Cenator : En réalité, Trump a dit qu'il serait préférable pour les Européens de juger ces djihadistes que de les laisser s’infiltrer sur le sol européen sans contrôle.
Le problème est la crétinerie des Européens occidentaux de ne pas les faire exécuter soit par leurs services secrets soit par leurs alliés.
Tous les analystes de la presse de droite sont d'accord avec ce point de vue
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Les ministres européens des Affaires étrangères doivent discuter lundi du sort des djihadistes européens en Syrie. Paris et Berlin refusent d'ores et déjà d'entrer en matière tel quel sur la demande du président américain.
Le président américain Donald Trump a exhorté dimanche les Européens à reprendre leurs centaines de ressortissants détenus en Syrie après avoir rejoint les rangs du groupe Etat islamique (EI). Son appel intervient alors que le groupe djihadiste est sur le point d'être vaincu par l'alliance arabo-kurde des Forces démocratiques syriennes (FDS) dans son dernier fief.
>> Lire: Le difficile retour des familles de djihadistes étrangers en Syrie et en Irak
Le sort de ces étrangers retenus par les forces kurdes n'a toujours pas été tranché. Ils sont Français, Allemands, Irlandais, Italiens, Anglais ou encore Canadiens. Les hommes sont en prison, les femmes et les enfants sont retenus dans des camps de déplacés.
Pas de retours en Allemagne sans garanties
Le ministre allemand des Affaires étrangères a jugé "extrêmement difficile", dimanche soir, d'organiser à ce stade un rapatriement de ces djihadistes européens.
Un retour ne pourrait être possible que si "nous pouvons garantir que ces personnes soient immédiatement envoyées ici devant un tribunal et qu'elles seront mises en détention", a déclaré Heiko Maas sur la première chaîne de télévision allemande ARD. Berlin veut "se concerter avec la France et la Grande-Bretagne (...) sur la façon de procéder", a-t-il encore précisé.
Décisions "au cas par cas" en France
En France, la politique de rapatriement des ressortissants français partis rejoindre l'EI en Syrie continue pour l'instant à se faire au "cas par cas", a déclaré lundi la ministre de la Justice Nicole Belloubet.
"Il y a une situation géopolitique nouvelle qui vient d'être établie avec le retrait des Américains. Pour le moment, nous ne changeons pas de politique", a-t-elle déclaré sur France 2. Une source proche du dossier a évoqué le cas de 150 Français, dont 90 mineurs.
Appel à une solution européenne
En Belgique, le ministre de la Justice Koen Geens a réclamé dimanche une "solution européenne", appelant à "réfléchir tranquillement et regarder ce qui comporte le moins de risques sécuritaires".
Agences/oang
Au cas par cas, cela veut dire tout le monde. Une solution européenne, cela signifie sans solution.
Pas de retour au pays !
Camp de rétention à vie en Syrie ou en Libye.
Ce sont des bombes ambulantes !
Soit on les juge sur place en Syrie et les djihadistes subissent leurs peines (de mort), soit ils seront rapatriés et remis en liberté en Europe, après une peine légère, (on connait la justice qui applique 2 poids 2 mesures) pour mieux commettre leurs attentats !
On en a MARRE de subir les con…eries des politicards et des juges genre ”mur des cons”.