Médias. Campagne de calomnies de la RTS et de l’UE contre la Hongrie… la réponse hongroise

Cenator : Nouvelle diffusée à de nombreuses reprises par la RTS :

« En Hongrie, plusieurs milliers de personnes sont à nouveau descendues dans la rue à Budapest et en province. Il y avait déjà une dizaine de manifestations avant Noël.

Elles dénoncent la loi esclavagiste votée le 12 décembre dernier, qui autorise les chefs d’entreprises à exiger de leurs employés jusqu’à 400 heures supplémentaires par an, tout en les payant 3 ans plus tard. [ndlr : limite autorisée dans l’UE = 416 h].

Quant au gouvernement de Viktor Orban, il continue de dénigrer les manifestations. Selon lui, elles seraient orchestrées par l’homme d’affaire américain Georges Soros. »

RTS, Florence La Bruyère, Budapest.

Sources :

https://www.rts.ch/play/radio/le-journal-de-22h30/audio/le-journal-de-22h30?id=10090237  (2:20-2:54)

https://www.rts.ch/play/radio/le-journal-horaire/audio/manifestations-en-hongrie-contre-la-reforme-de-la-loi-sur-le-travail?id=10091204

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Macron lui-même a annoncé que les élections bruxelloises à venir se joueraient entre son camp et celui d’Orban.

C’est pourquoi l’establishment bruxellois cherche à déstabiliser la Hongrie et utilise l’opposition hongroise, qui a perdu sérieusement des plumes depuis les votations de 2018.

Les manifestations se succèdent, avec des actes de vandalisme de plus en plus violents, et des provocations envers les forces de l’ordre.

Les futures élections européennes du 26.05.2019 se joueront entre la conception d’une Europe à la Macron et celle d’Orban. Le camp d’Orban veut des nations souveraines, un Etat basé sur des valeurs chrétiennes, loin des folies telles que la théorie du genre et, avant toute chose, basé sur le refus de l’immigration de masses extra-européennes, le refus de tout changement de population en Europe, le refus de la construction d’une Union Européenne fédérale à l’image des États-Unis.

Le camp de Macron veut le contraire de tout cela mais un petit imprévu, le mouvement des Gilets Jaunes, est apparu et n’en veut pas. Ainsi, Macron se retrouve face à une bataille sur plusieurs fronts : son propre peuple composé de travailleurs et de patriotes souverainistes à la Orban.

Macron est dépassé et l’UE veut lui venir en aide. C’est pourquoi, tous les prétextes sont bons pour affaiblir Orban et pour tenter de déstabiliser la Hongrie dans le but de renverser le gouvernement en place et de le remplacer comme cela a été fait en Ukraine, en Slovénie… Tout ceci, non seulement pour faire diversion sur les difficultés actuelles du gouvernement de Macron mais pour discréditer et affaiblir la Hongrie et le modèle d’indépendance par rapport à Bruxelles qu’elle incarne. Pour cela, tout prétexte fait l’affaire... le dernier étant la réforme du droit du travail en Hongrie que l’opposition a rebaptisée « loi esclavagiste ».

Cette semaine, à Bruxelles, Mme Sargentini en personne a organisé une manifestation (qui fut une débâcle) contre la loi du travail en Hongrie pour soutenir l’opposition hongroise et les médias de gauche en ont fait leurs choux gras : « Regardez les Hongrois, tout l’Occident manifeste contre Orban, il faut le renverser ». Hélas pour ces manifestants, une banderole comportait une grosse faute d’orthographe, szrtajk au lieu de sztrajk (grève), ce qui a suscité l’hilarité générale dans le pays, aussi bien à droite qu’à gauche.

Et alors, la mentalité malicieuse des Hongrois s’est manifestée. Soudainement, des t-shirts imprimés avec cette faute ont fait leur apparition, des jeunes et des vieux déboutonnaient publiquement leur manteau, malgré le frisquet hongrois, pour montrer leurs t-shirts et recevoir le regard amusé et complice des passants.

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Pour en savoir plus:

https://visegradpost.com/fr/2018/12/20/la-hongrie-en-crise/

https://lesobservateurs.ch/2018/12/15/troubles-entourant-la-loi-esclavagiste-hongroise-info-et-intox/

 

5 commentaires

  1. Posté par Gub le

    C’est très triste de payer une redevance télé pour de la télé poubelle et de la propagande mensongère de gauche pro tout les maux de l’Europe. Des pseudos journalistes surpayés à la botte des politiques corrompus etc.
    En Suisse on devrait mettre des gilets noir à liserés argentés pour remettre l’église au milieu du village et répétér nos vraies racines chrétienne et nos valeurs acquises par nos valeureux ancètres. Et ne plus payer la redevance télé qui est un racket de plus au service des politiques et de la gauche.
    Patriotiques salutations…

  2. Posté par MEIERS le

    A notre époque le monde occidental ressemble de plus en plus à un mauvais film de James Bond, d’après Ian Fleming. Un malfaiteur globaliste comme Soros a les coudées franches pour manipuler des Chefs d’Etats comme ses pantins et organiser, grâce à ses relais dans la politique et les médias des émeutes et des troubles dans les états comme la Hongrie ayant l’outrecuidance de lui tenir tête pour défendre leur souveraineté nationale. Le seul atout de la Hongrie est son chef d’état de caractère, qui a entretemps l’expérience de déjouer la subversion par l’étranger de son pays!

  3. Posté par farjon thierry le

    Je ne regarde pas la RTS, je ne paye pas la redevance pour me faire formater le cerveau avec des mensonges, manipulation publicitaire et autres dérives! Et je vais montrer a Serafe de quel bois je me chauffe, et sa vas barder sec! J’ai fait la guerre en virant a coup de pompe dans le cul les crapauds de Billag, je ne changerai pas de tactique. Poursuite=opposition systématique! Et sa finira au tribunal j’en suis sûr.

  4. Posté par eitan le

    et qu’en est-il du groupe de Visegrád dans cette affaire?

  5. Posté par Maurice le

    Ha ha, même différence entre szrtajk et sztrajk qu´entre grave et grève ?

Et vous, qu'en pensez vous ?

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