Directive de l’UE sur les armes, premier diktat sur la Suisse

Directive de l’UE sur les armes, premier dictat sur la Suisse

 

Aujourd’hui la majorité de nos dirigeants ne sont plus que des compradores, nom que donnaient les colons et commerçants portugais à la bourgeoisie autochtone leur servant d’intermédiaire dans les régions du tiers-monde sous domination.  Mme KKS, Karin Keller-Sutter, qui les représente au plus haut niveau, met tout les moyens de la Confédération pour que notre peuple encore souverain adhère à la directive sur les armes issue d’un pouvoir supra national.

Directive ! Un mot qui, à lui seul, devrait donner la nausée. Voila l’ordre péremptoire d’une clique de hauts fonctionnaires d’un exécutif nullement élu, pratiquement anonyme et au-dessus des états européens, mais au service de leurs oligarchies. Mis à part son alcoolique notoire de président, qui serait capable de citer le nom d’un seul des commissaires de l’UE ? Moi pas.

Sous prétexte de prévenir de futurs attentats terroristes, le but recherché est le désarmement progressif et total des populations européennes. Cela tout en sachant que, jusqu’ici, aucune arme déclarée n’a servi dans ces occurrences. La prévention de tous risques de rébellions est l’une des caractéristiques des régimes totalitaires. Une majorité de gouvernements de l’UE en prend le chemin car ils redoutent, non sans raisons,  la réaction des habitants qui, toujours plus, réalisent que les oligarchies despotiques et prédatrices qui les gouvernent s’en prennent à leurs droits et leurs biens. Parfois même à leurs vies, en les entrainant dans des guerres de destructions et de brigandages.

Ceux qui s’en indiffèrent ou trouvent normal que l’accès aux armes, pour les honnêtes gens, soit réduit puis ensuite supprimé, devraient comprendre que cette directive n’est qu’un début. Une fois acceptée, d’autres suivront. Les armes ne sont pas le seul sujet préoccupant la camarilla qui aujourd’hui domine l’occident européen. Réduire puis supprimer les payements en cash pour mieux taxer et contrôler, limiter puis annihiler nos droits de référendum, interdire la critique des autorités, leurs lois et la libre opinion au prétexte de « fake news ». Ce ne sont que quelques exemples.

Si cette première directive est approuvée, par la suite il sera alors facile à un gouvernement devenu une simple courroie de transmission d’affirmer : «Vous l’aviez trouvée bonne en son temps. Maintenant, on ne discute plus, là c’est l’affaire de vos autorités. Maul zu !»

Cela, chacun doit le faire comprendre à ceux qui ne s’intéressent pas aux armes ou qui en ont peur. Pour nous tous, ce ne sera que la première loi liberticide et coloniale imposée par un pouvoir discrétionnaire qui se déclare au-dessus des nations.

Blaise Chappaz, 29.4.2019

 

4 commentaires

  1. Posté par Antoine le

    On est là pour discuter, alors taisez-vos !
    «Vous l’aviez trouvée bonne en son temps. Maintenant, on ne discute plus, là c’est l’affaire de vos autorités. Maul zu !»
    Les MENSONGES de Mme KKS:
    https://lesobservateurs.ch/2019/02/20/les-mensonges-de-karin-keller-sutter/
    J’ai voté NON par correspondance !
    NON au diktat de l’UE !

  2. Posté par Michel Vasionchi le

    A l’encontre des tentatives irresponsables de ces politiciennes vendues …il faut impérativement que les suisses gardent leurs armes ….car sans elles , ils perdent l’une de leurs dernières libertés pour défendre le Pays….!

  3. Posté par combattant le

    La dénatalité dans ces pays de l’eurss y compris la suisse pour la population de souche notamment,est la preuve que cette eurss n’est pas à OFFRIR à des enfants dans LE FUTUR,car ce futur est une HORREUR à venir si rien ne change par un conflit avec quelles armes ? AH ! SI J’AVAIS SU,JE NE SERAIS PAS VENU comme disait l’autre ! Naître ou ne pas être ?

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