Frontex : alliance Kurz-Merkel-Macron contre la Hongrie

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Cenator : Alors que la Hongrie et d’autres pays de l’Est de l’UE se sont fermement  opposés à l’invasion migratoire, ils ont été sommés de verser une contribution pour Frontex. Frontex en difficulté financière a acheté des bateaux avec des fonds de l’UE, non pas pour défendre les côtes de l’Europe mais pour collaborer avec les ONG-taxis qui déversent l’invasion migratoire sur les côtes européennes.

Quant aux pays comme la France, ils collaboraient déjà avec Frontex en fournissant des agents de leurs propres effectifs :

« Dans le cadre de la coopération avec FRONTEX, 20 agents des douanes sont mis à disposition par la France.

Le règlement (UE) n°2016/1624 du Parlement européen et du Conseil du 14 septembre 2016 relatif au corps européen de garde-frontières et de garde-côtes prévoit la mise à disposition de l’agence FRONTEX d’une réserve rapide d’intervention de 1500 garde-frontières ou garde-côtes. Cette réserve d’intervention doit être déployée sous un délai de 5 jours dès son activation.

Dans le cadre de cette coopération avec FRONTEX, la France s’est engagée à participer à cette réserve à hauteur de 170 garde-frontières, dont 20 agents des douanes. Ce déploiement pourra se faire à la demande d’un État soumis à une très forte pression migratoire ou à la demande de l’agence si un État est défaillant et n’a pas pris les mesures nécessaires à la gestion de ses frontières pour faire face à une pression migratoire importante. [...] »

http://www.douane.gouv.fr/articles/a14493-des-douaniers-mis-a-disposition-de-l-agence-frontex

 

Frontex a eu un sursaut de bon sens lorsque son patron, Fabrice Leggeri, a affirmé en juillet 2018 que l’Europe n’avait pas une «obligation unilatérale» en matière de sauvetage en mer :

« « On a très longtemps vu surtout le côté humanitaire » et pas « qu’il y a des groupes criminels qui s’enrichissent, exploitent cette misère humaine, et d’une certaine manière prennent en otage moralement l’Europe ».

L’accord trouvé à Bruxelles [les 28/29 juin] propose notamment d’explorer une «nouvelle approche» controversée avec la création de «plateformes de débarquement» de migrants en dehors de l’UE pour dissuader les traversées de la Méditerranée, où les 28 ont appelé les ONG à «ne pas entraver les opérations des garde-côtes libyens».

Si les plateformes sont créées, cela signifiera que «des navires de Frontex ou des navires privés qui sont appelés au secours par les centres de coordination pourront débarquer les personnes sauvées dans le port sûr le plus proche» et «cela peut être des ports non européens», a rappelé Fabrice Leggeri.

«Il faut le faire dans le respect du non-refoulement», mais «il n’y a pas une obligation unilatérale des pays européens à faire du sauvetage en mer, tout le monde a un devoir en Méditerranée», a-t-il ajouté. » »

https://www.letemps.ch/monde/patron-frontex-se-felicite-fin-naivete-europeens-migrants

Dans la même interview, le patron de Frontex a également dénoncé le fait que les ONG feraient le jeu des passeurs, ce qui avait été vigoureusement démenti par les médias-propagande de toute l’Europe occidentale (exemple en Suisse romande : les nombreuses interviews de Mme Abu-Sa’da à la RTS).

 

Les 28 dirigeants de l’Union européenne se sont réunis le 28 juin 2018 pour débattre une fois de plus de la manière de gérer l’invasion migratoire.

« Rome attendait un geste fort de ses partenaires, ne souhaitant plus être le pays automatiquement responsable du sort de ces personnes ramenées à terre » et avait prié la France d’ouvrir ses ports.

Lors de ce sommet, les 28 pays ont également concocté un message à l’adresse des ONG, leur demandant, sans les nommer, de ne plus aller récupérer des migrants naviguant dans les eaux libyennes.

https://www.letemps.ch/monde/28-accouchent-dune-solution-europeenne-trompeloeil

 

Orban avait approuvé la création de camps de rétentions/tri sur les rives sud de la Méditerranée et il a tenté de bloquer l’accord concernant de tels centres en Europe, persuadé qu’ils auraient alors un effet « appel d’air ». Mais comme il a obtenu le caractère volontaire de la répartition des demandeurs d’asile, il n'a pas continué la bataille.

Quant à Macron, il a déclaré qu'il était hors de question de renvoyer les migrants sauvés dans les eaux européennes.

Quoiqu’il en soit, le concept de centres de tri des migrants hors d’Europe, à savoir en Afrique du Nord et avec le soutien de l’OIM ou de l’UNHCR, n’est qu’une rêverie puisque aucun pays africain n’est prêt à transformer ses côtes en dépotoirs de misère et de criminalité.

Comme toujours, l’Union européenne fait preuve d’incompétence et d’irréalisme.

En effet, il s’agit en premier lieu de bien cerner la nature du problème puis de chercher une solution réaliste et efficace.

L’Europe occidentale est considérée par des centaines de millions d’Africains (Afrique du nord et Afrique subsaharienne) comme un Eldorado. L’attrait de cet Eldorado fantasmé n’est pas prêt de disparaître, à moins que les choses ne soient exposées clairement et mises en application comme il se doit.

La « crise migratoire » n’est en réalité ni une crise passagère ni une affaire de « migration ». Il s’agit bel et bien d’une invasion, par des moyens non-violents, de l’Eldorado fantasmé européen. Cela bien compris, il n’y a que deux solutions envisageables pour l’UE :

A) Cette invasion est stoppée totalement (fermeture complète de toutes les frontières extérieures de l’UE) et tous les migrants ayant pu, malgré tout, arriver sur le sol de l’UE sont renvoyés sans délai dans leur pays d’origine ou, si le renvoi est impossible, internés dans des camps fermés aux conditions spartiates.

B) Si l’option A n’est pas appliquée dans toute sa rigueur, des centaines de millions d’Africains vont assaillir l’Eldorado européen fantasmé (ainsi que d’innombrables Afghans, Pakistanais, etc.) et les pays de l’UE vont périr submergés par les hordes sans limite décrites par Raspail. Il va sans dite que les envahisseurs se livreront également à des luttes mortelles entre eux.

Les fonctionnaires de l’UE veulent réguler l’invasion et non la stopper. Ce n’est qu’une chimère de fonctionnaires bien payés et bien-pensants, cela ne fonctionnera jamais.

En attendant la mise en place de l’unique solution (A) possible, chaque pays de l’UE devrait calquer sa position sur celle de la Hongrie de Viktor Orban.

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Le chancelier autrichien Sebastian Kurz a décidé de soutenir Merkel et Juncker dans leur projet de défense des frontières de l’UE par Frontex

Les gouvernements autrichien et allemand soutiennent la proposition du Conseil de l’Europe concernant la défense des frontières extérieures par des mercenaires payés par le Parlement européen. Angela Merkel a insisté en conférence de presse sur cette entente.

Angela Merkel a même dit que Jean-Claude Juncker avait salué cette belle avancée.

Sebastian Kurz a souligné que l’Autriche réclamait depuis longtemps ce que Jean-Claude Juncker a proposé, c’est à dire de renforcer Frontex et d’élargir son mandat.

Source : https://pestisracok.hu/kurz-kancellar-merkel-es-juncker-melle-allt-az-unios-hatarvedelem-kerdeseben/

Rappels :

Orban : La prochaine bataille se dessine – l’Union européenne veut enlever aux Etats membres le droit de défendre leurs frontières

Pourquoi Kurz a-t-il honteusement trahi Orban au Parlement européen ? La faute à Soros ?

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Kurz et Merkel soutiennent les propositions de Juncker pour Frontex

Dans la perspective du prochain sommet européen de Salzbourg, qui se concentrera sur la migration et Brexit, le chancelier autrichien Sebastian Kurz a rendu visite à la chancelière allemande Angela Merkel dimanche à Berlin. Lundi, Kurz sera reçu par le président français Emmanuel Macron.

Sebastian Kurz (ÖVP, Parti populaire autrichien) et Angela Merkel soutiennent un renforcement de l’autorité européenne de protection des frontières Frontex. C’est ce qu’ils ont déclaré dimanche à Berlin, en marge d’une discussion préliminaire sur le sommet informel de l’UE à Salzbourg la semaine prochaine.

Il s’agit concrètement de la protection des frontières extérieures, en particulier des propositions de Jean-Claude Juncker visant à renforcer Frontex. M. Kurz a souligné que l’augmentation des effectifs de l’autorité de protection des frontières devait avoir lieu « d’ici 2020 ».

Kurz et Merkel ont également parlé du sommet UE-Afrique prévu en décembre à Vienne. Mme Merkel a déclaré qu’il était important de s’occuper davantage de l’Afrique. Elle a appelé à une « division du travail » au sein de l’UE, car l’Afrique compte de nombreux pays et « on ne peut pas traiter avec tous ». M. Kurz a souligné qu’une extension du mandat de Frontex était très importante pour que « les bateaux ne prennent pas la mer ».

Mme Merkel se rendra lundi à Alger pour une visite d’une journée afin de renforcer le rôle de l’Algérie en tant que facteur de stabilité en Afrique du Nord.

Cette conférence de presse, où les questions n’étaient pas autorisées, faisait suite à un bref entretien en tête-à-tête entre les deux chefs d’État.

Dans le cadre de la présidence autrichienne du Conseil de l’UE, Kurz s’est fixé pour objectif central de concrétiser le « renversement de tendance » de la politique migratoire de l’UE, comme l’avait annoncé à l’avance la Chancellerie fédérale autrichienne. Dans sa déclaration commune avec Merkel, Kurz a également souligné que tout devait être fait pour éviter un Brexit dur.

La Grande Coalition de Merkel est de nouveau en crise suite aux déclarations controversées de Hans-Georg Maassen, le président de l’Office pour la protection de la Constitution, au sujetdes événements de Chemnitz [ndlr : Allemagne: le patron du renseignement dément des chasses collectives et contredit Merkel. « Il y a de bonnes raisons de croire qu’il s’agit d’une fausse information intentionnelle. »]. Alors que les sociaux-démocrates (SPD) exigent la démission de Maassen, le ministre de l’Intérieur Horst Seehofer (CSU) le soutient fermement. […]

Après la rencontre avec Mme Merkel, M. Kurz s’envolera pour Paris, où il rencontrera le président français Emmanuel Macron lundi. En ce qui concerne le projet de « hot spots » pour les migrants, les deux hommes ont des préférences différentes : alors que Macron préférerait établir ces centres sur le sol européen, Kurz les verrait plutôt dans un État extérieur à l’Union, de préférence en Afrique. Quoi qu’il en soit, aucun pays ne s’est encore porté candidat.

Source : Tiroler Tageszeitung : Kurz und Merkel unterstützen Juncker-Vorschläge zu Frontex

9 commentaires

  1. Posté par Lucie le

    Les mauvaises langues courent toujours…

    A MON AVIS, RIEN N’A CHANGE… « Viktor Orban a été l’un des plus virulents opposants au communisme et aux autorités soviétiques de son pays du temps de l’URSS, et l’un des plus fervents promoteurs de l’indépendance de la Hongrie. Mais il n’a pas oublié non plus les trois siècles de domination musulmane turque qu’a subi la Hongrie…  »

    LA HONGRIE DESOBEISSANTE: De l’Union Soviétique à l’UE. Changement de régime à Budapest ?

    CNN a récemment découvert un paradoxe. Comment était-il possible, se demandait la chaîne, qu’en 1989, Viktor Orban, alors leader de l’opposition libérale acclamé par l’Occident, appelait les troupes soviétiques à quitter la Hongrie, et maintenant qu’il est Premier ministre, il se rapproche de Vladimir Poutine ?

    Pour la même raison, imbécile.

    Orban voulait que son pays soit indépendant à l’époque, et il veut qu’il le soit maintenant.

    En 1989, la Hongrie était un satellite de l’Union soviétique. Peu importe ce que les Hongrois voulaient, ils devaient suivre les directives de Moscou et adhérer à l’idéologie communiste soviétique.

    Aujourd’hui, la Hongrie doit suivre les directives de Bruxelles et adhérer à l’idéologie de l’UE, c’est-à-dire à « nos valeurs communes ».

    Mais quelles sont exactement ces « valeurs communes » ?

    Il n’y a pas si longtemps, « l’Occident », c’est-à-dire les États-Unis et l’Europe, revendiquaient une dévotion aux « valeurs chrétiennes ». Ces valeurs étaient évoquées dans la condamnation occidentale de l’Union soviétique. Ce n’est plus le cas. Aujourd’hui, en effet, l’une des raisons pour lesquelles Viktor Orban est considéré comme une menace pour nos valeurs européennes est sa référence à une conception hongroise du « caractère chrétien de l’Europe, le rôle des nations et des cultures« . La renaissance du christianisme en Hongrie, comme en Russie, est considérée en Occident comme profondément suspecte.

    Il est entendu que le christianisme n’est plus une « valeur occidentale ». Qu’est-ce qui a pris sa place ? Cela devrait être évident : aujourd’hui, « nos valeurs communes » signifient essentiellement démocratie et élections libres. (…)

    https://www.mondialisation.ca/la-hongrie-desobeissante-de-lunion-sovietique-a-lue-changement-de-regime-a-budapest/562796

  2. Posté par Lucie le

    C’est parti ! 21.09.2018

    L’Italie et la Hongrie créent un « axe anti-immigration »

    « Le continent européen amorce un tournant historique. Je suis sidéré qu’une gauche politique qui n’existe plus que pour la provocation puisse s’étonner que Milan accueille le président d’une puissance européenne, comme si la gauche avait le pouvoir de décider de qui parle ou pas ; et après ils se demandent pourquoi personne ne vote plus pour eux. » – Matteo Salvini, ministre italien de l’intérieur.

    « C’est la première d’une longue série de réunions qui ont pour but de changer la destinée, non seulement de l’Italie et de la Hongrie, mais de tout le continent européen. » – Matteo Salvini.

    « Nous avons besoin d’une nouvelle Commission européenne qui défende les frontières de l’Europe. Après les élections européennes, nous aurons besoin d’une commission qui ne punisse pas les pays qui, comme la Hongrie, protègent leurs frontières. » – Premier ministre hongrois Viktor Orbán.

    Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán et le ministre italien de l’Intérieur, Matteo Salvini, se sont publiquement engagés à créer un « axe anti-immigration » destiné à contrer les politiques immigrationnistes de l’Union européenne.

    Orbán et Salvini se sont réunis à Milan le 28 août, avec l’Autriche et le groupe de Visegrad – la République tchèque, la Hongrie, la Pologne et la Slovaquie – pour contrer le groupe des pays européens pro-migrants dirigé par le président français Emmanuel Macron. (…)

    https://fr.gatestoneinstitute.org/13013/italie-hongrie-immigration

  3. Posté par miranda le

    On lui a peut-être fait comprendre que le « très menaçant N.O.M » serait très mécontent s’il ne collaborait pas « un peu ». Car les puissances de l’argent SE SONT OCTROYES TOUS LES DROITS SUR CETTE PLANETE. Evidemment.

    En tout cas, mauvaise annonce pour les peuples européens. Tiens, Michel Onfray dans le dernier Marianne a utilisé le mot « populicide » en anticipant ce qui peut nous arriver. Mais comme disait quelqu’une : on a jamais vu un peuple en danger ne pas se battre.

    PENSEZ STRATEGIES NON VIOLENTES et vous en trouverez des nombreuses. Il suffit de mettre le cerveau « en marche ». La seule difficulté, c’est comment les mettre en oeuvre AVEC LES AUTRES. C’est ça notre vrai guerre ou combat, CONSCIENTISER LES AUTRES.

  4. Posté par S. Dumont le

    Je compare Kurz à l’UDC, c’est-à-dire qu’ils vont lutter contre l’immigration illégale mais non rien contre l’immigration économique en provenance des états tiers.
    Lien d’une interpellation de Sebastian Frehner de l’UDC.
    Quand le Conseil fédéral augmentera-t-il enfin les contingents?
    https://www.parlament.ch/fr/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20183074

  5. Posté par Malou30 le

    Kurz montre son vrai visage ! Celui d’un faux c…l et d’un vendu !

  6. Posté par Michel Vasionchi le

    Faudra bien un jour trainer ces gens irresponsable devant le tribunal du peuple

  7. Posté par Jacques le

    Que vient faire Kurz dans cette galère ? Il semble avoir encore beaucoup à apprendre…

  8. Posté par Lucie le

    Kurz semble jouer un double jeu, non ?

  9. Posté par aldo le

    A QUAND L’EXAMEN MÉDICAL POUR FAIRE DE LA POLITIQUE, NE SERAIT-CE QUE POUR EN ÉCARTER LES DROGUÉS, DONT LES APPELS AUX MILLIONS DE MIGRANT DE LA MERKEL SEMBLENT POURTANT CARACTÉRISTIQUES.
    Quand vous regardez la Merkel, elle a le format d’une diabétique. Or cette pathologie fabrique des gens méchants, teigneux, caractériels, des arabo-bolchéviques. Ce sont ceux-là même qui monopolisent la médecine dans nos pays. Dès que vous êtes spécialistes les cabinets se remplissent d’arabes qui viennent en avion, et constituent un troupeau de rentes médicales. On ignore si une partie des bénéfices est dispatchée pour alléger les coûts des cabinets dépendant totalement des assurances maladie, mais sans obligations … c’est tout bénef et en cash.

    Heureusement, il y a des gens qui considèrent que les transplantations sont un frein au développement de la médecine. http://diabetes-hebdo.com/quand-le-cochon-vient-en-aide-aux-diabetiques/ Et les arabo-musulmans tout comme les juifs qui sont injectés avec du pur porc devraient arrêter de déconner, devenir cohérents et mettre leurs idéologies religiosités étatiques à la poubelle, mais justement ce sont ces pathologies qui les en empêchent. https://www.canadianjournalofdiabetes.com/article/S1499-2671(13)00856-3/fulltext https://www.planetesante.ch/Magazine/Psycho-et-cerveau/Anxiete-et-crise-psychique/La-crise-psychotique-un-episode-dont-on-peut-se-relever

    Alors après Karl Marx à quand le tour pour Juncker Drunker-junk de l’Europe bolchévique. http://dona-rodrigue2.revolublog.com/serie-ces-malades-qui-nous-gouvernent-karl-marx-a125777856

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