N’est-ce pas vraiment le dernier moment pour parfaire l’éducation dans nos écoles et améliorer la résilience de tous ?
«Nous ne pouvons pas toujours construire l'avenir pour nos jeunes, mais nous pouvons préparer nos jeunes pour l’avenir. »
Franklin D. Roosevelt, l’ancien président des USA ( 1882-1945 ).
De nos jours, nous sommes de plus en plus inondés par une énorme quantité d’informations et de données. Tellement d’informations et de données circulent que ceux qui voudraient les censurer, parce qu’elles ne conviennent pas à leur agenda, n’y arrivent plus ! C’est une des raisons pour lesquelles ils choisissent plutôt de nous désinformer, de détourner notre attention par des inepties telle la soit-disante responsabilité des Suisses dans le réchauffement climatique de la terre, que les déchets atomiques ne seraient pas un risque, que manger de la viande serait mauvais pour un omnivore qui a des canines, que l'accord institutionnel avec l'Union européenne dans la dernière version de notre Conseil fédéral consisterait à développer la voie bilatérale alors qu’il marque clairement la soumission à l’UE impérialiste et la fin de la voie bilatérale, donc de l'entente entre deux partenaires de droit égal. Bref ils nous manipulent, ce qui leur est de plus en plus facile avec l’emprise qu’ont sur nous tant la télévision ordure ou télévision malbouffe que les journalistes marchands de nouvelles qui nous débitent, ligne après ligne copiées de la presse américaine de gauche, la comédie humaine de notre époque.
Aujourd’hui les biologistes et d’autres chercheurs décryptent le corps humain, notre cerveau, nos sentiments et les ingénieurs en informatique traitent des données en quantité et très rapidement. Ils peuvent même les copier et les répartir par millions immédiatement. Surveillons tous ces chercheurs parce que tout au long de l’histoire, tant de chercheurs ont été confrontés au dilemme : servir le pouvoir ou la vérité. Ensemble cette révolution bio-tech et cette révolution info-tech produiront des algorithmes bio-tech capables de nous surveiller et de comprendre nos sentiments intimes mieux que nous, ce qui leur permettra de nous manipuler étroitement. Du reste déjà aujourd’hui dans l’une de nos tâches les plus importantes, la recherche d’informations dignes de foi, nous ne cherchons plus les informations comme par le passé, nous googlisons en faisant confiance aux algorithmes de recherche de Google ou d’autres banques de données.
En Suisse selon les cantons, un cursus scolaire obligatoire dure 9 à 12 ans. L'école joue un rôle essentiel dans la socialisation et la résilience des jeunes. A l’école, qui doit aussi être chez nous l’école de la démocratie directe, l’État-nation et la société peuvent exercer sur les jeunes l’influence la plus longue et la plus durable, préparer le terrain aux futurs citoyens démocrates, les rendre responsables et résilients, les préparer à se former dans une profession, les préparer à leur vie d’adulte dans notre société et dans leur future métier, ce qui est finalement et socialement pour de nombreux élèves, à observer leurs parents et leurs proches, plus important que la transmission de compétences en algèbre.
Une des préoccupations principales de l’école doit être la promotion d’une identité culturelle et d’un statut social démocratique et patriotique. Il est évident, quoiqu’en dise certains, que l’école ne peut pas et ne doit pas remplacer l’éducation et la formation données au foyer par les parents qui, eux aussi et plus que tout autres, ont l’obligation de communiquer nos valeurs démocratiques, notre éthique et un sentiment d’appartenance à notre Etat-nation. L’école doit d’avantage s’investir dans le travail avec les parents et vis versa. Dès le début de la scolarité les enseignants doivent mettre le doigt sur les parents patriarcaux et sexistes accueillis d’autres cultures et clarifier la situation afin que ces parents comprennent que notre société suisse et ses écoles sont une magnifique opportunité pour leurs enfants et pas un danger. Cela nécessite éducation, assimilation obligatoire, cours de langue, enseignement moral et religieux pluri-confessionnel et inter-religieux obligatoire, ne serait-ce que pour éviter de créer une génération Allah de jeunes mal assimilés et disposés à être radicalisés. Les enseignants dans les établissements difficiles, c’est-à-dire qui affrontent chaque jour pas seulement un mais plusieurs enfants mal élevés, le savent trop bien !
À l’heure actuelle, trop d’enseignants et d’écoles privilégient l’accumulation d’informations et confondent intelligence et conscience. L’intelligence et la conscience ( laquelle reste encore absente de l’intelligence artificielle ) sont très différentes. L’intelligence est la capacité de résoudre des problèmes, la conscience est la capacité d’éprouver de la douleur, de la joie, du plaisir, de l’amour de l’indignation et de la colère. Nous avons tendance à les confondre parce que, chez les humains et les autres mammifères, l’intelligence va de pair avec la conscience. Donner trop d’informations à leurs élèves est la dernière chose que doit faire un enseignant du XXI ème siècle. Les élèves en ingurgitent déjà beaucoup trop. Il leur faut plutôt apprendre à en dégager le sens, à distinguer l’important de l’insignifiant, le vrai du faux et surtout à assembler les multiples informations en une vision d’ensemble de notre société, de notre patrie, de notre histoire, de nos mythes et du monde. Dans notre monde inondé d’informations de peu de valeurs, surtout à la télévision et dans les médias de masse qui répètent les mêmes inepties jour après jour, notre pouvoir appartient à la clarté et au vérifiable. Depuis sa reprise en main par Khomeini et sa réislamisation l’islam profite de cette inondation d’informations, de notre manque de clarté et du fait que nous n’affirmons pas nos propres valeurs et vertus avec beaucoup plus de fermeté.
Plutôt que d’inonder les élèves d’informations, les enseignants doivent être de vrais enseignants démocrates formateurs, convaincus des recommandations telles que celles de la Déclaration des Principes sur la liberté académique et la scolarité, publiée en 1915 par l'Association américaine des professeurs d’université. Elle stipule clairement et avec justesse : « La fonction d'un membre du corps professoral dans une démocratie n’est pas d'endoctriner ses élèves avec des conclusions toute faites sur des sujets controversés. Le membre du corps professoral est censé former les étudiants à penser par eux-mêmes et leur fournir l'accès aux matériaux dont ils ont besoin si l'on veut qu’ils pensent avec intelligence. Par conséquent, pour les enseignements sur des sujets controversés, on s'attend à ce que le membre du corps professoral soit d'un esprit juste et impartial et qu'il expose avec justesse, sans dépassement ou insinuation, les opinions divergentes d'autres chercheurs. » En d'autres termes, la fonction de l’éducation dans une société démocratique est d'enseigner aux élèves comment penser et analyser, de les faire réfléchir, de les éduquer en les instruisant, de les préparer à leur vie d’adulte et non pas de leur dire quoi penser, de les endoctriner comme le font les systèmes autoritaires, les idéologies partisanes et les éducastreurs.
Adolfo Tomasini, un retraité tessinois ancien directeur d’école fait appel à une fort bonne image à la Suisse dans son article L’unico e fondamentale sens della scuola dell’obbligo ( https://adolfotomasini.ch/wordpress/?p=4805 ). Il souligne que l’école obligatoire doit avoir la même valeur politique et culturelle que la justice et notre armée de milice, c'est-à-dire des institutions qui ne peuvent pas poursuivre des intérêts individuels et partisans. De plus, il rappelle que l’instruction publique obligatoire ne doit pas obéir aux lois du marché parce que sa finalité n’est pas de former des professionnels ; son but est différent et plus noble: éduquer tous les citoyens de demain en faisant que, par l’instruction donnée et la méritocratie, tous les jeunes de 15 à16 ans atteignent le maximum de leurs possibilités culturelles et intellectuelles dans le contexte social, familial, économique, culturel et historique de notre pays.
Bien trop souvent, dès leur naissance, riches, pauvres et tout particulièrement les musulmans, subissent un lavage de cerveau. On apprend aux riches à mépriser les pauvres, aux pauvres à mépriser leurs véritables intérêts, aux musulmans à nous mépriser nous les mécréants et à croire qu’ils sont les meilleurs de tous parce que leur ersatz de religion et leur oumma seraient les suprêmes. En réalité, aucun peuple n’a été choisi par Dieu ou Allah pour être le seul et meilleur peuple élu en ce monde ! Se croire les meilleurs du monde du VII ème au XXI ème siècle, ce n’est pas que de l’arrogance de musulmans, c’est être infantile. Dans toutes les religions et cultures, les enfants se croient le centre du monde et s’intéressent assez peu aux situations et aux sentiments des autres. La plupart des gens correctement élevés et tant soit peu équilibrés se défont de cet égocentrisme infantile, même si des monothéistes et des élus comme Macron, Obama ou Hitler avec leur complexe du sauveur dénommé aussi complexe du messie s’y accrochent jusqu’au jour de leur mort. Les fidèles adeptes de chaque religion monothéiste, de chaque idéologie sont convaincus que seule la leur est vraie. Les fidèles de quelle religion/idéologie ont-ils raison ?
L’Intelligence artificielle, dite IA pour faire moderne, après avoir surpassé les hommes aux échecs, commence déjà à surpasser les hommes dans leur compréhension des sentiments et des émotions humaines. En possédant deux capacités non humaines devenues capitales soit la connectivité et l’actualisation, elle est déjà sur le point de pirater les humains et de nous surpasser dans des compétences qui jusqu’ici nous étaient propres. L’Intelligence artificielle aidera à former de meilleurs détectives, banquiers, soldats, avocats, comptables, pharmaciens, médecins… et des voitures autonomes plus sûres. Elle aidera aussi à créer de nouveaux emplois humains, alors que, actuellement, c’est si difficile de reconvertir des chômeurs pour les occuper dans d’autres emplois. Elle nous hackera et hackera nos petits enfants qui, bien trop souvent, sont déjà endoctrinés dans des écoles du passé par une majorité d’enseignants d’idéologie socialiste.
Que devrions-nous donc mieux enseigner dans nos écoles suisses ? La fonction de l’éducation dans une société démocratique est d'enseigner aux élèves comment penser, de les éduquer en les instruisant, de les préparer à leur vie d’adulte dans notre Etat-nation et non pas de leur dire quoi penser ou de les endoctriner. Parce que lire, écrire et compter sont insuffisants de nos jours, les écoles devraient compléter leur programme en enseignant les quatre C beaucoup mieux que nous le faisons déjà en Suisse ( https://www.youtube.com/watch?v=QrEEVZa3f98 ) :
- pensée Critique et résolution de problèmes
- Créativité
- Communication ( plusieurs langues incluses )
- Collaboration et innovation
En utilisant les méthodes pédagogiques interactives ( interrogative, active et démonstrative ) l’école doit aussi communiquer, sans idéologie mais avec patriotisme, des connaissances critiques fondées concernant le présent politique, l’histoire qui est des plus importantes, les conflits, les points critiques et les événements qui se déroulent actuellement dans le monde. Aujourd'hui, les jeunes ont plus que jamais besoin de poser des questions, de faire preuve d'empathie vis-à-vis d'autres situations que la leur propre, de remettre en question des faits supposés immuables, de comprendre que les perspectives peuvent changer, qu’ils devront un jour changer de compétences et de métier.
L’école, tout comme les parents du reste, doit beaucoup mieux enseigner la pensée critique. Débattre doit d’avantage faire partie de tout cursus scolaire et universitaire. Débattre entraîne la réflexion, l'équité et la capacité de communiquer. Partout où la pensée critique fait défaut, la radicalisation est devenue un champ de mines, non seulement dans les familles musulmanes autoritaires et patriarcales, mais également dans les écoles et les universités où la pensée critique fait défaut. Enseigner en histoire, en politique, en éthique, en sciences naturelles et sociales,en écologie, etc, implique l'apprentissage systématique du débat, par exemple en commençant par le modèle de l’école britannique. La critique, le raisonnement, la pondération, la recherche de la vérité et d’un consensus aident les élèves puis les étudiants à penser de manière autonome et critique. Dès l’école primaire, débattre est un apprentissage social, factuel et émotionnel très important.
Il ne faut plus que des élèves en fin de scolarité obligatoire soient incapables d’écrire un essai, une lettre de motivation, leur curriculum vitae, de prendre et de défendre leur propre position, d’interpréter, de commenter, de discuter, de débattre, de se faire manipuler sans résistance. Ce n’est pas parce que, à la maison, dans le milieu patriarcal musulman en particulier, on ne les a pas autorisés ou encouragés à remettre en question et à débattre, qu’on ne doit pas le leur enseigner à l’école obligatoire.
Outre noyer les élèves sous un flot d’informations, la plupart de nos écoles attachent encore trop d’importance à donner aux élèves un ensemble de compétences prédéterminées sans leur apprendre par exemple à changer, à faire face aux duretés de la vie et à manager le stress. Les écoles devraient minimiser l’importance de certaines compétences techniques et privilégier les compétences générales indispensables dans la vie quotidienne et la vie professionnelle. Très bientôt, les plus importantes de toutes les compétences seront la capacité d’affronter le changement, d’apprendre des choses nouvelles jusqu’à la retraite et de préserver son équilibre mental et émotionnel dans des situations peu familières, renouvelées, stressantes et manipulatrices. Pour être à la hauteur du monde futur, il faudra non seulement que ces élèves devenus adultes inventent des idées, des processus et des produits, mais d’abord et avant tout qu’ils se réinventent eux-même sans cesse pour changer parce que la seule certitude future dans notre société, c’est le changement, très souvent changement exigeant un effort intense et lié à plus de tribulations, plus de stress, même plus de souffrances. L’environnement socio-éducatif des enfants doit les conditionner dans ce sens. Ce n’est pas en abandonnant la méritocratie des notes scolaires et en remplaçant des examens universitaires oraux élitistes et stressants par des questions à choix multiples qu’on s’y prépare !
Déjà de nos jours, peu de collaborateurs peuvent espérer faire le même travail toute leur vie. Dans une génération l’idée d’un emploi à vie ou d’une profession à vie risque bien d’être historique. L’homme et la femme moyens auront-il la force émotionnelle, l’énergie, l’entraînement, l’éducation, la ténacité et la résilience nécessaires pour vivre de perpétuels bouleversements et faire face au stress et aux contraintes de la vie ? Encore bien d’avantage que de nos jours, s’occuper d’un enfant, l’éduquer, le former et l’instruire seront les tâches les plus importantes et exigeantes de ses parents, de toute société, de tout Etat-nation souverain.
Que feront les pays musulmans les moins riches quand plus personne n’aura besoin de leurs travailleurs non qualifiés ou au SMIC alors qu’ils ont un misérable système éducatif du passé, système incapable de leur apprendre les compétences nouvelles et nécessaires pour s’adapter au marché des nouvelles professions ? Le coran est, depuis XIV siècles, un manuel d’enseignement nul contenant une montagne de textes misogynes, esclavagistes, asservisseurs, ségrégationnistes, anti-démocratiques, criminalisant la liberté de croyance et d’expression, haineux, menaçants, infantilisants, organisés sans chronologie ni thématique mais avec schizophrénie. Le coran n’enseigne que obéissance et soumission au messager Mahomet, ce gourou de secte qui s’est inventé un rôle de prophète divin et ne recommande à ses ouailles que d’éviter de désobéir à ce chef spirituel autoritaire, liberticide, communautariste et sectariste que je n’aurais jamais voulu avoir comme professeur de bonne conduite et de moralité à qui confier l’éducation de nos enfants. Qui trouvera, honnêtement, parmi les 6237 versets « juridiques » du coran le moindre verset positif moralement, le moindre verset positif intellectuellement ? La dévotion exaltée et sectaire pour le texte du coran dans les écoles récitales islamiques ( Buchstabenglauben ou littéralisme ), qui existent dans tous les pays musulmans et emploient, pour lire et réciter le coran en arabe classique incompréhensible pour la quasi totalité des musulmans, le qiraat une technique spécialement efficace pour endoctriner, formater et laver le cerveau des jeunes musulmans impressionnables, n’est qu’un enseignement doctrinaire moyenâgeux à l’opposé de l’enseignement des quatre C: pensée Critique, Créativité, Communication et Collaboration.
Voici une brève comparaison:
- Pour l’islam, le but de l’éducation reste du VII ème siècle à nos jours d’être soumis aux textes sacro-saints, éternels et immuables de l’islam-idéologie et à ses guides doctrinaires, ne pas penser par soi-même et imiter le modèle du bien loué messager Mahomet : savoir = écritures x soumission.
- Au Moyen Age en Europe, le but de l’éducation catholique était d’inculquer l’obéissance, de mémoriser les textes sacrés, d’étudier et de respecter les traditions : savoir = écritures ×
- Pour l’éducation humaniste et scientifique moderne mais guère pour l’humanisme socialiste, il s’agit d’apprendre aux élèves à penser par eux-mêmes : savoir = données empiriques × mathématiques et savoir éthique = expériences × sensibilité.
Aujourd’hui il nous faut enseigner les quatre C : pensée Critique, Créativité, Communication et Collaboration, aussi pour éviter de laisser se répandre en Suisse une jeune et problématique génération d’Allah comme c’est le cas tout particulièrement en Allemagne et France. L’enseignement des quatre C doit aussi être pratiqué par les enseignants de mathématiques. On ne soulignera jamais assez l’importance des mathématiques dans le savoir parce qu’une nation ne doit jamais plus manquer de professionnels talentueux en STIM : Science, Technologie, Ingénierie et Mathématiques. Ce dont notre pays a vraiment besoin maintenant sont des STIM ( STEM en anglais ).
Apprendre aux enfants et aux étudiants à affronter l’inconnu et le changement, à garder leur équilibre mental et émotionnel, à ne pas tomber dès après l’adolescence et l’apprentissage d’un métier dans cette fatigue physique et psychique intense, générée par des sentiments d’impuissance et de désespoir qu’est le burn-out, est beaucoup plus difficile que leur enseigner une équation, les causes de la Guerre froide, la comptabilité, les langues étrangères ou la sexualité. La résilience ne s’apprend pas en lisant un texte scolaire, un texte doctrinaire ou en écoutant un exposé après l’autre. La résilience ne s’apprend pas par la méthode pédagogique dite affirmative ou expositive ou magistrale d’enseignants gauchisants ou pleurnichards, de parents hypochondriaques sans autorité ou de doctrinaires de l’islam-idéologie; tous manquent bien trop souvent de la souplesse mentale, des techniques pédagogiques et sociales et d’autorité naturelle pour faire face, avec leurs élèves, au stress et au changement que requiert le XXIe siècle, parce qu’ils sont eux-même un produit d’un système éducatif ou idéologique du passé.
Pour la majorité des individus, le changement est presque toujours stressant et fait même souffrir. Aujourd’hui déjà, passé un certain âge, la plupart des gens n’aiment pas changer, ont peur du changement, évitent le changement. Très bientôt, pour conserver des opportunités économiques et sociales, tout adulte de plus devra être capable d’apprendre sans cesse beaucoup et des aptitudes bien différentes. Il devra se remettre en question. Il devra se réinventer constamment. Il devra posséder beaucoup de souplesse mentale et un fort équilibre émotionnel. Ce qui n’est pas du tout le cas de tous ces zombies tant enfants-rois, adolescents et d’âge mûr qui traversent les rues, leur attention et leurs doigts collés à leur smartphone. Est-ce ces addicts qui dominent la technologie, ou la technologie qui les domine ? En outre, qui peut croire qu’avec leur smartphone ces accros tissent des relations harmonieuses les aidant à acquérir la résilience nécessaire pour affronter le stress, les contraintes futures de leur vie et prévenir un burn-out ou un suicide ? Surtout que, d’après diverses estimations, pour embellir la réalité, plus des trois quarts du moi narrateur des gens mentent sur les réseaux sociaux. La majorité des êtres humains s’y comportent ainsi comme des charlatans, à des degrés divers évidemment. Par conséquent il est devenu coutumier et à peu près acceptable, de se comporter en imposteur sur les réseaux sociaux. De menteur à corrupteur et corrompu le chemin est court.
Google et Amazon souhaitent atteindre le stade où nous pourrons tout leur demander, tout consommer, en leur abandonnant nos données personnelles intimes et où ils nous donneront la meilleure réponse du monde. Facebook dit Fesse de plouc, Google, Amazon, etc, appliquent tous le modèle économique des dits marchands d’attention : ils nous offrent des informations, des services et des divertissements gratuits pour attirer puis subjuguer notre attention, après quoi ils vendent aux annonceurs publicitaires, aux politiciens et autres manipulateurs tout ce qu’ils ont appris sur nous. Vous, moi et l’enfant-roi ne sommes plus leurs clients, nous sommes devenus leurs produits. Apple, Google, Baidu, Microsoft et Facebook connaissent si bien les humains qu’ils sont capables de hacker ces accros du smartphone et de Whatsapp. Cette info-bio-technologie du futur ne sera pas à notre service. Rapidement, c’est elle qui nous dominera. L’ère du piratage de nos ordinateurs, de nos smartphones, de nos comptes en banque, de nos identités est en passe de devenir l’ère du hacking des êtres humains. La technologie fait de nous leurs produits, leurs objets. Nous sommes en train de devenir incapables de nous écouter nous-même, de nous connaître nous-même, de changer par nous-même parce que ces machins virtuels à la mode comme Facebook sont des substituts pauvres et creux de la réalité. Nous sommes manipulés par les algorithmes des vendeurs d’information qui ont comme objectif de comprendre ce qui se passe en nous mieux que nous nous comprenons. Progressivement, ils nous manipuleront sans que nous puissions faire grand chose. Ils prennent le pouvoir alors que c’est nous qui devrions garder l’autorité de nous réinventer et de prendre des décisions. Pour cela nous devons garder un certain contrôle sur notre existence personnelle, notre intimité, notre autorité, notre avenir. Nous et nos écoles obligatoires devons progresser plus vite que les algorithmes des vendeurs d’information, plus vite que Google et Baidu, plus vite que l’État-providence manipulateur et confiscatoire, nous devons aussi conserver notre belle avance sur le coran et les hadiths de Mahomet. Scientifiques, entreprises, pouvoirs publics, idéologies, en particulier l’islam-idéologie salafiste sont en train d’apprendre à pirater notre cerveau, à pirater les cerveaux de la génération Allah. Nous devons apprendre à nous connaître avant qu’eux ne nous connaissent trop. Nous ferions mieux de comprendre ce qui se passe dans nos esprits avant que les algorithmes des vendeurs d’informations ne décident de tout à notre place, pensent à notre place, votent à notre place !
Depuis une génération, les référendums, les initiatives et les élections sont devenus davantage une affaire de sentiments, que de rationalité humaine. Ils ne portent malheureusement guère sur ce que nous pensons après avoir observé, analysé et réfléchi mais concernent bien trop ce que les votants ressentent. Depuis des millénaires, nos sentiments, comme ceux de tous les mammifères, sont des mécanismes biochimiques pour calculer rapidement nos probabilités de fuite, de survie et de reproduction. Les sentiments ne se fondent pas sur l’intuition, l’inspiration, l’égalité ou la liberté, mais reposent sur un processus rapide du calcul algorithmique qui se produit en deçà de notre seuil de conscience.
Un algorithme est un ensemble méthodique de règles opératoire et d’étapes que l’on peut utiliser pour faire des calculs, résoudre des problèmes et prendre des décisions. Ce terme algorithme vient du grand mathématicien père de l’algèbre Ibn Khawarizmi, un mathématicien Perse de génie décédé aux environs de 850. Son nom latinisé est à l’origine du mot algorithme. Un algorithme n’est pas un calcul particulier fait par un homme, son chien ou un singe, mais une méthode qu’ils appliquent pour faire un calcul décisionnel. La soumission à l’islam-idéologie a pour conséquence que les fervents musulmans pratiquants recourent à des algorithmes beaucoup plus simples que nos ancêtres chasseurs-cueilleurs et souvent leurs arbres décisionnels ne sont que de simples suites séquentielles. Tout algorithme peut être traduit, grâce à un langage de programmation, en un programme exécutable par un ordinateur. Les futurs algorithmes savants de l’internet-de-tous-les-objets dicteront, beaucoup plus facilement aux musulmans qu’à nous humanistes libéraux, des décisions : qui épouser, quelle carrière embrasser, à qui se soumettre, quel jugement ou condamnation émettre, quel jeune de la génération Allah radicaliser et comment, quel placement financier faire et s’il faut ou non faire le djihad, comment et contre qui.
Le jour où quelqu’un de Facebook, Google, Baidu, Microsoft ou Tencent pourra pirater et manipuler nos sentiments, notre démocratie directe se transformera en un théâtre …de marionnettes. Nos élèves y seront-ils préparés ? Adultes pourront-ils l’éviter ? Les élections, déjà dénommées fiestas electorales ( fêtes électorales ) en Amérique latine. et les initiatives de ces derniers temps à travers le monde, également en Suisse, nous en ont déjà donné un avant-goût, avec des « hackers » qui ont appris à manipuler les électeurs en analysant les données les concernant, en exploitant leurs préjugés, en exploitant ou en manipulant des enquêtes d’opinion partiales et surtout les émotions des votants. Le jour où l’Intelligence artificielle permettra à des politiciens manipulateurs et déshonnêtes de pouvoir appuyer directement sur les boutons de commande de nos émotions, engendrant désir, volonté, angoisse, haine, joie, satisfaction angélique, exhibition, indignation et ennui, la politique ne sera plus qu’un cirque émotionnel et notre démocratie directe une dictature. Nos petits-enfants, surtout s’ils sont des enfants-rois déculturalisés, mal éduqués et endoctrinés seront-ils prêts à ne pas se laisser manipuler? Seront-ils résilients et prêts à ne pas faire une dépression, un suicide ou un burn-out pour peu?
Mères, pères et enseignants militons pour préparer beaucoup mieux nos jeunes pour leur avenir.
Dr. méd. Dominique Schwander
mars 2019
@mahometsauce
Si vous étiez à l’écoute des enseignants de l’école obligatoire et observiez nos sociétés européennes:
1. Vous feriez les mêmes constats:
– Les enfants de parents patriarcaux et sexistes accueillis d’autres cultures sont problématiques dans nos écoles obligatoires.
– Depuis la réislamisation dès 1979, l’islam profite de notre inondation d’informations, de notre manque de clarté et du fait que nous n’affirmons pas nos propres valeurs et vertus avec beaucoup plus de fermeté.
– Aucun peuple n’a été choisi par Dieu ou Allah pour être le seul et meilleur peuple élu en ce monde. C’est être infantile que de se croire le meilleur!
– Pour l’islam, le but de l’éducation reste du VII ème siècle à nos jours d’être soumis aux textes sacro-saints, éternels et immuables de l’islam-idéologie et à ses guides doctrinaires, ne pas penser par soi-même et imiter le modèle du bien loué messager Mahomet: savoir = écritures x soumission.
– La soumission à l’islam-idéologie a pour conséquence que les fervents musulmans pratiquants recourent à des algorithmes beaucoup plus simples que nos ancêtres chasseurs-cueilleurs et souvent leurs arbres décisionnels ne sont que de simples suites séquentielles.
2. Vous vous poseriez les mêmes questions:
– Que feront les pays musulmans les moins riches avec leur misérable système éducatif du passé et ce manuel d’enseignement qu’est le coran?
-Qui voudrait avoir Mahomet comme professeur de bonne conduite et de moralité à qui confier l’éducation de ses enfants?
3. Vous désireriez la même chose:
– Progresser plus vite et conserver notre belle avance sur le coran et les hadiths de Mahomet.
– Enseigner les quatre C beaucoup mieux que nous le faisons déjà en Suisse:
– pensée Critique et résolution de problèmes
– Créativité
– Communication (plusieurs langues incluses
– Collaboration et innovation
Le postulat de départ est intéressant, mais j’ai l’impression que vous ne pouvez pas vous empêcher de taper sur les musulmans à chacune de vos interventions. Ça devient agaçant à force.
Merci pour cette réflexion à propos de l’ école et l’ éducation, Monsieur Schwander. J’ apprécie d’ autant plus que j’ ai passé plus de 40 ans dans la profession, mais pas dans les 78 % ! En temps que personne de terrain ( doublement si je peux me permettre , étant issue des gens de la terre, comme on disait jadis, ceux qui cultivent et qui m’ ont beaucoup appris …) je confirme.
Ces temps, le bal des p’tits zoiseaux, les perce-neiges, les premières branches fleuries…
Et les gamins? Ils sont où les enfants?
Comme d’ hab., indécollables de leur console, tablette, etc…pour bon nombre d’ entre eux.
L’ Emerveillement, le goût de la découverte, source de Créativité, bien sûr!
J’ aimerais tellement voir les enfants guetter la nature qui se réveille !
Ringuard? L’ avenir nous le dira.
C’est exactement pour ça que je REFUSE CATÉGORIQUEMENT DE PAYER LA REDEVANCE RADIO TV.
Je ne l’ai jamais payée, et c’est pas ces voleurs de Serafe qui me feront changer d’avis!
J’ai envoyé péter Billag pendant 30 ans, sa vas pas s’arrêter maintenant!
Pas de tv pas de radio, pas de redevance!
Je consomme pas, je paye pas… Point barre. Je vous invite a faire pareil!
”Aujourd’hui il nous faut enseigner les quatre C : pensée Critique, Créativité, Communication et Collaboration, aussi pour éviter de laisser se répandre en Suisse une jeune et problématique génération d’Allah comme c’est le cas tout particulièrement en Allemagne et France.”
– L’enseignement dans notre pays est trop importante pour que nos adolescents soient formatés par une secte ou une tendance politique (78% des enseignants votes à gôche).
https://lesobservateurs.ch/2017/04/27/neutralite-dans-leducation-nationale-78-des-enseignants-ont-vote-a-gauche-ou-a-lextreme-gauche/
L’information n’a jamais autant circulé (vitesse et quantité). On n’apprend PAS aux élèves de trier le bon grain de l’ivraie !
Ils sont noyés sous des tonnes d’info et risquent de ne pas faire la différence entre une info trafiquée (Fake News) et une info véritable.
On n’apprend pas à notre jeunesse les risques liés à la diffusion à grande échelle de fausses informations, trafiquées par les lobby de l’info. On n’apprend pas à comparer les tendances politiques (gauche-droite, Verts soi-disant écologiques ou autres tendances extrêmes !)
Le piège est en place pour que la majorité de jeunes aient leur cerveau formaté, lobotomisé et accepte sans réfléchir par soi-même de la véracité ou de l’intégrité de l’information transmise.
N’oublions pas que la QUALITÉ et la diversité de l’information prime sur la quantité ou la rapidité !
Le monopole d’État de l’information (genre Pravda) et la concentration des médias en mains de seulement quelques groupes d’influence, met à mal la diffusion de la VRAIE INFORMATION !
Notre Démocratie est basée sur le respect de tous, nous n’avons pas besoin de moutons !