13 commentaires

  1. Posté par Suspect le

    @Andrea Quel test? Sur Lausanne personne ne s’occupe de l’hygiène alimentaire de ces “nobles” établissements. Ayant travaillé au Buffet de la Gare, j’admirais souvent la course des cafards effrénés sur les “délicatesses” boulangères . ça donne un côté plus croustillant. Bonne ap quand-même. Et puisque on parle des toilettes elle devraient être fermées tout court . Du moment où même pas les dames n’arrivent pas viser le trou…. À Lausanne les arbres ne manquent pas. Il faut faire comme les chiens. Profitez donc. Mais les boîtes de nuit lausannois es sont le lieu de préférence de la vente et de la consommation. De fois les toilettes servent pour les rencontres amoureuses très intimes évidemment. Mais ça reste un…. Secret. All y need is looooov vol

  2. Posté par Andrea le

    Il faut agir sur les acheteurs. Notamment les consommateurs qui ´sortent’ dans les lieux de vie nocturne et prennent ça pour s’altérer ou pour diminuer l’effet des quantités d’alcool qu’ils boivent pendant des longues heuresde lavie novturne lausannoise. Pour la pluspart ces gens ont une vie professionnelle. Quelque chose à perdre si on les mettais deux ou trois jours en prison pour avoir acheté et consommé de la drogue.
    Donc:
    1. Intervenir sur les transactions de rue (elles sont très visibles en Ville) et amener au poste les acheteurs aussi, avec proces verbal etc.
    2. Imposer des tests de présence de drogue dans les eaux sales des toilettes des établissements de la nuit. Au dépassement d’un certain taux, considérer les personnes dans l’établissement en situation de danger en tetmes de santé publique, la police pourrait ordonner la fermeture de l’établissement pour le reste de la nuit.
    2. Introduire des tests aléatoires. Les personnes sous l’effet de drogue seraient obligées de quitter les lieux.
    En s’attaquant à la demande, l’offre diminuera.

  3. Posté par toyet le

    En effet sans la NZZ Monsieur Maudet serait tranquille, les médias romands au plus bas, niveau France Inter.Joli article dans le Régional sur des squatters en totale impunité, la Pré-fête je ne peux rien faire, pour la police c’est pire ils n’ont pas envie d’intervenir!

  4. Posté par Christian Hofer le

    Ce qui explique pour quelle raison No-Billag n’a pas passé : les Suisses-allemands possèdent encore une télévision digne de ce nom.

  5. Posté par SM le

    Cette situation laisse supposer que les élus et magistrats soient les premiers clients de ces trafiquants de drogue…?!

  6. Posté par Antoine le

    Nous avons à la tête de notre municipalité qu’une bande de complices gôcho-bobos.
    Les citoyens peuvent protester, y compris M. Melgar, cela n’a RIEN changer.
    Il y a eu une tempête dans un verre d’eau, puis plus rien … le NÉANT !
    Les citoyens de Lausanne subissent tous les jours les dealers de rue ! Les municipaux n’en ont rien à fo….tre !
    Aux prochaines élections, on reprend les mêmes, un peu de chaises musicales et en route pour une nouvelle législature pleine de promesses NON tenues ! C’est tristounet, mais c’est la ”dictature de la gôche” dans toute sa splendeur … avec tous les nouveaux naturalisés qui vont ”bien” voter et surtout avec tous les assistés et tous les services sociaux qui débordent de travail et de requêtes, tous iront voter pour la gôchiasse !!
    Nous continuons à augmenter le nombres d’assistés et à puiser dans la caisse ! Youpie, ne nous gênons pas !!

  7. Posté par Gaston siebesiech le

    A l‘évidence les politiciens lausannois surfs sur la criminalité, plus il y a de racaille d‘ici ou d’ailleurs, pendant ce temps ils se remplissent les poches. Comment les Lausannois peuvent ils élire ça, le délire.

  8. Posté par Gaston siebesiech le

    Lausanne la ville de tous les sports!

  9. Posté par Tibouille le

    Il y a une solution simple:
    1. rendre les tests de dépistage aléatoires obligatoires dans les administrations (pour que les fonctionnaires ne soient pas drogués; le droit actuel le permet car un fonctionnaire ne peut soutenir le crime organisé, même en étant un “simple” consommateur);
    2. rendre ces tests légaux pour les entreprises afin qu’ils puissent s’assurer de la santé de leurs collaborateurs;
    3. et, bordel, engager plus de forces de police sur le terrain pour simplement appliquer la loi (plutôt que de retirer des policiers pour ensuite dire qu’il faut légaliser car la répression ne fonctionne pas. Si au moins, on essayait !)

  10. Posté par Diablotin le

    Voilà ce que donne l’invasion de barbares primitifs, Lausanne est détruite, voilà la démonstration de ce que donne une politique de gauche!!! Lausanne est devenue une ville du tiers-monde, c’est ignoble!!! D’une des villes les plus agréables de Suisse au début des années 80, la gauche a réussi l’exploit d’en faire la pire ville de Suisse! La solution elle est simple, il n’y a qu’à prendre exemple sur la politique de Singapour en matière de drogue, le problème sera vite réglé!!!

  11. Posté par Gérald le

    A Lausanne qui sont les salopards, les dealers africains ou les élus de gauche ?

  12. Posté par Sergio le

    Même nous amis suisses alémaniques s’en inquiète, c’est dire. A Lausanne, le deuxième local d’injection est prêt. La drogue, le deal pratiqué par les Africains est voulu par nos édiles de la gauche verdoyante. Les flics en arrêtent quelques-uns que les juges s’empressent de relaxer. A Lausanne, il y a une volonté politique de protéger et de développer le trafic de drogue.

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