Ndlr. Il faut aussi rappeler que l’UDC est de loin le premier parti politique de la Suisse. Mais quasiment inexistant parmi les journalistes du Service dit public suisse où les bien-pensants, les socialistes et les socialo-gauchistes sont scandaleusement surreprésentés. La Suisse : un pays à parti médiatique unique?
Albert Rösti: "L'UDC a obtenu des choses importantes pour la Suisse"
Interview des présidents de parti: Albert Rösti, président du parti UDC Forum / 10 min. / hier à 18:15
Malgré l'échec cuisant de l'initiative sur l'autodétermination, rejetée par 66,25% des votants le 25 novembre, le président de l'UDC Albert Rösti estime que son parti a obtenu de nombreuses concessions grâce à sa campagne.
"Il est clair que nous ne voulions pas perdre, mais nous avons pris acte de notre échec. Grâce à notre campagne, nous avons pu obtenir des choses très importantes pour la Suisse, notamment le fait que le Conseil fédéral n'a pas encore signé le pacte mondial sur les migrations de l'ONU", a déclaré Albert Rösti jeudi dans l'émission Forum de la RTS.
"Le Tribunal fédéral a aussi pris acte de notre campagne en prenant une décision opposée à celle de la cour zurichoise concernant le renvoi d'une personne à l'étranger", a rappelé le patron du plus grand parti de Suisse. Selon lui, l'UDC "se porte assez bien", sans oublier de mentionner l'élection, "avec un grand succès", d'Ueli Maurer à la présidence de la Confédération.
"Assez proche" des "gilets jaunes"
Questionné sur le mouvement des "gilets jaunes" en France, l'élu bernois estime que l'UDC est "assez proche" de ces idées. "Nous cherchons des mesures pour réduire les charges des PME, des familles et des employés qui portent vraiment cet Etat. Les 'gilets jaunes' ont un revenu trop haut pour être soutenus par l'Etat, mais un revenu trop bas pour pouvoir porter toutes ces taxes. Il faut veiller à ce qu'il ne se passe pas la même chose en Suisse", a-t-il prévenu.
Enfin, Albert Rösti affiche des ambitions modestes concernant les élections fédérales d'octobre 2019: "Nous visons le même résultat qu'en 2015, avec 29,4%. Tous les présidents de partis aimeraient avoir une certaine croissance, mais moi je serais assez content de garder notre score."
Propos recueillis par Thibaut Schaller/gma
Publié hier à 19:34 - modifié hier à 20:05
Depuis la décision de la CEDH de reconnaître la charia, il faut s’en séparer au plus vite! Une initiative est nécessaire mais comment éviter la polarisation anti-udc immédiate pour discréditer tout objet?
Même en France on y songe:
“Pourquoi préconisez-vous que la France sorte de la CEDH ?
Ne faudrait-il pas plutôt renforcer la CEDH et essayer de la faire aller dans le bon sens ?
La CEDH est déjà assez largement sortie de son rôle, ou plutôt on lui donne un rôle qu’elle n’a pas. Les décisions qu’elle prend ne sont pas contraignantes pour les États. Elle s’arroge un pouvoir de décision et on lui donne des pouvoirs qu’elle n’a pas.
Il n’y a pas de nécessité à ce que la France demeure dans cette institution. D’ailleurs, les Anglais en sont partis depuis quelques années. Je n’observe pas que les droits fondamentaux et les libertés individuelles soient moins bien défendus en Angleterre qu’en France.
J’avais déjà proposé cette solution, il y a plus de trois ans, considérant que la CEDH a une ligne politique qui n’est pas réformable. Elle fait primer désormais de manière quasi systématique les droits individuels par rapport aux droits des institutions. En tout cas, c’est l’orientation qu’elle a prise depuis des années. Ce n’est pas acceptable et d’ailleurs incompatible avec notre propre manière de concevoir le droit et les institutions.
On a assez perdu de temps. Il faut engager la sortie de la France de la CEDH.”
http://www.bvoltaire.fr/jean-frederic-poisson-la-decision-de-la-cedh-sur-la-charia-est-communautariste-cest-dangereux/
Un grand Merci à ce parti et il faut que ça continue, sinon ce sera très grave pour notre pays. Que Dieu protège notre pays !