Cenator : Benoît Gaillard, à l’image de son parti lausannois, est un  idéologue avec une capacité de réflexion exclusivement  orientée « à gauche toute ». Il  réclame des lois strictes, contraignantes pour réduire drastiquement les gaz à effet de serre.

Benoît Gaillard est en couple avec Rebecca Ruiz, la successeur « naturelle » de P.-Y. Maillard au Conseil d’État…  élue par les médias avant même le scrutin. En effet, les médias lui ont offert une telle publicité qu’aucun candidat ne pouvait lui arriver à la cheville. Le même cirque est en train de se reproduire pour élire Ada Marra au Conseil des États, ce qui pourrait décupler sa capacité de nuisance.
Il est certain que les couples gauchistes qui gouvernent Lausanne disposent de revenus et de pouvoirs sans commune mesure avec le pékin moyen. Cette situation les place dans leur bulle de nantis dont les préoccupations n’ont plus rien de commun avec celles de la population. Une taxe supplémentaire par ci ou par là, un nouvel impôt pour financer l’hystérie climatique ne pèsent pas lourd pour ces apparatchiks se servant du reste de la population.

Comble de l’indécence, ces gauchistes hors sol se targuent de défendre et représenter le peuple.

Quoiqu’il en soit, « la Gauche », toujours aussi dramatiquement décalée par rapport à la population et ses préoccupations quotidiennes voit dans l’hystérie climatique actuelle, gare à ceux qui émettent des doutes à son sujet, une excellente occasion d’augmenter les interventions de l’état, augmentation qui permettra à coup sûr d’occuper de nouveaux postes bien payés. Toute cette usine à gaz à la « Benoît Gaillard » permettra de :
- « prouver » l’existence d’un changement climatique (en son temps, la mort des forêts a été «prouvée» de la même manière),
- « prouver » que ce changement climatique est bien dû aux activités humaines,
- « prouver » que seulement certaines interventions étatiques permettraient de remédier à ce changement climatique,
- « prouver » que les susdites interventions devront être étoffées si les résultats escomptés ne sont pas atteints,
- etc…

Toutes ces gesticulations vont coûter les yeux de la tête, les apparatchiks de cette usine à gaz feront tout pour l’entretenir, la justifier et la « faire tourner ».

Cette hystérie climatique est devenue indispensable à la survie des gauchistes et aux autres politicards conscients des gains potentiels de popularité en s’associant à cette nouvelle mode.
Daniel Cohn-Bendit, puis sa version réchauffementiste, Al Gore ont créé ce catastrophisme pseudo-scientifique de toute pièce lorsque leur influence déclinait. Le point culminant de l’hystérie climatique est la théorie selon laquelle les Occidentaux blancs devraient cesser de faire des enfants pour sauver la planète car l'empreinte carbone de leurs enfants serait bien plus conséquente que celle des enfants des pays en développement.*

Tout comme l’inquisition au Moyen âge, qui a été mise en place pour renforcer le pouvoir du clergé, la RELIGION écologiste a été créée pour la même raison. En quelque sorte, nous vivons l’épopée des procès de sorcières car une bonne partie de la population croit dur comme fer que c’est par la faute de l’homme blanc que la terre se réchauffe,… ce dernier étant coupable par nature de tous les maux de la planète.

Et la leçon à en tirer est simple : lorsque la population a bien été manipulée, les pouvoirs en place peuvent rendre naturelle et souhaitable le fait de « brûler des innocents » ou d’imposer des lois liberticides, ruineuses et insensées au nom d’une prétendue « urgence climatique », voir même pousser une civilisation à se suicider.