L’islamophile directrice des travaux publics de la ville de Schaffhouse refuse de traiter une pétition contre la mosquée turque
Les plus de 12’000 signatures contre la grande mosquée turque prévue à Schaffhouse avec l’appui du Conseil communal ont été considérées comme des « spams » par la directrice des travaux publics, Katrin Bernath (Verte libérale). Cela a contraint le comité d’organisation à remettre cette pétition sous forme écrite au secrétariat communal. La mosquée en question devrait être construite avec des fonds turcs sur un terrain appartenant à l’organisation islamiste des Turcs en Suisse TISS, dépendant du ministère de la religion du gouvernement Erdogan.
Traduction (Claude Haenggli) : La nouvelle mosquée Aksa, nommée ainsi d’après celle érigée sur les ruines du temple de Jérusalem, aurait 30 mètres de long, 16 mètres de large et une hauteur de 12 mètres. À l’intérieur, deux salles de prière richement décorées sont prévues - l'une pour les hommes et l’autre pour les femmes - ainsi qu’un « local de jeunesse », une salle de classe et un jardin d’enfant coranique, c’est-à-dire toute l’infrastructure d’une société parallèle islamique. Bien qu’il existe en Suisse une interdiction de construire des minarets, ce bâtiment pompeux en style oriental devrait être toutefois très reconnaissable comme mosquée et modifier durablement l'aspect de la ville de Schaffhouse.
Claude Haenggli, 29.11.2018
L’autre problème que pose l’islam, c’est sa connexion profonde avec un état qui exerce, par un responsable gouvernemental une surveillance même à hors de ses frontières (imams détachés).
« Même en Europe, l’islam turc reste très tourné vers le pays d’origine »
Recueilli par Anne-Bénédicte Hoffner , le 14/06/2018 à 14h22 (La Croix) :
“Le paradoxe est qu’ici en Belgique, mais c’est vrai ailleurs, la communauté turque apparaît plutôt « intégrée », ou au moins silencieuse et respectueuse, mais seulement parce qu’elle ne pose pas de problèmes « visibles ». En réalité, elle reste très tournée vers le pays d’origine : les imams prêchent et parlent en turc, les fidèles suivent l’actualité turque, fréquentent les restaurants turcs… Les mosquées sont totalement contrôlées par le Ditib, qui est le prolongement à l’étranger de la puissante Dyanet, la Présidence des affaires religieuses placée directement sous l’autorité du premier ministre.”
“Non seulement l’idée selon laquelle les Turcs qui vivent en France, en Belgique ou en Autriche doivent faire un effort pour découvrir la culture locale et pratiquer un islam adapté au contexte local ne prend pas. Mais via le Ditib et donc les ambassades, les mosquées turques restent toujours sous un contrôle très étroit.”
Maintenant que nous sommes soumis aux juges de Bruxelles, spécialistes des droits de l’Homme et des Religions, il va lui pousser des minarets à cette mosquée.
”Les plus de 12’000 signatures … ont été considérées comme des « spams » par la directrice des travaux publics, Katrin Bernath (Verte libérale)”.
Soit elle doit voir d’urgent son opticien pour changer de focale, soit elle doit démissionner car elle doit trouver son boulot trop harassant … Encore UNE bobo-pro islamo … !
Pour chaque église ou cathédrale ou forêt incendiés par les barbares menteurs, l’armée suisse devrait bombarder quelques mosquées. Comme Israël. On a pris du retard. (Pully, Chamblandes, Saint Paul, Lignon, etc)
Mosquée construite sur un terrain appartenant à une organisation dépendant d’un ministère étranger… Comment c’est possible ça ? qu’un Etat achète des terres dans un autre Etat pour y implanter une structure politique ? Est-ce qu’une institution suisse liée à l’administration fédérale pourrait acheter des terres en Turquie pour y bâtir une cathédrale catholique ou un temple protestant ? Est-ce que le libéralisme va vraiment jusque-là ?