L'Office des migrations a révoqué son permis d'établissement en raison de trafics d’héroïne. Mais le Kosovar a fait recours : Il invoque son cancer pour ne pas être expulsé. Et il a réussi.
La liste de ses crimes est longue : trafic de drogue, recel, simples dommages corporels, dommages matériels et infractions au code de la route. En 2015, le Kosovar d'une cinquantaine d'années a été condamné à 3 ans et demi de prison pour ces crimes. Tout autre étranger aurait également dû quitter le pays. Le Kosovar peut rester.
Le père de cinq enfants souffre d'un cancer du poumon. Il est dépendant de la chimiothérapie, indique le "Luzerner Zeitung". Dans son arrêt publié lundi, le Tribunal fédéral a statué que "le retrait de l'autorisation d'établissement était disproportionné".
La plus haute instance suisse a ainsi contredit l'Office des migrations de Lucerne ainsi que la Cour suprême. En temps normal, les migrants sont expulsés s'ils sont condamnés à au moins un an de prison. La Cour suprême avait également envisagé la poursuite de la chimiothérapie au Kosovo.
Le canton de Lucerne doit payer
Le jugement du tribunal fédéral prend les choses différemment. En ce qui concerne la chimiothérapie, la "continuité" doit être privilégiée, déclare le verdict. Le retour au Kosovo pourrait mettre en danger le traitement. En outre, l'homme est dépendant du soutien de sa famille. D'autant plus si le cancer s'aggrave.
Le canton de Lucerne doit maintenant verser à l'avocat du patient cancéreux une indemnité de 2500 francs suisses. Le Kosovar s'en tire avec un avertissement. S'il commet de nouvelles infractions, les autorités peuvent l'expulser du pays à tout moment.
(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)
Nos remerciements à Daniel Brand
Ne vous inquiétez pas, la chimio ne guérit généralement pas du cancer du Poumon, le taux de survie est extrêmement bas. Très probablement, il va beaucoup souffrir et mourir. Le problème c’est que cela va coûter beaucoup d’argent, que nous allons payer, mais il n’est pas le seul. Le deuxième problème c’est qu’il a cinq enfants. On espère qu’ils seront assez intelligents pour s’affranchir de l’éducation et du mauvais exemple reçu de leur père. On espère très fort.
et il ne peut pas aller se faire soigner dans son pays ?
Il faut être humain avec les vendeurs de mort.
C’est merveilleux, on va lui payer sa chimio, récompense pour avoir vendu la mort dans nos rues. On ne peut que s’interroger sur la façon dont les juges voient la vie. Pas de la même manière que nous, manifestement.
Remercions le Tribunal fédéral. Il n’a fait que devancer le verdict connu d’avance, si le Kosovar avait recouru devant la cour internationale des droits de l’homme.
” … les migrants sont expulsés s’ils sont condamnés à au moins un an de prison.”
”En 2015, le Kosovar a été condamné à 3 ans et demi de prison pour ces crimes”
Le Kosovar peut rester. Décision incompréhensible du tribunal fédéral !
Il suffit de déclarer qu’on est malade pour révoquer une décision de justice !
A quoi servent NOS lois si on ne les appliquent pas …
ON N’EN PEUT PLUS ! ON DOIT PAYER POUR SOIGNER CETTE MERDE HUMAINE, TOUJOURS LES MEMES, POUR QU’IL PUISSE CONTINUER SES SALOPERIES, ALORS QUE PLEIN DE BRAVES SUISSES HONNETES EN BAVENT !! PUTAIN, MERDE, REVEILLEZ-VOUS, C’EST DEVENU UN CAUCHEMAR D’ETRE PRIS POUR DES CONS PAREILS, DE VIVRE DANS UNE SOCIETE AUSSI AMORALE !!!
Quel rire! Ainsi la Suisse serait le seul pays où on traite le cancer. Quel mensonge éhonté.