Dans la région d’Unterallgäu en Bavière, trois femmes ont été victimes de viols brutaux les 3 et 5 novembre. Un suspect a été appréhendé après une grande chasse à l’homme. Il nie les faits.
L’une des victimes était une femme qui promenait son chien mercredi après-midi près d’un lac lorsqu’elle a été agressée par un cycliste. Quand elle a voulu prendre sa voiture pour s’enfuir, l’homme y est entré avec elle et l’a violée. De retour chez elle, elle a alerté la police, qui a immédiatement lancé des recherches à grande échelle.
Presque au même moment, la police a reçu un autre appel, d’un homme qui venait de trouver une femme gravement blessée. Selon l’état actuel des enquêtes, elle avait été agressée au bord du même lac par un homme qui l’avait forcée à entrer dans un des vestiaires (photo). Utilisant une « violence physique forte », comme dit la police, il l’a blessée et violée.
La femme avait tenté de se défendre avec des ciseaux de ménage, qu’elle avait par hasard avec elle et a blessé l’agresseur au torse. Lorsqu’un témoin s’est approché, l’homme s’est enfui.
Peu après, les recherches ont abouti : la police a arrêté un homme contre lequel les soupçons sont très forts. L’Erythréen de 25 ans a admis avoir été présent sur les lieux, mais il a nié les faits. Cependant il présente des blessures qui sont vraisemblablement celles infligées par les ciseaux de la dernière victime.
Les enquêteurs n’excluent pas que l’homme soit également responsable d’un troisième viol qui a eu lieu lundi soir à sept kilomètres de là. Ce soir-là, une promeneuse avait été agressée par un cycliste, qui a entraîné la femme dans un pré voisin et l’a violée. Les recherches avaient alors échoué.
Les femmes ont eu besoin de soins médicaux.
Sources : Augsburger Allgemeine, Bild
Traduction libre Cenator pour LesObservateurs.ch
Un Érythréen ? Un Somalien ? Un Maghrébin ? Un Afghan ? Quelle importance ? Il s’agit encore et toujours de la même racaille clandestine que nos dirigeants éclairés sont allés chercher. Des tarés d’un autre âge qui sont les bienvenus chez nous, mais qui n’ont pas reçu certains codes dont ils se contrefichent. D’autres demeurés, également stipendiés par l’État, se chargent de soigner leurs troubles psychologiques.