Grand merci Monsieur Windisch de mettre des mots sur ce que l’on ressent souvent lorsqu’on lit ou écoute les médias porte-parole des utopies gauchisantes, qui se prétendent pétris d’objectivité et de neutralité : on ne ressent qu’irritation et colère, accompagnées d’un profond sentiment d’injustice pour tous les autres qui ont eux aussi droit à la parole « officielle ». Une parole qui, lorsqu’on la leur laisse, est immédiatement moquée est détournée de son contenu. Et hélas, une grande majorité des lecteurs et auditeurs passifs croient encore dur comme fer à ce que débitent ces journalistes et ànonnent partout leurs thèses socialo-idéologistes sans discernement, même si c’est à leur propre détriment.
J’écoute beaucoup la radio de la RTS et j’en apprécie énormément toutes les émissions culturelles, bon enfant, enrichissantes, drôles même. En revanche, tout ce qui concerne les informations politiques, internationales ou suisses, est biaisé de façon abominable. Il est donc essentiel d’avoir des redresseurs d’informations tels que Monsieur Windisch, Cenator et tous les autres, qui nous font voir l’autre côté des choses, ce qui permet de se faire une idée plus réelle de l’actualité. En effet, les journalistes « officiels » sont souvent à vomir quand ils déforment les informations pour les plier à leurs idéologies destructrices.
Pour contrebalancer ce monopole de la désinformation, l’UDC serait bien inspirée de faire de la publicité en Suisse Romande pour les sites de réinformation francophones. Le bouche-à-oreille fonctionne trop lentement face à une situation qui risque à tout moment de devenir irréversible par la submersion migratoire ou l’adhésion de facto à l’UE.
En matière de média n’oublions pas inénarrable RTS. Le point d’orgue étant le très suivi Téléjournal de 19.30 heures. L’idée est tellement bonne qu’elle est obligatoire et payante.
La population francophone est abreuvée quotidiennement par ce puissant outil de propagande gauchiste. Le sommaire est aussi varié que le bulletin météo Gambien. Tous les jours les mêmes ingrédients. L’article anti Trump, la théorie réchauffiste, les misères des minorités (personnes de couleurs, LGBT, femmes, antispécistes, mendiants, drogués etc.). Invariablement, viennent s’ajouter au menu, l’industrie de l’accueil des clandestins et les insupportables commentaires des journalistes militants. Suivent les autres désinformations du jour au soin exclusif des « personnalités » de gauche fossilisées comme Calmy-Rey ou des rouges verts en devenir. Il y a de petites variantes afin de maintenir la cohésion nationale comme la nécessité urgente et absolue d’entrée dans la communauté européenne et de ridiculiser la droite. A entendre mes compatriotes commenter Rochebin, il y a de quoi rester muet, la bouche ouverte de consternation. La Pravda avait au moins le mérite d’être consultée gratuitement.
C’est comme le dit Monsieur Windisch, c’est là un problème démocratique. Les médias squattés appartiennent de fait à tout ce qui se déclare de gauche et les patrons de journaux sont pris en otage par ces crypto-communistes infiltrés en masse, généralement bi-nationaux (exactement le même schéma explosif que dans les exécutifs et les parlements) et prêt à faire grève pour un oui ou un non.
DONC NOUS SOMMES SOUS UNE DICTATURE MÉDIATIQUE ET POLITIQUE D’EXTRÊME-GAUCHE, pilotée essentiellement depuis la France, diffusant en masse des nouvelles issues de l’AFP 100% en mains de l’Etat français et essentiellement au service de l’Europe totalitaire bolchévique et maintenant visiblement des organisations internationales liée à l’ONU avec les ONG et tout ce qui est exempté de taxes et d’impôts. Ce qui fait beaucoup d’argent apte à maintenir cette situation sous le couvercle d’une immense corruption. C’est-à-dire pour finir au service de ceux-là même qui, sans concertations, ont décidé de prendre les commandes du monde dans leurs seuls intérêts. Idem pour la SSR-TSR qui partage nombre de médiocrités idéologiques, toujours sous couvert de culture, de pluralité, mais avec le « paravent bonne conscience » de la francophonie et les fuites financières facilitées par les micmacs des co-productions. Et le tam-tam contre No-Billag a bien démontré la haute valeur que cette dictature médiatique représentait pour ces gauches au service des ambitions les plus criminelles contre les liberté du Peuple suisse.
Il y a un clair problème de médias en Suisse romande. La RTS fait une propagande quotidienne anti-UDC, anti-Trump, pro-UE, pro-immigration, pro-mondialisation et met l’agenda des Verts sur le devant de la scène en permanence. Nous n’avons plus de médias libres et équilibrés du point de vue politique. C’est très dommageable pour la diversité de l’information et au final ne permet pas au citoyen d’être informé de manière objective. C’est très dangereux pour la démocratie.
Grand merci Monsieur Windisch de mettre des mots sur ce que l’on ressent souvent lorsqu’on lit ou écoute les médias porte-parole des utopies gauchisantes, qui se prétendent pétris d’objectivité et de neutralité : on ne ressent qu’irritation et colère, accompagnées d’un profond sentiment d’injustice pour tous les autres qui ont eux aussi droit à la parole « officielle ». Une parole qui, lorsqu’on la leur laisse, est immédiatement moquée est détournée de son contenu. Et hélas, une grande majorité des lecteurs et auditeurs passifs croient encore dur comme fer à ce que débitent ces journalistes et ànonnent partout leurs thèses socialo-idéologistes sans discernement, même si c’est à leur propre détriment.
J’écoute beaucoup la radio de la RTS et j’en apprécie énormément toutes les émissions culturelles, bon enfant, enrichissantes, drôles même. En revanche, tout ce qui concerne les informations politiques, internationales ou suisses, est biaisé de façon abominable. Il est donc essentiel d’avoir des redresseurs d’informations tels que Monsieur Windisch, Cenator et tous les autres, qui nous font voir l’autre côté des choses, ce qui permet de se faire une idée plus réelle de l’actualité. En effet, les journalistes « officiels » sont souvent à vomir quand ils déforment les informations pour les plier à leurs idéologies destructrices.
Pour contrebalancer ce monopole de la désinformation, l’UDC serait bien inspirée de faire de la publicité en Suisse Romande pour les sites de réinformation francophones. Le bouche-à-oreille fonctionne trop lentement face à une situation qui risque à tout moment de devenir irréversible par la submersion migratoire ou l’adhésion de facto à l’UE.
En matière de média n’oublions pas inénarrable RTS. Le point d’orgue étant le très suivi Téléjournal de 19.30 heures. L’idée est tellement bonne qu’elle est obligatoire et payante.
La population francophone est abreuvée quotidiennement par ce puissant outil de propagande gauchiste. Le sommaire est aussi varié que le bulletin météo Gambien. Tous les jours les mêmes ingrédients. L’article anti Trump, la théorie réchauffiste, les misères des minorités (personnes de couleurs, LGBT, femmes, antispécistes, mendiants, drogués etc.). Invariablement, viennent s’ajouter au menu, l’industrie de l’accueil des clandestins et les insupportables commentaires des journalistes militants. Suivent les autres désinformations du jour au soin exclusif des « personnalités » de gauche fossilisées comme Calmy-Rey ou des rouges verts en devenir. Il y a de petites variantes afin de maintenir la cohésion nationale comme la nécessité urgente et absolue d’entrée dans la communauté européenne et de ridiculiser la droite. A entendre mes compatriotes commenter Rochebin, il y a de quoi rester muet, la bouche ouverte de consternation. La Pravda avait au moins le mérite d’être consultée gratuitement.
C’est comme le dit Monsieur Windisch, c’est là un problème démocratique. Les médias squattés appartiennent de fait à tout ce qui se déclare de gauche et les patrons de journaux sont pris en otage par ces crypto-communistes infiltrés en masse, généralement bi-nationaux (exactement le même schéma explosif que dans les exécutifs et les parlements) et prêt à faire grève pour un oui ou un non.
DONC NOUS SOMMES SOUS UNE DICTATURE MÉDIATIQUE ET POLITIQUE D’EXTRÊME-GAUCHE, pilotée essentiellement depuis la France, diffusant en masse des nouvelles issues de l’AFP 100% en mains de l’Etat français et essentiellement au service de l’Europe totalitaire bolchévique et maintenant visiblement des organisations internationales liée à l’ONU avec les ONG et tout ce qui est exempté de taxes et d’impôts. Ce qui fait beaucoup d’argent apte à maintenir cette situation sous le couvercle d’une immense corruption. C’est-à-dire pour finir au service de ceux-là même qui, sans concertations, ont décidé de prendre les commandes du monde dans leurs seuls intérêts. Idem pour la SSR-TSR qui partage nombre de médiocrités idéologiques, toujours sous couvert de culture, de pluralité, mais avec le « paravent bonne conscience » de la francophonie et les fuites financières facilitées par les micmacs des co-productions. Et le tam-tam contre No-Billag a bien démontré la haute valeur que cette dictature médiatique représentait pour ces gauches au service des ambitions les plus criminelles contre les liberté du Peuple suisse.
Il y a un clair problème de médias en Suisse romande. La RTS fait une propagande quotidienne anti-UDC, anti-Trump, pro-UE, pro-immigration, pro-mondialisation et met l’agenda des Verts sur le devant de la scène en permanence. Nous n’avons plus de médias libres et équilibrés du point de vue politique. C’est très dommageable pour la diversité de l’information et au final ne permet pas au citoyen d’être informé de manière objective. C’est très dangereux pour la démocratie.