Celui qui combat peut perdre mais celui qui ne combat pas a déjà perdu. Brecht.
Les urnes ont parlé, le verdict est tombé, Bruxelles a gagné. L'Union européenne est parvenue à nous imposer son texte liberticide sur les armes grâce à la complicité des milieux et partis qui ont prêté allégeance à cet agglomérat incertain formé de particules qui n'ont que la soumission à l'Allemagne comme dénominateur commun. Dorénavant, tous les scrutins liés à l'Europe feront l'objet d'un chantage de la part de ses affidés, à savoir voter oui ou mourir. Certes, les motivations sont diverses, la gauche éprouve une haine farouche pour ce qu'est notre pays et souhaite lui imposer des règles venues d'ailleurs, des règles qu'elle n'a pas pu imposer jusqu'ici par la démocratie directe. Au centre, c'est l'appât du gain qui surpasse tout, Bruxelles paie bien ceux qui se vendent, merci pour eux.
La défaite du jour préfigure les futurs combats que nous allons devoir livrer. Le texte visant à interdire purement et simplement les armes semi-automatiques est en cours d'élaboration en ce moment-même, qui nous sera soumis en 2020 voire 2021. On nous servira les mêmes arguments malgré des exigences en augmentation constante. Je me réjouis d'entendre les notables PLR, oui, j'ose parfois le pléonasme, nous dire que la tradition du tir sera malgré tout respectée même si 80% des armes utilisées pour le pratiquer seront interdites. Economiesuisse planche déjà sur l'argumentaire, ses laquais n'auront qu'à le répéter en boucle.
Il en ira de même avec l'accord-cadre dont le but consiste à soumettre toute décision suisse au bon vouloir de la Cour de Justice de l'Union européenne. A gauche, on se réjouit de ce nouveau pas vers l'adhésion pure et simple même si quelques dispositions importunent ici ou là, genre suppression du délai d'annonce obligatoire de huit jours pour les travailleurs détachés. Il est bien évident que les camarades se rallieront au texte avec enthousiasme dès lors qu'ils auront obtenu "des clarifications". L'accord est pourtant limpide mais cette exigence de clarté permet de faire croire au bon peuple qu'on a posé des conditions avant d'accepter, ce qui est faux, aucune renégociation de ces funestes dispositions n'étant prévue au calendrier européen. Evidemment, au PLR, on se réjouit déjà, les menus désagréments causés par l'accord étant susceptibles d'être corrigés dans le droit national. Surprenant de la part d'un parti qui compte tant d'avocats. Comment introduire une disposition nationale face à une exigence bruxelloise contraire ? Il est bien évident qu'une telle mesure nous mènerait tout droit devant la Cour de Justice qui nous contraindrait à revenir en arrière. En attendant, la protection des travailleurs s'en trouvera fragilisée, ce qui est toujours bon à prendre pour Economiesuisse. Il sera à cet égard intéressant de voir quelle sera l'attitude des syndicats, volontiers inféodés au Parti socialiste. Le dilemme sera cornélien, défendre les travailleurs ou défendre Bruxelles. Aporie meurtrière, mes amis sont devenus les ennemis de mes amis. Va falloir trancher, ça va faire mal.
Face à ces motivations diverses et variées visant à assujettir la Suisse, l'UDC reste encore et toujours le seul parti soucieux de la démocratie directe, donc de notre indépendance, la seconde étant indispensable à l'exercice de la première. Dimanche prochain, c'est l'Europe qui choisira son parlement pour les cinq années à venir. Les partis souverainistes sont promis à un brillant avenir. Leur progression sonnera comme un désaveu pour les technocrates qui prétendent vouloir régenter notre quotidien, fixant entre autres les normes relatives à la dimension des bananes. Alors que l'Union sera en plein débat afin de trouver la perle rare qui succédera au regrettable Juncker, nous renouvellerons nous aussi nos autorités fédérales. Nous serons bien inspirés de tenir compte de l'évolution de cette Europe qui ne séduit plus personne, le taux de participation dimanche prochain en constituera un indice révélateur. Face à ceux qui veulent absolument monter à bord du navire en perdition dans la brume, seule l'UDC restera à vouloir garder les pieds sur terre. J'ai confiance.
Yvan Perrin, 19.5.2019
le vrai probleme,c’est que les europeens,les suisses sont rop gras!,ils ne veulent ,meme plus se defendre!
Je suis atterrée par le chantage du Conseil Fédéral sur Schengen et Dublin, ainsi que par la naïveté des citoyens suisses. Ils n’ont pas compris que nous allons perdre notre souveraineté et que dorénavant ce sont ces soi-disant “démocrates” de la commission européenne, puisqu’ils voudraient tellement nous voir à genoux comme l’avait si bien hurlé D. Cohn-Bendit au lendemain de la votation contre une immigration de masse. Le Conseil Fédéral est bien trop mou pour défendre ses citoyens à part MM. Parmelin et Maurer. Je suis prête à me battre (pas de manière physique) mais nous devons absolument tout entreprendre pour sauver notre pays de cette UE soumise aux lobbys et aux puissances financières (comme le sont les partis et la plupart des entreprises! Oui vous avez raison pratiquement tous les partis ont tout fait pour remettre sur un plateau d’or la Suisse aux loups de Bruxelles. Que pourrions-nous faire nous les citoyens éveillés et conscients pour montrer que nous ne sommes (du moins certains d’entre-nous des moutons suivant la meute des faiseurs de malheurs. Alors que certains pays désirent si ardemment leur démocratie. Je pense à la France qui, avec les gilets jaunes, a enfin ouvert les yeux malgré la violente répression qu’elle subit. La Grande Bretagne et l’Italie. Cette Europe liberticide qui ne pense qu’à ses intérêts financiers au détriment des peuples. Je vous en supplie que ceux qui aiment ce pays et cette démocratie agonisante nous rejoignent sur le site de “démocratie d’abord” qui a un discord. Nous avons vraiment besoin de démocrates nous sommes peu nombreux, nous avons besoin de vous. C’est un cri du cœur que je lance peut-être le dernier. Voici le lien https://youtu.be/Jp8POKDZXug. Merci à tous. Nous devons chérir ce bien si précieux qu’est la démocratie.
Macron ou la casse sociale
La majorité des Français commence à s’en rendre compte : homme de cabinet, incarnation de la finance, Emmanuel Macron a un objectif central : hausser les dividendes, baisser le coût du travail et, pour cela, casser cent ans de Code du travail, la Sécurité sociale, la retraite par répartition, les services publics et les droits des 6,7 millions de chômeurs.
« Ordo-libéralisme », « néo-thatchérisme », « France start-up », « président des riches et des premiers de cordée »… Le macronisme, décortiqué en détail dans ce livre, ne se résume pas à ces formules choc. Il encourage une « société sans statut », promeut l’uberisation, traque immigrés et chômeurs, divinise la compétitivité jusque dans les hôpitaux…
En face, les salariés, 90 % des actifs, ceux qui n’ont que leur force de travail à vendre, n’ont pas perdu la bataille. Même s’ils produisent l’essentiel des richesses sans recevoir en retour, et depuis trop longtemps, la part qu’ils méritent…
https://www.editionsarchipel.com/livre/macron-ou-la-casse-sociale/
Les français, qui veulent voir leurs parents et leurs enfants manger dans les poubelles des migrants, auront la possibilité de voter pour RENAISSANCE soutenue par Macron de LA REPRESSION ET MUTILATION LREM.
Hélas…, un combat perdu engendre toujours , des contraintes visibles et invisibles et à terme de l’esclavagisme sournois que confère au perdant ,son nouveau statut de vassal ….!il faut dire aussi , que grace au détournement du droit extraterritorial par les technocrates de Bruxelles, (30 ans après la chute du mur de Berlin ),l’UE aidée par des résurgences du socialisme anxiogène et de leurs médias , précipitent le pays dans la suzeraineté …! faut ‘il maintenant ajoutait des étoiles sur le drapeau Helvétique ….?
”La gauche éprouve une haine farouche pour ce qu’est notre pays”
”Au centre, c’est l’appât du gain qui surpasse tout, Bruxelles paie bien ceux qui se vendent”
La majorité de nos policards sont soit des névrosés ou des vendus !
Quelques politiciens, dont M. Y. Perrin fait partie, nous décrivent les embûches et les aléas dans les années futures.
Sur l’échiquier politique, tous les partis sont ligués contre l’UDC !
On constate que les directives données ne concernent pas les sujets de votations, mais contre l’UDC !
L’association Gauche – Droite contre nature, à force de menaces mensongères, a convaincu les deux tiers des votants de prostituer “Helvétia” aux bénéfices des proxénètes de Bruxelles. L’indignité qui en résulte souille la Suisse dans sa totalité. Heureusement, quelques citoyens se sont montrés digne de la démocratie directe transmise par les générations antérieures. Qu’ils en soient remerciés.