séquelles. Le bilan aurait pu être encore plus lourd. Les consommateurs et le reste du personnel doivent leur survie à un voisin qui avait défoncé la grille à coups de marteau, leur permettant de s'échapper.
Ce mardi, Lidia, 19 ans à l'époque, fera face aux quatre accusés jugés devant la cour d'assises des mineurs de Seine-Saint-Denis. Ils sont poursuivis pour assassinat en bande organisée.
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Défigurée par l'incendie
Pour les neuf parties civiles, ce procès s'apparente à un chemin de croix. Toutes sont d'origine roumaine. Elles travaillaient ou étaient de simples clients dans ce petit bar-restaurant tenu par Iuliana, une compatriote. Ils sont depuis retournés en Roumanie et reviennent pour la première fois en France depuis le drame. Au centre des parties civiles, Lidia, la serveuse rescapée. « C'était une jeune femme très belle », précise son avocate, Me Charlotte Patrigeon. L'incendie l'a défigurée.
Les victimes vont revoir un visage familier. Aboubakary, 26 ans en 2017, était un habitué du Transilvania. « Bouba » serait le commanditaire de l'expédition punitive. Défendu par Me Steeve Ruben, il nie en bloc. Les deux mineurs de 16, 17 ans auraient, pour le premier, été le chauffeur qui dépose les incendiaires devant le bar. « Il conteste les faits », indique son avocat, Me Frédéric Beaufils. Celui de 17 ans, en revanche, reconnaît avoir participé à l'incendie.
Chez les majeurs, seul Samba, 20 ans, admet avoir déversé de l'essence dans le bar. « Il nie l'intention homicide », souligne son avocate, Me Chloé Arnoux.
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Nos remerciements à Victoria Valentini
des êtres capables d’une sauvagerie pareille n’ont rien d’humain ,cet acte était prémédité puisqu’ils avaient apporté l’essence ,jeter cette essence sur ces jeunes filles et l’enflammer relève d’une cruauté sans nom ,les jeunes femmes ont souffert le martyr les brûlures étant les plaies les plus douloureuses ,les peines doivent être proportionnelles à cet acte barbare !
Certaines fois nous regrettons que la peine de mort soit abolie….
FRANCE: PAYS DE LIBERTÉ ET DES DROITS DES RACAILLES!!! FRANCAIS RÉVEILLEZ VOUS!!!!!!!!!!!!!!!!