Michel Garroté -- En complément de ce qui a déjà été publié sur lesobservateurs.ch, à propos des midterms américaines, j'aimerais faire une ou deux petites remarques. La gauche, notamment en France et aux Etats-Unis, a un net penchant pour l'hystérie. Ce n'est pas nouveau. Mais cela va en s'amplifiant (je l'ai souligné, suite à la victoire du brésilien Bolsonaro, dans mon article intitulé "Le vent 'populiste' rend nos médias hystériques"). Cela dit, l'hystérie de gauche souffre quelque exeception. Concrètement, j'ai trouvé, comme ça, en passant, un individu de gauche, qui commente le résultat des midterms, sans tomber dans l'hystérie névrotique collective.
Il s'agit de Jean-Eric Branaa, chercheur à l'institut IRIS (une entité issue du parti socialiste français), qui analyse le résultat des élections de mi-mandat aux États-Unis. Il rappelle que ces élections sont ordinairement perdues par le parti au pouvoir. Et que, historiquement, le parti du président n'obtient donc pas de bons résultats lors des élections de mi-mandat (Barack Obama avait perdu 63 sièges à la Chambre des Représentants).
Jean-Eric Branaa, écrit, sur le site de gauche 'Le HuffPost' (extraits adaptés ; lien vers source en bas de page) : Les démocrates sont groggys : le sénat leur a échappé et l'avance de Donald Trump a grandement augmenté. Pire, il dispose désormais d'une légitimité politique puisque ces élus républicains sont totalement acquis à leur président. La prise de la chambre des représentants sera une bien maigre consolation alors qu'un tsunami bleu (la couleur des démocrates) était annoncé voici encore trois mois par le leader des sénateurs du parti de l'âne, Chuck Schumer.
Même l'élection des gouverneurs n'est pas plus satisfaisante car, en dépit de quelques prises locales, il n'y a pas non plus eu de véritable poussée anti-Trump, comme les opposants l'avaient espéré. Il y a même de vraies défaites comme celle d'Andrew Gillum en Floride ou de Stacey Abrams en Georgie. Il faut donc se rendre à l'évidence : le président sort vainqueur de ce 'référendum' sur lequel les deux camps ont basé leur campagne, ajoute Jean-Eric Branaa.
Michel Garroté pour LesObservateurs.ch
https://fr.news.yahoo.com/tsunami-anti-trump-n-eu-111100623.html
Sergio le 9 novembre 2018 à 21h15@
Wikipédia : L’HYSTÉRIE est en psychanalyse une névrose touchant plus les femmes que les hommes… Et voilà pourquoi à cause des ces femmes LES GAUCHES-DROITES socialo-écolo-islamo-bolchévo-fascistes FUSIONNENT POUR FAIRE ILLUSIONS COMME AVEC LA MERKEL, et que nous avons de quasi-monopole de tarées de plus en plus croissantes et menaçantes pour nos libertés. Il n’y a qu’à voir les types émasculés de ces partis qui veulent leur donner une place soit-disant égalitaire, alors qu’elles soutiennent l’insoutenable, s’accaparent le pouvoir pour comploter comme elle le font dans les cadres restreint des familles. échappent à leur obligations comme étudiantes, arbitrairement diplômées, à l’exemple des chefs de clinique en médecine, sous prétextes de grossesses etc..
L’ÉGALITÉ DE FAÇADE COUVRANT EN RÉALITÉ L’INÉGALITÉ DE CONFORT VOLONTAIREMENT CHOISIE PAR LE MODE TERREUR D’où leurs affinités naturelles avec les terroristes de l’invasion musulmane de masse.
Et voilà un parmi les émasculés: https://www.20min.ch/ro/news/suisse/story/Cassis-veut-deux-femmes-elues-au-Conseil-federal-21163649 Quand on manque de couilles, il est naturel de vouloir imposé de tel choix. Y aura-t-il un jour un transgenre en mutation au C.F. ? Ce ne sera évidemment pas le cas de Trump qui lui sait ce qu’il doit faire et qui a déjà tâté des saloperies organisées par l’hystérique Clinton.
Heureux d’apprendre que l’hystérie de gauche souffre quelque exception. Immédiatement après la proclamation des résultats des Midterms, c’est à l’unisson que les médias se sont réjouis de la victoire des femmes contre Trump, de l’élection d’une Somalienne et d’un transgenre au gouvernement, du sursaut citoyen qui rendra les USA désormais ingouvernables en attendant la destitution du président.