L’interdiction de la procréation médicalement assistée (PMA) pour les duos d’invertis, hommes ou femmes, n’est pas illégitime : ainsi en a jugé la Cour constitutionnelle italienne réunie le 18 juin dernier, saisie sur la légitimité constitutionnelle de l’article 04 de la loi 40 celui qui interdit aux ‘couples’ d’homosexuels d’accéder aux techniques de la PMA.
L’exception d’inconstitutionnalité avait été soulevée par des tribunaux italiens et concernait le cas d’un duo de lesbiennes qui voulait accéder à la PMA. Cette disposition de la loi 40 n’est pas en contraste avec les principes constitutionnels ont décrété les juges de la Cour.
Une fois n’est pas coutume, le lobby Lgbt a perdu une bataille mais il est fort à craindre qu’il reviendra à la charge. Pour obtenir, par paliers, gain de cause, comme en France sous le gouvernement Macron, d’abord pour toutes les femmes, et ensuite pour tous les hommes, pour tous…
Francesca de Villasmundo
Extrait de: Source et auteur
Cette question de la PMA-GPA (deux crimes inséparables) empoisonne l’atmosphère. Il semble que la Cour Constitutionnelle italienne soit plus intelligente que notre Conseil Constitutionnel, composé de vieux débris crétins. Il faudra bien un jour que triomphe le bon-sens, à savoir : (1) le désir d’enfant n’est pas un droit à l’enfant, (2) lorsque la pathologie mentale interdit la procréation naturelle en recourant à des pratiques sexuelles contre nature, il n’y a pas lieu d’y pallier par des manipulations techniques, (3) lesquelles manipulations pourraient avoir des séquelles graves chez les enfants ainsi créés, (4) et de toute façon, un enfant éduqué par des déviants, sans père ou sans mère, risque fort d’être psychologiquement perturbé. Il faut en finir avec les délires des LGBT-machinchoses.