Publié par Dreuz Info le 23 février 2019
Belle description de la présidence Trump, magnifique compte rendu, par Sebastian Gorka, qui prend du recul pour insister sur les fondamentaux du plus grand président de notre temps.
« Quoi qu’il arrive dans les années à venir, écrit l’ancien directeur de la stratégie du président Trump, la politique américaine ne pourra jamais revenir à ce qu’elle était avant le 8 novembre 2016. »
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Pourquoi, vous demandez-vous ? Parce qu’un homme d’affaires culotté du Queens a brisé les médias, brisé Washington D.C., et brisé l' »élite » autoproclamée des deux côtes. Le pieu qu’il leur a enfoncé dans le cœur durera, peu importe qui habite au 1600 Pennsylvania Avenue.
• D’abord, ils se sont moqués de Donald Trump, le candidat. De son apparence, de son comportement, de ses discours outrés.
• Puis, quand il a nettoyé les 16 candidats républicains de l’establishment, ils ont paniqué.
• Le cartel criminel qu’est la machine Clinton a engagé un ancien officier de renseignement britannique – qui détestait Donald Trump l’homme – pour générer un « dossier » de recherche d’opposition farfelue et fallacieuse qui a été utilisé par le département de la Justice et le FBI de Barack Obama – complètement corrompus – pour obtenir sous de faux prétextes un mandat de surveillance afin d’espionner la campagne de son rival.
Mais ils ont échoué.
[...]
Cela fait plus deux ans que la gauche américaine nous promet le scandale qui permettra de destituer Donald Trump. Cela fait plus deux ans que la gauche n’a amorcé que des pétards mouillés et nos médias continuent d’entonner la chanson gauchiste.
Il est quasiment impossible de trouver un article qui ne soit pas à charge de ce président qui, certes, bouscule les conventions mais fait un travail très supérieur à ses 4 ou 5 prédécesseurs dont un récipiendaire du prix Nobel alors qu’il n’avait encore rien fait et qui a continué à ne rien faire durant ses deux mandats.
Le titre lui-même comporte un mot indigeste : LA GAUCHE. Comment peut-on définir cette association de malfaiteurs “la GAUCHE”. La gauche est par essence “humaniste”. IL reste encore “un peu ” de cet humanisme dans nos gauches européennes. Mais en Amérique????
Nous sommes satisfaits que TRUMP ait toutefois donné un bon coup de pied dans cette fourmilière. (et encore, les fourmis sont plus besogneuses, droites et fidèles à leur société).