La Turquie a averti les pays européens que, s’il le voulait, il pourrait faire tomber leurs gouvernements en laissant traverser ses frontières aux millions de migrants du Moyen-Orient.
Il y a quelques jours, le ministre turc de l’Intérieur, Süleyman Soylu, a déclaré : « Nous sommes confrontés à la plus grande vague migratoire de l’histoire. Si nous ouvrons les vannes, aucun gouvernement européen ne pourra survivre plus de six mois. Nous leur conseillons de ne pas abuser de notre patience. »
Il a également accusé les pays européens de laisser la Turquie se débrouiller seule avec le problème migratoire.
En mars 2016, l’UE a conclu un accord de principe qui, s’il avait été mis en œuvre, aurait permis aux citoyens turcs de se rendre dans les États de l’UE sans visa et aurait relancé les négociations d’adhésion de la Turquie à l’UE si elle se conformait à une liste de 72 conditions.
Le projetne s’est pas réalisé et maintenant la Turquie menace l’Europe d’une action drastique si elle n’obtient pas un accord.
Les fonctionnaires de l’UE affirment que même si la Turquie a contribué à réduire le flux de migrants entrant en Europe, elle n’a pas satisfait à toutes les exigences nécessaires à la libéralisation du régime des visas.
Soeren Kern, du Gatestone Institute à New York, écrit : « [La Turquie] n’a toujours pas rempli la condition la plus importante : assouplir ses lois antiterroristes strictes, qui sont utilisées pour museler les critiques du président turc Recep Tayyip Erdoğan.
Dans une interview accordée le 22 juillet à une chaîne de télévision turque, le ministre turc des Affaires étrangères Mevlut Çavuşoğlu a déclaré : « Nous avons suspendu l’accord de réadmission. Nous n’attendrons pas à la porte de l’UE. »
Actuellement, il y a environ 3,5 millions de migrants – principalement d’Irak, de Syrie et d’Afghanistan – qui sont accueillis par la Turquie. Beaucoup de ces migrants, ainsi que des millions d’autres qui vivent encore dans le Moyen-Orient déchiré par la guerre, aimeraient venir en Europe.
Le seul obstacle sur leur chemin, c’est le pont terrestre représenté par la Turquie. Si les « vannes » s’ouvraient, les conséquences feraient ressembler la crise migratoire de 2015 à un jeu d’enfants.
Source : Voice of Europe
Traduction Cenator
Rappel : Le djihad par la natalité. Erdogan : « Faites 5 enfants, pas 3 » !
L’on nous prédit des taux négatifs sur nos épargnes pour bientôt, au niveau des caisses de pension c’est déjà acquis, notre épargne fondra et les rentes de vieillesse aussi !
Et ces milliers de boulets qui vident nos caisses sociales, les années a venir risquent d’etre chaudes.
@ léo
En lisant votre commentaire, je pense en effet qu’il aurait été extraordinaire qu’un homme européen de la même “carrure” que Poutine tienne le même discours face à ERDOGAN.
Pourquoi en sommes nous privés ou empêchés?
Mais je pense que l’Europe est prise en étau : L’Amérique ayant besoin stratégiquement de la Turqui d’Erdogan, l’Europe étant liée à l’Amérique, nous ne pouvons réagir comme il le faudrait.
Le destin actuel de l’Europe est très étrange. Le destin d’un continent PRIS EN ETAU, quelles que soient les époques. Le Général De Gaulle ne vivait pas la libération de la France comme une liberté retrouvée, mais aussi comme une colonisation de la France par l’Amérique. Et aujourd’hui, la France faisant partie de l’Europe, son destin de colonisée s’amplifie. Comme tous les autres pays composant l’Europe.
L’EUROPE n’a pas le droit à sa parole.
Voilà qui pourrait par réaction salutaire sauver la Suisse de l’invasion mortifaire de masse au goutte à goute. Si une armada de telle ampleur se déverse sur l’Europe, la rogne à l’égard de nos imposteurs du C.F. se fera beaucoup plus détonante au point qu’ils devront mouillé leur chemise pour un fois. D’une certaine manière, on devrait espérer qu’Erdogan le fasse, parce que faire un chantage, c’est trop facile, mais ça démontre au moins sur ce point précis, que la Turquie a de sérieux atomes crochus avec les gouvernants anti-démocratiques de l’U.E. Les chantages à l’égard de la Suisse ne sont-ils pas les seules sales manières de ces potentats anti-démocratiques mis à la tête de l’Europe pour obliger la Suisse à adhérer à l’union Européenne, avec des contrats viciés par des clauses équivalentes à des chèques en blanc, que nos traîtres d’habitudes signent les yeux fermés à coup de champagne ?
Si nos dirigeants européens avait des couilles et n’était pas des traîtres a la solde de l’islam, il a longtemps que les dispositions militaires aurait été mis en place a la frontière greco/bulgare-turque et en mer Égée pour empêcher toute intrusion, ces clandos sont musulmans, Erdogan défend ces gens bec et ongles, puisque ils sont frères, alors qu’il se débrouille avec.
Si nous ouvrons nos frontières à l’immigration turque , la menace reste la même , voir supérieure , il est donc urgent de prendre ce genre de menaces au sérieux ! hélas nos “gouvernants” sont des pleutres adeptes de la soumission..
Cette menace met en lumière l’impéritie de nos gouvernants. La vache folle de Berlin invite ses larbins de Bruxelles à légiférer sur la taille des trous dans les fromages alors qu’il y a un ogre ottoman aux portes de l’Europe. Les politicaillons se pressent au portillon pour toucher leurs prébendes et les citoyens européens, ramollis par des décennies de consumérisme béat, se vautrent dans la téléréalité et applaudissent les exploit sportifs au lieu de se révolter. Un air de déjà vu du côté de Byzance.
Voilà ce qu’il se passe lorsqu’un État nase-islamique émerge aux portes de l’UE. Les musulmans sont de par leur religion et leur culture, totalement responsable de leurs malheurs, ce n’est donc pas à nous d’en supporter les conséquences.
Demandons-nous plutôt si ce n’est pas ces gouvernements, France et Allemagne en tête, qui demandent à la Turquie d’ouvrir les vannes, étant donné que l’Italie n’en laisse plus passer…..
Il fut un temps (maintenant révolu) où Poutine avait promis à Erdogan, si il se montrait un peu trop menaçant, de célébrer Noël dans Ste-Sophie après avoir reconquis Istanbul.
Comme quoi les menaces, ça fonctionne, encore et toujours. Envers les muzz, c’est même la seule formule probante.
Bizarrement, ce satrape d’opérette ne menace nullement la Russie de faire déferler ces vagabonds.
On a tout l’arsenal pour faire taire l’engeance muzz. Qu’attend-on pour le comprendre et le lui faire comprendre ?