Le protecteur de la constitution allemande mis à la retraite pour avoir refusé de mentir

À peine la chancelière Angela Merkel a-t-elle gagné un délai pour continuer son action néfaste en démissionnant du faux poste, voilà qu’elle s’attaque systématiquement à ceux qui osent dire la vérité sur la situation catastrophique d’une Allemagne peu à peu aux mains des gauchistes et des islamistes radicaux. Merkel a réussi à convaincre le ministre Seehofer, un Bavarois connu pour être une girouette, de mettre à la retraite anticipée Hans-Georg Maassen, déjà démis de ses fonctions de chef de l’office fédéral de la protection de la constitution, pour avoir dit que Merkel mentait en prétendant qu’il y avait eu des « chasses à l’homme » à Chemnitz à la suite d’une bestiale agression mortelle commise par des immigrants musulmans repris de justice. Sa nouvelle faute : avoir dévoilé que le part socialiste SPD, dont Merkel avait exaucé le vœu de se débarrasser de Maassen, était infiltré par des éléments d’extrême-gauche.   

http://www.pi-news.net/2018/11/maassen-merkels-abschied-von-der-macht-verbrannte-erde/

Traduction (Claude Haenggli) : L'homme qui était officiellement chargé de protéger l’ordre juridique libéral de la République fédérale d’Allemagne (et qui l’avait fait) était resté ferme dans son discours de départ comme président de l’office fédéral de protection de la constitution : pas de chasse à l’homme à Chemnitz ; le parti socialiste est infiltré par des éléments d’extrême-gauche ; la politique d’immigration du gouvernements est naïve. C’en était trop de la part de Maassen. Celui qui dit la vérité doit mourir, dans l’Allemagne de Merkel. Bonne nuit, l'Allemagne ! C’est le jour le plus noir de ton histoire depuis Hitler…

Claude Haenggli, 5.11.2018