Nous avions déjà parlé de cette affaire ici.

La victime est une stewardess qui rentrait du travail à 2h30 du matin ce dimanche et regagnait son hôtel. En chemin, elle a demandé dans un fast-food à kebabs de pouvoir se rendre aux toilettes. L’employé l’y a conduite, mais a refermé la porte sur elle et l’a violée. Cela a duré presque une demi-heure. Un autre employé est allé écouter à la porte les appels à l’aide à deux reprises. Il sera inculpé pour complicité de viol.

Tout cela figure sur des images de vidéo-surveillance que le journal Ripost a pu se procurer.

Lundi matin, le violeur était toujours introuvable, alors qu’une brigade était mandatée pour travailler sur cette affaire jour et nuit.

Depuis son arrivée en Hongrie, cet Afghan, réfugié statutaire, s’était déjà rendu coupable par deux fois d’attentat à la pudeur avec violence.

Le chef  du nouveau parti « Mi Hazánk » (Notre Patrie) – Laszlo Toroczkai, ex-Jobbik – reproche à Orban d’avoir laissé entrer ce genre de racaille. Il prône la castration chimique (l’Androcur) pour tous les violeurs. Malheureusement, l’Androcur n’est que partiellement efficace. [Inutile de dire que beaucoup de citoyens prônent la castration tout court.]

Source et images de la caméra de surveillance : https://ripost.hu/cikk-migranser-szak-budapesten-a-ripost-megszerezte-a-biztonsagi-kamera-felveteleit

Sur la base d’un mandat d’arrêt international, et grâce à une prime de 1 million de forints (3000 euros) pour qui le dénoncerait, l’homme a été arrêté à Linz en Autriche le lundi soir.

Sources :
https://ripost.hu/cikk-most-erkezett-elfogtak-a-budapesten-er-szakoskodo-afgant
http://www.origo.hu/itthon/20180911-elfogtak-a-szexualis-eroszakkal-gyanusitott-menekult-afgan-ferfit.html