Genève : les régularisations pourront continuer

Cenator : C’est un tir groupé des médias pour défendre la régularisation des sans-papiers.
Pour la RTS (émissions Forum à la radio et 19h30 à la télévision), les conclusions des études menées sur les régularisés prouvent que c’est la bonne voie à suivre.
Cela va-t-il faire un appel d’air ? Jamais de la vie ! répondent les politicards et les prestitués, en chœur avec les chercheurs en sciences sociales.

L’association subventionnée créée ad hoc pour préparer les dossiers en vue de la régularisation des sans-papiers, donc co-financée par les contribuables, nous assure que tout prouve que les régularisés s’assument financièrement.
Ils ont tout intérêt de raconter ces mensonges : il en va de leurs jobs, une vraie planque, payée selon les barèmes de l’Etat. De plus, ce genre de job est un excellent tremplin  vers une carrière politique pour les masses d’étudiants que les écoles sociales et leurs dérivés recrachent annuellement, avec leur jeunesse au cerveau drillé pour sauver l’humanité avec l’argent des contribuables.

La vérité est celle-ci :

1) Aucun de ces régularisés n’a encore reçu le permis C, permis qui permet de se mettre à l’aide sociale ad aeternum tout en devenant inexpulsables.

Il faudrait que nos politicards cessent de nous mentir ! Pourquoi une personne se casserait-elle à faire un travail ingrat si l’aide sociale lui fournit des conditions au moins aussi bonnes sans travailler ? En plus, nous savons très bien que de nombreux assistés arrondissent ensuite leur « rente » en travaillant... de nouveau dans la clandestinité.

2) Lorsque Mauro Poggia embobine la population en parlant des bénéfices de la régularisation – essentiellement des familles et majoritairement des femmes de ménage – bénéfices obtenus selon Poggia par les cotisations sociales perçues, c’est un vrai scandale !

Dans ces situations, il faut compter combien paye la collectivité – pour une famille par exemple nicaraguayenne avec 3 enfants – au titre du complément de revenu, du subside à l’assurance-maladie, du logement subventionné. Il faut compter aussi la masse des salaires des services sociaux qui se jettent sur cette nouvelle cause pour satisfaire leur désir de se sentir du bon côté. Ces régularisés ne payeront jamais assez d’impôts pour couvrir ne serait-ce qu’une petite partie de ce qu’ils coûteront globalement, à vie, à la collectivité. Et que fera l’Etat si l’un des conjoints divorce ou se retrouve au chômage ? Aucune expulsion ne serait possible !

Michaël Buffat dénonce le risque d’un appel d’air, mais il sera si massivement démenti par les « spécialistes » que sa parole ne pèsera pas lourd. En effet, ce ne sera pas un appel d’air… mais une tempête continue qui ira crescendo.

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20minutes.ch

Genève : les régularisations pourront continuer

Article de Léonard Boissonnas

Plus de 1800 sans-papiers ont pu se régulariser au bout du lac avec l'opération Papyrus. Ils pourront encore le faire sous certaines conditions.

Papyrus a permis aussi de lutter contre le travail au noir dans certains secteurs comme l'économie domestique, l'hôtellerie-restauration ou le bâtiment.

Le projet pilote s'est terminé le 31 décembre […]

Lancée en février 2017, l'opération Papyrus avait pour but de mettre fin à une «hypocrisie» en régularisant les étrangers sans-papiers qui travaillent à Genève sous certaines conditions: 5 ans de séjour pour les familles et 10 ans pour les célibataires, connaissances de base de la langue, ou indépendance financière.

Pas d'appel d'air
En près de deux ans, 1846 personnes ont pu se régulariser, dont 365 familles. Quelque 1750 dossiers sont encore en cours d'examen. […]

Bilan définitif à l'automne
[…]

Article entier : https://m.20min.ch/ro/news/geneve/story/les-regularisations-pourront-continuer-11135258

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Résumés Cenator :

RTS, Forum, débat entre Mauro Poggia et Michaël Buffat

Le bilan bidon intermédiaire vient d’être publié deux ans après le début de l’opération Papyrus et c’est un succès, les associations pro-invasionnistes et Mauro Poggia réclament déjà un élargissement des régularisations aux 75'000 clandestins de toute la Suisse. Le seul souci du camp du bien : la généralisation ne sera peut-être pas aussi facile avec Karin Keller-Sutter qu’avec Simonetta Sommaruga.

A Genève, seules 3500 personnes sont concernés sur les « plus de 10'000 »  sans-papiers. Ce sont en principe des employées de maison.

Les critères de régularisation ont été durcis. A présent, l’ensemble des membres de la famille doivent avoir vécu comme clandestins à Genève depuis 5 ans ! Vous imaginez : faire venir tous les membres de famille et en plus les loger à Genève, en vue de l’obtention du permis B ! De toute évidence, les enfants seront scolarisés, et les subsides octroyés, bien avant même la régularisation. Et cela s’appelle un durcissement ! Un niveau de français 2 sera également requis, ce qui signifie que ces gens seront dépendants des assistants sociaux pour remplir le moindre document. Seules 7 personnes ont été refusées sur l’ensemble des demandes, ce qui prouve l’extrême sévérité des autorités ! Poggia affirme que les éconduits devaient quitter la Suisse. Nous savons qu’ils resteront très certainement!

Poggia clame que c’est aussi un succès financier pour la société. L’opération Papyrus, c’est du gagnant-gagnant. Avec la régularisation, les salaires sont adaptés, il n’y a plus de sous-enchère salariale. Les cotisations sociales sont encaissées.

Michaël Buffat refuse de faire de Papyrus un modèle. Il dit que cela donne un mauvais signal à tous ceux qui veulent venir en Suisse d’une manière illégale. Ils savent qu’au bout de 5 ans, en contournant les lois, ils pourront rester. C’est simplement l’abandon de l’État de droit.

La journaliste défend la cause Papyrus et rappelle aux auditeurs que les clandestins sont là d’une manière grise de toute façon.

Buffat ne s’en laisse pas conter, il persiste dans l’idée que ces clandestins doivent partir et leurs employeurs être sévèrement punis.

Poggia contre-attaque : C’est l’expression d’une totale hypocrisie !

Il y a en Suisse 76'000 personnes clandestines et personne ne veut faire leurs travaux.

D’ailleurs la loi permet la régularisation de ces clandestins car ils sont intégrés et totalement adaptés.

Buffat demande pourquoi une fois légalisés ils voudront continuer à faire leur travail pénible et mal payé.

Poggia répond hypocritement qu’ils sont restés durant ces deux ans, donc ils resteront aussi après. Sans mentionner qu’avec le permis B, ils n’ont pas encore l’autorisation de rester définitivement en Suisse, autorisation qu’ils auront avec le permis C.

Et Poggia, rompu à l’exercice de la taqiyya, continue : Les clandestins répondent à un besoin de l’économie, l’économie suisse en a besoin.

Buffat affirme qu’on peut trouver ces employés avec permis, il y a des lois pour cela, un salaire minimal, les salaires doivent être respectés. Par les régularisations, les autorités donnent un mauvais signal, et créent un appel d’air.

Céline Amaudruz a déposé une motion pour que les régularisations soient interdites. Elle demande qu’on applique la législation existante.

Buffat dit également qu’il demande juste qu’on n’applique que les lois. La régularisation de masse encourage la venue des illégaux. Les autres cantons sont conscients du danger de l’appel d’air.

Poggia répond que l’Etat maîtrise la situation par le contrôle des particuliers et qu’on peut conclure, d’après le monitoring, qu’il n’y a pas eu d’appel d’air en 2018.

Buffat répète qu’il est trop tôt pour le dire, et ajoute qu’on n’a pas encore les chiffres, les infos sur les familles, etc. On ne peut pas régulariser les 15'000 clandestins qu’il y a à Genève       .

Poggia parle des 610 enfants de clandestins scolarisés à Genève qui sont les Suisses de demain ! Son seul souci est de savoir si K. Keller-Suter sera aussi coulante que S. Sommauga.

Il ajoute que de toute façon, l’agitation de l’opposition est inutile, les régularisations seront faites. Il rassure les auditeurs : à l’avenir, on va être plus strict dans les critères, mais l’opération Papyrus sera introduite, comme ce projet pilote genevois, au niveau national.

Poggia et la journaliste de Forum demandent à Buffat: Qu’est-ce qu’on va faire avec une personne de 60-65 ans qui a passé une grande partie de sa vie chez nous et ne peut plus travailler. On devrait la renvoyer chez elle, c’est ce que vous voulez, M. Buffat ?  Buffat répète qu’il ne veut pas d’appel d’air.

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RTS, TJ de 19 h 30

Rochebin parle du bilan d’étape de l’opération Papyrus, lancée par Pierre Maudet et dirigée maintenant par Mauro Poggia.

Il y a à Genève 13'000 personnes sans permis de séjour. Le projet pilote a réussi plus de 1800 régularisations, et 1700 restent à venir.

Poggia affirme que cela signifie rendre la dignité aux clandestins et en même temps encaisser les cotisations sociales.

Ces régularisés ont tous leur indépendance financière. Le projet est aussi une lutte contre le travail au noir.

Charles Apothéloz se demande si Karin Keller-Suter poursuivra la même politique que Simonetta Sommaruga.

Les critiques ont été vives, avec la crainte de créer un appel d’air, craintes totalement infondées selon l’association CCSI, qui prépare les dossiers de régularisation.

Marianne Halle, responsable du CCSI* : Au contraire, il y a eu une baisse de 1% du nombre des clandestins !!!

(Ndlr : le même jour, la RTS parle de 10'000 puis 15'000 puis 13'000 clandestins à Genève. « Droguistes » compris ?)

*(https://ccsi.ch/ : « Le CCSI travaille en faveur des droits des personnes migrantes. Il s'engage pour une société qui traite sur pied d’égalité toutes les personnes qui la composent et la font vivre, quelle que soit leur nationalité d’origine. »)

4 commentaires

  1. Posté par aldo le

    Est-ce Madame P*. fait laver son niqab, toujours dans l’armoire, réservé seulement pour le grand soir, par une régularisée à moins qu’elle soit tellement féministe qu’elle prenne un régularisé ? Pourrait-elle venir tirer incognito à l’Arquebuse avec son mari, munie de cet uniforme anonyme ? Est-que pour des cas spéciaux, les régularisés de Genève le sont aussi pour le travail fourni à leurs esclavagistes subventionnés par les esclaves contribuables, qui possèdent encore une résidence sur France et utilisent ces prestations de soutien ménager pour familles “pauvres” ? Complémentairement aux questions ci-dessus, est-ce que vous croyez que le CEVA et ses millions égarés dans le brouillard des combinards, est sorti de terre par la volonté des Suisses habitant seulement en Suisse ? * Dénomination de fantaisie pour garantir l’anonymat.

  2. Posté par JeanDa le

    Même sans tenir compte de tout le reste décrit ci-dessus, le comble de la bêtise est le suivant : “Papyrus a permis aussi de lutter contre le travail au noir”.
    Le travail au noir prend le boulot de gens régulièrement installés depuis des années dans notre pays qui se retrouvent ainsi au chômage. Alors on veut le combattre.
    La solution trouvée par les gauchistes peu équipés en neurones : Les régulariser. C’est équivalent à peindre le travail au noir en blanc ! Donc plus de travail au noir, magique !
    On lui a changé la couleur, tous les mono-neuronaux sont contents (et fiers) … mais cela n’a pas rendu le boulot à ceux auxquels on l’avait pris !
    Cherchez l’erreur. Le socialisme a toujours et partout causé un appauvrissement considérable de ceux qui l’ont pratiqué. Appauvrissement intellectuel également.

  3. Posté par bonardo le

    Et la Suisse est une démocratie ? Je doute de cela ,pour moi il s`agit simplement d`une tromperie ,vis à vis du peuple ,les clandestins pour moi non pas lieu de séjourner illégalement dans notre pays ,il y a des lois ,et les lois ce n`est pas fait pour des prunes.
    Cela est un appel d`air évident ,il suffit de regarder dans nos villes la population ,c`est flagrant la Suisse est en perdition total ,dommage …….

  4. Posté par Bussy le

    Petite question à ces adeptes de Papyrus : quelle était la raison principale qui faisait que ces clandestins étaient employés ? Une petite idée ?
    Et ceux qui les emploient vont donc adapter les salaires plutôt que licencier et réengager moins cher…. c’est trop beau !
    Et qu’est-ce qu’on va faire avec la personne de 60-65 ans, clandestine, qui n’a peut-être jamais travaillé d’ailleurs, vivant chez d’autres clandestins, et qu’on va régulariser ? Faut se préparer à lui payer l’EMS à 7’000 francs par mois ?
    Maintenant, il y a un point à reconnaître : la majeure partie des clandestins qui veulent être régularisés viennent d’Amérique Central et du Sud et sont des bosseurs, contrairement à d’autres tribus qui arrivent par d’autres voies sans être clandestins et pour lesquels l’unique ambition est de parasiter l’honnête travailleur.
    Dernier point : les lois protègent les faibles, les puissants ayant les moyens de se défendre tout seuls, encourager le non-respect des lois affaibli les faibles…. pensez-y les travailleurs sociaux et autres politiciens adeptes de taqiya au grand coeur !

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