La cause LGBT, c’est la victoire néomarxiste de l’homme nouveau : ni homme, ni femme, bien au contraire

Cenator : La promotion des LGBT est constante et omniprésente dans nos médias et il n’y a actuellement aucune minorité qui bénéficierait d’une telle attention. Et qui dit LGBT, dit votation du 9 février, indispensable extension des lois antiracistes pour protéger les minorités sexuelles qui seraient malmenées en Suisse.

Il ne s’agit pas seulement d’une récupération gauchiste de plus : ici, nous sommes au registre supérieur qui vise la destruction de nos valeurs, voire de notre civilisation et même  l’avilissement de la population. Le marxisme a toujours voulu façonner l’homme nouveau : le voici ! Ni homme, ni femme, bien au contraire !

Rendre des jeunes stériles par toutes sortes de mutilations, les priver de leur identité, leur laver le cerveau depuis la petite enfance avec des idéologies plus désespérantes les uns que les autres;  à qui profite le crime ?

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La nécessité de se référer à des injustices fictives et à des souffrances par procuration pour légitimer les doléances, c’est un aspect qui se retrouve systématiquement dans chaque revendication de la gauche.

Un des reportages récents de la RTS, « Dans la peau d’un trans » (1) illustre parfaitement ces méthodes. Avec beaucoup de pathos, l’émission débute par un homme trans qui se plaint des regards blessants et des insultes.

En réalité, bien des hommes qui se revendiquent LGBT, aiment se promener d’une manière très provocante, comme par exemple, avec minijupe, hauts talons, etc., en « buvant » le regard choqué des passants.

Bien entendu, de même que la Suisse est un des pays du monde où l’égalité entre femmes et hommes est le mieux respectée, de même la tolérance à l’égard des LGBT est un fait acquis, et les agressions contre eux sont anecdotiques, souvent perpétrées par des personnes issues de pays intolérants.
D’ailleurs, la RTS a dû chercher à Paris un exemple de trans agressé. Dans la vidéo, on voit une « femme » habillée comme une prostituée, avec une chevelure spéciale, en train de s’enfuir dans un parking. On ne saura jamais ce qui s’est passé avant l’agression. En voyant sa tenue, on imagine aisément qu’elle était en tractation avec un client et que celui-ci s’est fâché en s’apercevant du défaut de la marchandise…

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Toujours dans le reportage « Dans la peau d’un trans », nous apprenons que beaucoup d’hommes trans sont agressés mais pas les femmes trans. Et le reportage montre même des chercheurs qui font des sondages et des tests pour voir sur quoi se base la perception des genres. Et scandale ! Pour les gens ordinaires, pas d’appartenance au genre masculin sans possession d’un pénis.

Haro alors sur le pénis ! Voilà le fautif de notre perception biaisée par l’éducation patriarcale ! Et c’est la société patriarcale qui a perverti notre regard. En réalité, nous dit-on, un pénis ne fait pas un homme, mais parfois une femme ! Un homme, ça peut être une femme, et inversement.

Et les exemples pleuvent. Reportage sur deux magnifiques jeunes filles  homosexuelles qui ont décidé de devenir des hommes. Elles ont ressenti un certain malaise et ont consulté des psy qui ont révélé l’homme en eux. Non, elles n’avaient pas envisagé cette solution auparavant pour arriver à se sentir enfin eux-mêmes.
Au diable le genre qu’ils ont reçu à la naissance avec un corps parfaitement constitué et en bonne santé. Grâce aux progrès de la médecine, de la chirurgie, et avec de la testostérone à vie, elles peuvent enfin avoir un torse plat et velu, et ressembler à un homme après une médicalisation intensive de leur folie, avec des traitements à vie, jamais terminés.

Et probablement, si la loi sur l’extension de la norme antiraciste passe, dire que le changement de genre n’est qu’un trouble mental sera passible d’une condamnation.

D’ailleurs, la psychiatrie a rayé de sa bible DSM le transgenrisme en tant que trouble mental. Plus besoin de l’assentiment du spécialiste en aval pour commencer la transformation. Désormais, les psy attendent leur clientèle en amont, avec abonnements à vie, tellement la dépression et les idées suicidaires sont présentes une fois que la personne trans réalise qu’elle ne sera plus jamais ni un homme, ni une femme. L’émission de la RTS estime d’ailleurs qu’il est humiliant d’obliger un trans à consulter un psychiatre – avant la transformation, bien entendu…

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Ces émissions de propagande pour introduire de nouvelles normes en rupture totale avec ce qui avait formé nos sociétés est constante. Pas plus tard que ce 1er février, une manifestation « Kiss-In » à Sion a réuni 70 personnes qui ont fait une démonstration  d’effusions pour lutter contre la haine à l’encontre de la communauté LGBTQI.

Dans les écoles, la destruction de l’identité du genre débute dès le tout jeune âge, et le choix homosexuel est offert comme une option, sous prétexte de lutter contre la ségrégation et contre les suicides de jeunes en mal d’identité. Nous verrons dans l’exemple canadien ci-dessous vers quelles dérives cela peut nous mener.

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Le voyeurisme qui accompagne les émissions LGBT est un autre aspect scandaleux et malsain. Il y a quelque temps, nous avions déjà décortiqué un de ces reportages RTS sur le changement de genre, « Salomée devient Salomon » (On ne naît pas transgenre, on le devient !). Là aussi, les équipes de tournage étaient allées dans l’intimité des familles, les caméras s’étaient braquées sur le visage des parents jusqu’à ce qu’ils fondent en larmes. Scoop et émotion assurés, très belles performances d’audience garanties.

Tous ces reportages veulent faire comprendre à la population que les parents n’ont pas d’autre choix que de se plier, d’accompagner l’autodestruction de leurs enfants, et la bien-pensance arrive même à faire dire à ces parents que tout va au mieux depuis que leurs enfants ont subi la transformation.
Bien entendu, chaque parent sain d’esprit se dit en voyant l’émission « Pourvu que cela ne nous arrive jamais ! »

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Quel contraste sidérant entre cette propagande et un reportage diffusé à la TV hongroise sur ce même sujet à quelques jours d’intervalle (2).

En voici le résumé. Une mère de quatre enfants qui vivait au Canada a décidé de retourner vivre en Hongrie pour sauver ses enfants de l’éducation dispensée au Canada.

Elle raconte que depuis l’arrivée au pouvoir de Justin Trudeau, les jardins d’enfants sont pris d’assaut par des spécialistes du genre, et imposent des programmes d’enseignement aux tout petits pour leur apprendre qu’ils peuvent changer de genre s’ils en ont envie. A l’école, la destruction de l’identité continue, et à l’université on forme des spécialistes pour perpétuer les mensonges et le massacre des jeunes.

Dans la classe d’un de ses fils, il y avait deux garçons qui étaient sous blocage hormonal, suivi d’injection d’hormones féminines, avec chirurgie de mutilation pour plus tard.
Or même après des dizaines d’années de traitement, les trans ne sont plus jamais ni des hommes ni des femmes, et les problèmes psychiatriques sont inévitables, les idées suicidaires persistantes sont omniprésentes.

Au Canada, actuellement, les enfants trans sont produits à la chaîne comme des objets. A la fin, ils auront des plaies qui ne guériront jamais.

Le blocage hormonal peut commencer sans autorisation parentale, si les enseignants le jugent utile. A 13 ans, la transformation peut débuter, sans que les parents puissent s’y opposer. A l’école, on apprend aux enfants que les parents ne peuvent pas les comprendre car ils sont du vieux monde.

Le fils aîné de cette dame, à 11 ans, lui a demandé de pouvoir participer à une fête avec permission de dormir à l’extérieur. La mère s’est opposée à ce projet et à son grand étonnement, son fils l’a menacée d’appeler la police, il avait le numéro de téléphone et la marche à suivre, fournis par l’école, il disait connaître ses droits d’enfant. La mère, en le questionnant, et en remarquant qu’il répétait des phrases dont les mots ne venaient pas de lui, a pris conscience de l’ampleur du problème et a commencé à comprendre que l’école enseigne que les parents sont des ennemis de leurs enfants et qu’il n’y a que l’école qui peut les comprendre.

La sexualisation précoce des enfants est constante. Son fils était très troublé à 11 ans lorsque l’homosexualité a été enseignée à l’école comme une option parmi d’autres, il n’osait plus jouer avec son copain. La sexualité normale, adaptée à l’âge de l’enfant n’est pas abordée. Par contre, les « spécialistes » sont là pour promouvoir l’idée que lorsque l’enfant est mal dans sa peau, le bonheur serait possible s’il changeait de genre.

Au jardin d’enfants, des drag queens viennent lire des livres aux tout petits avec des histoires de genre, comme celle d’un petit garçon qui n’est heureux que s’il porte de jolies robes, puis décide qu’il sera une fille.

Cette mère raconte à quel point sa famille traditionnelle contrastait avec les familles canadiennes, qui n’ont pas le temps de s’occuper des enfants et de contrebalancer le poison qu’ils reçoivent durant toute la journée. Les parents parcourent des distances énormes pour aller travailler, et le soir, ce n’est pas tellement la culture, mais internet, la TV, pas de dialogue parents-enfants, les enfants sont livrés à eux-mêmes.

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La deuxième partie de l’émission hongroise porte sur les dérives de genre qui arrivent aussi en Hongrie par l’UNICEF, l’ONU et les Droits de l’enfant. L’idéologie du genre est également au programme dans certaines écoles, où l’on estime que le porno est OK depuis 10 ans, à condition que l’enfant sache que ce n’est pas la réalité. Sauf qu’à cet âge, l’enfant a de la peine à distinguer le vrai de la fiction. En plus, ressentir les premiers émois à travers le porno ne promet rien de bon pour une sexualité d’adulte saine.
La convention d’Istanbul fonctionne comme un cheval de Troie. La biologie ne compte plus, l’homme n’est plus un homme, la femme n’est plus une femme, sauf s’ils se sentent l’être. Les autorités hongroises doivent rester très vigilantes pour que les enfants ne deviennent pas les proies de ces idéologies criminelles.

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(1) Dans la tête... d'un trans – 22.01.2020 – RTS

(2) Credo – 15.01.2020 – Hír TV

La drag queen Barbada lors de l'heure du conte à la garderie Par-Dessus l'Arc-En-Ciel.

5 commentaires

  1. Posté par Eliat-Eliat Claire le

    vivement le retour du Christ pour mettre fin à ces abominations !

  2. Posté par Caughnawaga le

    Ils pourraient des cours aux nazis, aux communistes et aux musulmans, ce n’est plus du choix c de l’endoctrinement. Des vies tronquées. J’ai lu qu’il y en bp qui veulent retrouver leur sexe d’origine.

  3. Posté par Pierre-Alain Tissot le

    La vieille terre se mettra un jour à trembler, lorsqu’elle voudra se purifier de toute immondice…
    Excellent article, mais bien inquiétant. Cette dictature crypto-marxiste, de minorités telles les LGTB ou autres féministes dévoyées devient insupportable ; y aura-t-il un sursaut ?
    « Être conservateur, cela signifie croire aux lois immuables de la terre, croire à la vieille terre qui se mettra à trembler lorsqu’un jour elle voudra se purifier de toute immondice. »
    Citation de Friedrich Reck-Malleczewen, aristocrate prussien, mort à Dachau, auteur de “La haine et la honte”, Perrin 2017.

  4. Posté par Boomeuse le

    Après la lutte des classes, les luttes raciales, la guerre des sexes, voila la lutte des genres qui s’appuie sur les guerres de générations.

  5. Posté par Peter Bishop le

    Seule l’heterosexualite est normale et saine ! Tout le reste est du domaine de la maladie !

Et vous, qu'en pensez vous ?

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