Alors que de plus en plus d'affrontements violents se produisent, certaines institutions sont à la recherche d'une solution.
En l’espace d’une semaine, la police a dû intervenir dans deux grands hôpitaux. Des bandes criminelles ennemies, en partie imputées au milieu clanique, se sont affrontées de manière sanglante dans les couloirs des hôpitaux. Même si la police ne donne pas de chiffres, la violence dans les hôpitaux est un problème croissant.
Dans un communiqué, l'Association fédérale des services de sécurité confirme que de plus en plus d’hôpitaux et de services d’urgence s'équipent de forces de sécurité.
Une vidéo qui vient d'être publiée montre l'un de ces incidents qui s'est déroulé la semaine dernière à l’hôpital St Joseph. Selon la police, une bagarre avait éclaté entre plusieurs hommes pour des raisons inconnues.
https://youtu.be/gdcpEvbYiXs
Intervention de 60 policiers et 3 blessés
Par la suite, le conflit s'est poursuivi dans la rue, devant la clinique. Jusqu'à 30 personnes se sont affrontées. Les forces de police déjà alertées à ce moment-là ont tenté de désamorcer la situation. Mais la vidéo montre que les bandes rivales ignorent dans une large mesure la police et que le conflit s’intensifie. Ce n’est qu'à l'aide de renforts massifs que les forces d’intervention ont finalement réussi à maîtriser la situation.
Selon la police, 60 agents ont été nécessaires. Trois personnes ont été blessées. Il n'y a eu aucune arrestation.
Dans la nuit de mardi, seulement quelques jours plus tard, un autre incident est survenu : après une attaque à l'arme blanche à Kreuzberg, deux protagonistes se sont rendus à l'hôpital avec des blessures.
Selon la police, "les proches et les connaissances des blessés sont arrivés petit à petit. Certains d'entre eux auraient été très agressifs. Ce n’est qu’avec l’aide d’autres agents que l’on a pu repousser ces personnes et que le fonctionnement du service d'urgence a pu être garanti.
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Situation dans les hôpitaux de plus en plus tendue
Personne n’est plus surpris de voir que "les forces de sécurité privées protègent les manifestations, les transports publics, les détaillants, les universités, les écoles ou les centres d’emploi". La nécessité de protéger les médecins et le personnel soignant est également une triste réalité, affirme Harald Olschok, directeur général et membre du bureau exécutif du BDSW (Association fédérale de l'industrie de la sécurité).
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(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)
La solution, c’est de cesser de détourner le regard et de renvoyer chez elles ces ethnies qui refusent de se conformer aux moeurs germaniques.
C’est aussi simple que cela.
Mais le gouvernement va attendre encore combine de temps pour faire intervenir L’ARMEE, c’est peut-être enfin le meilleur moyen de stopper toute cette violence. çà ne peut quand même pas continuer de cette façon.